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LES NOMBRES ENTIERS :

Le nombre entier et sa quantique élémentaire

Les chiffres, tels qu’ils se suivent, nous décrivent une harmonie numérique. Du premier chiffre « 1 » à l’infini, en passant par « 6 », parfois multiples ou premiers. L’opération des nombres pairs et impairs donne souvent différents chiffres, alors comment comprendre cette évolution ?


Les nombres ont plusieurs particularités, ils sont pairs ou impairs, entiers ou décimaux selon qu’ils sont multipliés ou divisés. Tout comme la musique mineure, il y a les chiffres décimaux. La fraction de l’unité et sa finesse décimale, pour mieux cerner les tempéraments qui procèdent logiquement. À l’inverse de la multiplication, il y a la division logique de l’intervalle !


Petit à petit, le sujet se développera sur ces explications. Puisqu’il s’agit d’un complexe numéral, qui doit évoluer en termes clairs, sans aucune vélocité d’exécution. Les nombres vont être découverts dans des situations élémentaires et harmoniques, soit en exerçant un travail d’artiste…



Dans le développement des nombres ayant une même série de dividendes, il y a une extrapolation qui passe par les multiples communs. Ainsi, chaque degré des chiffres, a des familiarités répandues parmi les subdivisions.



Donc, la subdivision complète harmoniquement la multiplication. Elle est le sens caché de l’expression des nombres entiers. Ainsi, l’intervalle est un moyen de comparer les nombres entiers en définissant s’ils sont premiers. Pour l’instant, nous prenons juste connaissance de la logique formée par un même dividende.


La composition des nombres en décomposition !


La division des nombres donne des nombres décimaux, c’est selon leurs multiples originaux que vont être interprétées les différentes natures des chiffres. En multipliant 1*2 on a le même résultat en faisant 2/1


En prenant l’exemple du tableau ci-contre, qui traite des nombres de 1 à 21. Les nombres entiers donnés forment les dividendes. Chaque diviseur est traité par la série des dividendes, ils constituent une colonne des subdivisions relatives. Toutes ces divisions, colonisées en un point commun, relatent le tempérament du diviseur dans l’évolution des nombres entiers.


Le caractère décimal du chiffre « 3 » offre une série remarquable, en un premier temps de multiplicité. Ces intervalles avec virgule comportée a deux fixations (0,333… & 0,666…), qui sont à l’origine des nombres premiers. D’où une description des valeurs premières, qui ne se répètent pas sous peine de devenir des multiples secondaires….


La composition des intervalles aux cas de figures multiples.

Précédemment, les épisodes des dividendes concernaient les nombres entiers de 1 à 21. Et hiérarchiquement, les formes s’incrémentaient d’une unité. Entre 1 & 2, il y a tout le nécessaire pour une bonne analyse. Puis, ce qu’il y a entre trois & quatre est pratiquement identique, sauf pour l’unité entière du nombre décimal. Aussi, le tableau de gauche, développe les intervalles relatifs aux nombres. Décrit les correspondances depuis la source commençant à un, à chaque fois.


Le monde des fractions s’organise en une chronologie qui n’est pas aléatoire, puisque au fur et à mesure, elles développent des multiples. Il y a de nombreuses connections multiples, et ce qui peut paraître compliqué actuellement serait mis en lumière avec d’autres compositions.


Car, il y avait le multiple élément. Qui était subdivisé en découvrant des régions, à l’aide des dividendes révélateurs. Ainsi, que tous les multiples nombres de trois ont les mêmes indices décimaux. Idem pour les autres catégories de chiffres….


1,333333333333330 : expression de 4/3, 8/6, 12/9,

16/12, 20/15, 24/18, 28/21…


 1,666666666666670 : expression de 5/3, 10/6, 15/9,

20/12, 25/15, 30/18, 35/21, 40/24…


1,1111111111111100 : expression de 10/9, 20/18,

30/27, 40/36, 50/45, 60/54…


LES NOMBRES ENTIERS : Le nombre entier et sa quantification élémentaire

Les multiples de 3, sont : Six, neuf, douze

Chroniques d’un développement :


● La subdivision par un dividende commun = La signature décimale mise à l’échelle unifiée relative à chaque nombre. (µ2)


Un unique diviseur, pour une série croissante de chiffres, met à l’échelle le quotient. En divisant 2/2, on obtient 1. Aussi, 22/22 donne 1… Ainsi, les nombres 2 et 22, donnent des résultats de même ordre de grandeur numérique. Puisque parmi les résultats, on obtient des valeurs décimales différentes (nombre de chiffres après la virgule), il y a un indice d’unité décimale (µ2). Cette unité est importante, malgré son côté obsolète. En effet, en passant au-delà de 2, les décimales, bien qu’inchangées, se verront incrémenter d’une unité entière. De 0.33, çà passe à 1.33. En termes d’exemple : 2/2=1, 3/2=1.5, 4/2=2. Et, 22/22=1,000000000000000, 23/22=1,045454545454550, 24/22=1,090909090909090, 25/22=1,136363636363640, 26/22=1,181818181818180, 44/22=2,000000000000000


● La découverte des tempéraments fractionnés, évoluant en couplage des multiples respectifs. (3/2)


Chaque segment (colonne) appartient à un nombre entier qui a servi de diviseur, en ne gardant que la première composition couplée, on a une série de couples multiples. Ainsi, 3/2 donne 6/4, puisqu’on multiplie (2*3)/(2*2)=1,50. Puis, (3*3)/(3*2)=1,50. Puis, (4*3)/(4*2)=1,50. Ce genre de tempérament a du couple, et a un résultat unique.


● La disposition des nombres entiers, ayant la primeur des décimales à l’avenir multiplié. (0.5*2)


Les univers numériques parallèles sont d’une évolution croissante, elles concernent les nombres qui vont des décimaux aux entiers. En démontrant des situations d’octaves numériques, pour 1=0.33. 2=1.33. 3=2.33… Et des derniers multiples tels, (0.5*2) =1 entier.


● La chronique énumérée dans un milieu hexagonal, d’où l’attrait d’une autre classification numérale. (X6)


La raison de cette structure hexagonale est fondamentale pour l’univers des nombres entiers, selon son avantageuse organisation numérale. Ce chapitre sera vu plus loin.


La structure « X6 » offre une table, dans laquelle se réunissent tous les tempéraments des nombres multiples.

Sont concernés les nombres pairs, impairs, entiers et premiers. Chaque section de cet hexagone comporte une série d’une même nature de nombre (pairs, impairs, entiers et premiers).





L’histoire des nombres serait plus simple sans les mathématiques, le contraire aurait été étonnant. Puisqu’ils font partie intégrante du langage mathématique, ils servent à compter pour rendre la monnaie. Les chiffres ne sont pas tous égaux, aussi leurs classifications sont assez simples. Lors des premières tables de multiplication, sont apparues les particularités relatives aux multiples. Donc, on obtient le même résultat en faisant « 3*7 » « 7*3 ». En divisant ce résultat par son multiple original, on en revient à fermer un cycle opératoire. 21/7=3. 21/3=7. 3*7=21. 7*3=21.



Il y a de nombreuses choses à découvrir avec les nombres fonctionnels, ceux qui agissent avec logique. La division est une complémentaire multiple, elle a un objectif diminué contrairement à la multiplication. Lorsqu’on sait la valeur de l’intervalle, on n’ignore pas la mesure du tempérament. Avec la division dont l’expression décimale est plus parlante, et qui va à la croisée des décimaux de un à un million de chiffres après la virgule. La méthode a été réalisée avec un tableur réalisant de nombres à 15 décimales. D’où l’indice (µ2) du nombre subdivisé, d’où une déclaration de profondeur décimale.



L’évolution du développement particulier à un cas unique, et la chronologie des cas de développement. L’harmonisation numérique des nombres, dans son ensemble, elle produit des multiples. À chaque cas correspond un tempérament qui donne une cadence multiplicative, d’un même pas numérique et associatif. Parmi les tempéraments, les nombres pairs forment un point fort relatif commun harmonique. À chaque développement, il y a une quantité d’éléments accrue. Lors du mélange des tempéraments numériques, en rapport des différentes natures plus ou moins présentes. À l’image, d’une forêt dont une espèce d’arbre serait en plus grand nombre.



Les nombres entiers forment un système hexanumérique, exprimant ainsi une première étape de repérage. Les nombres, réunis dans une même colonne, sont tous de nature identique. Le système hexagonal est le symbole de l’ordre numérique. Il filtre l’information de localisation du nombre, emplacement qui détermine la nature de ce nombre.



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