armgam_2

Réunion arbitraire pour une naturelle chromatique

La gamme chromatique rassemble les altérations, elle est l’armature altéractive de la gamme originale. Elle est aussi, un double état…


● Chromatisme augmenté / diminué


Elle peut être représentée par deux lignes séparées, qui ont des points de jonctions avec la gamme chromatisée. En réunissant les notes, on voit que la note Do est impliquée avec le chromatisme diminué.


L’altéractivité de la gamme chromatique a l’avantage d’inclure deux tempéraments dans sa lignée 


Deux tempéraments opposés, et tous les deux sont relatifs aux armatures étant sur les portées des partitions musicales. Le chromatisme distingue plusieurs types de notes diatoniques :

1. Les notes augmentées ; #C, #D, #F, #G, #A. 

+1/5

2. Les notes diminuées ; bD, bE, bG, bA, bB.

-1/5

3. La composition naturelle ; C, D, E, F, G, A, B.

1/7

4. La relation augmentée ; E, B.

+1/2

5. La relation diminuée ; C, F.

-1/2

6. Les notes naturelles ; D, G, A.

L’activité chromatique autour de la gamme est apparemment significative :


Étant fondamentalement diatonique, la gamme naturelle a ses intervalles axés aux polarités chromatiques, ce qui divise la gamme en deux sections. L’avantageux silence de l’intervalle, qui donne un point de libre passage harmonique entre les notes. Ce qui veut dire que la gamme est bien aérée, et qu’elle est légère en tonalité. L’équilibre harmonique relatif aux notes naturelles (D, G, A) est donné par la modulation du couple positif/négatif, déterminant un axe de symétrisation en un point naturel original. Et donc, un axe pour un flux harmonique sur une note réelle… .. …. .. …. .. …. .. .

La ligne majeure dessinée par la gamme suit le courant diatonique, et comme chaque ligne chromatique comporte sept notes. Il y a des lignes qui se chevauchent, et des courants couplés sur une seule note. Dans le fond, la note est colorée par la ligne chromatique qui la traverse. Et ainsi, donner à chaque note une tendance chromatique. Avec la gamme naturelle et sa tonalité majeure aux notes GDA « toniques symétriques ».




La fonction chromatique est relative à la tonalité, elle se remarque grâce aux intervalles. Le sens du courant chromatique reprend l’orientation de l’altération, et selon l’augmentation, la note précédente est diésée.

C > D > #D

Inversement, la diminution altère d’un bémol la note suivante.

C > D > bE > E


L’intervalle diatonique a la définition de la tonalité furtive, qui dans la modulation prend une forme altérée. En assemblant l’intervalle diatonique avec la tonalité diatonique, l’unité chromatique révèle 12 intervalles. Cet intervalle chromatique est animé par les courants chromatiques relatifs aux altérations. Ainsi, pour 12 emplacements, il y a 17 µ.


L’amplitude chromatique enchaîne la tonalité de manière à décrire la diatonie chromatique qui lui est relative. Chaque parcours apporte sa touche diatonique, et la tonalité diatonique originale est sous l’influence altéractive. Avec la gamme majeure, on remarque que les notes EB sont sous l’influence du courant chromatique augmenté.

#C > #D > E


L’activité chromatique est harmoniquement inhibée, selon qu’une unité est en même temps opposée et revienne à sa position initiale. Ces notes ne sont pas utilisées dans les diatonies chromatiques, et forment par conséquent une cohésion diatonique localisée. La force tonique de la note inhibée est précise, elle sous-entend un nœud isolé…


Les gammes fondamentales


Le chromatisme premier


Les groupes toniques

Les gammes


Les gammes thématiques font les références, car elles forment un système entier. Et, elles vont permettre le développement de leurs raisonnements intégrés. Par leurs définitions, dans un contexte absolu qui forge la logique de ces premiers pas…

Le développement des gammes, qui sont diatoniques, présente des modulations similaires et jamais à l’identique. L’altération nécessaire à la modulation diatonique peut se classer en plusieurs catégories :


● Nulle, simple, double, étendue…


Conformément à l’altération portée sur la note naturelle, ou à l’altération faisant la modulation sur une constante absolue. La note naturelle n'est nullement altérée. 

Les chromes


Le mécanisme chromatique particulier à chaque cas gammique, dévoile les événements diatoniques qui relatent des informations sur le caractère des éléments inclus. Ainsi, on découvre les différentes capacités naturelles des notes. Selon la polarité chromatique, et la fonction tonique des notes isolées…

La gamme est multiple, selon qu’elle a un au-delà rempli de ses variations diatoniques. Et comme nous avons l’habitude de tout nommer, afin de tout pouvoir écrire. Et, pour ne pas créer un mélange diatonique. Il y a le choix d’inventer la modulation chromatique, qui de surcroît se reporte sur la gamme. Pour finir par tracer les mouvements chromatiques, avec celui de la gamme diatonique en cours. Tout en couleurs !

Les groupes

Les éléments isolés définis par les développements chromatiques, se rassemblent de façon logique. Pour donner un nombre de résonances finit, à savoir quelles gammes sont relativement concernées. Et ainsi, que le processus chronologique des différents raisonnements…

À première vue, les amas diatoniques tissent des multiples toiles. Ce regroupement formule une équation diatonique, cette opération qui consiste à assembler selon un caractère commun. L’équation diatonique donne le résultat d’une composition complexe en événements… :


● L’unité du groupe :/ :


Le point commun est donné à la note diatonique. Il est impliqué dans un formulé de points communs divers, d’origine diatonique ou chromatique.


Si la gamme dessine trois lignes de modulation, elle n’a pas des notes égales dans l’idée chromatique. Si on considère que la ligne diatonique est un courant réel, à laquelle les courants chromatiques viendraient métamorphoser l’unité diatonique.


L’évolution gammique qui séquence les éléments diatoniques sont numérotés pour indexer d’une manière simple un ensemble complexe. Comme nous le voyons, les gammes commencent toutes par DO, et finissent par la note Si.


La polarité diatonique est réelle, ainsi que le « luminosité » chromatique. Pour une tonalité diatonique au caractère coloré, aux cas de figures mélangées…


Le complexe de la relation entre les membres, les liens qui unissent les éléments d’une même classification. Comme si cet élément était forgé, et identifiable par une liaison élastique représentant sa propriété.

N : La gamme naturelle absolue, elle ne comporte aucun signe d’altération.


S : L’unité altérative portée sur une unique note de musique.


S : L’unité altérative portée sur une unique note, et sa force altéractive.


D : L’unité altéractive portée sur deux notes musicales.


D : L’unité altéractive portée sur deux notes musicales et sa force altéractive.


D : L’unité altéractive portée sur deux notes musicales, et sa force altéractive étendue.


X : La double unité altéractive portée sur une ou deux notes musicales.


X : La double unité altéractive portée sur une ou deux notes musicales, et sa force altéractive étendue.


T : La triple unité altéractive portée sur la ou les notes musicales.

Plages de Gammes






















Série tonique


Diatonie collective





Activité principale






Résonnance mineure








Relativité augmenté







Résonnance biphasée











Fiction d'une fission




Share by: