4ème Contact | Prime Quarte

En dehors des accords sériés 1357 & 135, il y a des accords qui comportent d’autres alliages de notes. Les accords de substitution forment des techniques de remplacement d’une ou plusieurs notes, il est difficile de tous les nommer tant le complexe de substitution rend presque impossible d’y porter un nom d’accord simple et cohérent.

On peut ajuster les extensions d’accords (1357, 135) à l’aide des notes 246, en écrivant les termes suivants :

• Pour les noms des degrés {2=(9ème) Tonal, 4=(11ème) Médian, 6(13ème) Harmonie}

En s’alignant sur quelques règles de construction (nom & tonalité) de l’accord, ainsi qu’afin d’obtenir une bonne base. On peut construire les accords de 9ème, 11ème et 13ème :

• C7/9 = 1, 3, 5, b7, 9 | C/9 = 1, 3, 5, 9 | C/11 = 1, 3, 5, 11 | Cmaj7/13 = 1, 3, 5, 7, 13

Les notes (9, 11, 13) étendent sur la partie haute (droite) du nom.

Elles sont dans la zone d’octave supérieure, pour nommer encore un cran au-dessus.

Le nombre de cas possibles étant élevé, le sujet en cours est reporté.

• {2=(16ème) Tonal, 4=(18ème) Médian, 6(20ème) Harmonie} |Échelle 7 notes.

• 9/C-7 = 2, 1, b3, 5, b7 | 11/C-+ = 4, 1, b3, #5 | 13/C°7/13 = b6, 1, b3, b5, bb7, b13

Les degrés 246 quand ils se situent en bas (gauche), on fait une transposition.

Les extensions (9ème, 11ème, 13ème) à l’octave inférieure des mêmes degrés.

• {C, 9ème, E, F, G, A, B, 1ère, D, E, F, G, A, B, C, 9ème, E, F, G, A, B, C}, octave² = 16ème.

Les extensions négatives inversent l’ordre original (C1, D2, E3, F4, G6, A6, B7).

Elles deviennent (C8, D7, E6, F5, G4, A3, B2).

Le cas des extensions situées en zone basse de l’accord, tout en gardant la même fonction du degré, par l’exemple ; {C, 9ème, E, F, G, A, B, 1ère, D, E, F, G, A, B, C, 9ème, E, F, G, A, B, C}. La 9ème sera toujours la note Ré pour Do, qu’elle soit au-dessus ou en-dessous.

L'onde vient du mouvement physique.

Elle fait partie d'une conjoncture formée de particules, relatives à un corps complexe. La sonorité est aussi complexe, que le corps qui l'anime. La note musicale émet une onde à sa hauteur, cette note est fondamentale aux harmoniques.

Évoluant dans un cycle d'octave, dans sa ritournelle quantique, elle s'harmonise.

Si la note égale deux, sa note à l'octave égale quatre, cette note est facile à reconnaître d'oreille. Elle équivaut au double de la première, toutes les autres octaves, croissantes ou descendantes, sont multipliées ou divisées par des nombres doublés. 

Si Do2 = 1 x 2, Do3 = 1 x 4, Do4 = 1 x 8... Ou, si Do-1 = 1 / 2, Do-2 = 1 / 4, Do-3 = 1 / 8...

La sinusoïdale de l'onde, en tempérament harmonique, est une porteuse raisonnable.

- Le tempérament tonal n'a pas le pouvoir de démontrer la modulation diatonique! Faisant une boucle dans le temps élémentaire, tout en avançant au fil des octaves. Cette spirale elliptique est un monument sonore, dessinant la compréhension d'une possible évolution d'un objet élémentaire. Imaginons, qu'il y ait plusieurs variantes ?

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Le tempérament et l’onde ont un comportement similaire, tout deux on un intervalle répétitif. Qui représente un intervalle régulier entre deux points, on peut le mesurer en degré comme le tempérament des quintes (V) successives.

• C, G, D, A, E, B, F

L’étude du tempérament a le côté progressif des 7 degrés (I, II, III, IV, V, VI, VII).

Les degrés analysés via cette progression produisent des informations. Chaque degré a son nombre d’octave nécessaire a sa révolution, l’intervalle de la quinte de Do est Sol, et Sol est aussi la tonique sur laquelle commence la démarche. Cette démarche s’arrête lorsque le tempérament de la quinte, rencontre la note Sol plusieurs octaves au-dessus.

Un groupe de degrés développe un tempérament complexe, chaque élément a une vitesse de traversée comme le démontre la progression ci-dessus.

Le tétracorde groupe quatre notes générales (C, D, E, F). Ces notes font partie de la gamme naturelle, un autre groupe se forme avec (G, A, B, C). Lorsque les quatre notes sont conjointes dans un espace de 1 ton et ½, il définit le cluster de sa plus petite unité. On voit aussi que 2 tétras sont couplés de Do à Do, commençons par dessiner 2 clusters.

• C, D, E, F, _, _, _, _, _, G, A, B, C = C, bD, °E, °F, _, _, _, _, _, ##G, #A, B, C 

Quelles sont les limites définies par les deux clusters en position ?

Les positions des octaves liées aux notes Do sont fixes, seules les unités opposées sont altéractives. Ainsi pour le tétra inférieur la note Fa pourra être diésée 3 fois. Le tétra supérieur verra sa note Sol bémolée 3 fois aussi.

La gamme a 66 définitions diatoniques fondamentales, le système tétracordique est en symbiose avec un moindre groupe de tétras utiles. Le fait de se saisir de la forme à l’instar de la tonalité en fait un objet neutre, pouvant être supérieur ou inférieur et se situer avant ou après. Le tétracorde fait partie de la gamme, il y assimile son comportement.

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Le cluster le plus petit suit chaque groupe de conjonction, est destiné à un développement dans un espace donné. L’évolution est ordonnée afin d’établir un ensemble clairement cohérent. Le cluster est définissable par sa composition, il se déploie dans l’espace d’une octave et à des techniques de développement.

• Le développement de l’unité clusteur : Groupe 5 {ooooo}

{ooooo} peut commencer à (gauche, centre, droite). Le cluster est mobile.

{ooooo} peut être couplé avec {ooooo}. En mobilités ordonnées.

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