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FONDEMENT :

Les gammes fondamentales ont des définitions enharmoniques.

Le moyen actuel

L’évolution en cours

La valeur visitée

Les découvertes diatoniques nous enrichissent en matière de développement. Grâce à l’utilisation de notes interactives extraordinaires.

La façon élémentaire dans la découverte des gammes fondamentales est d’altérer les notes afin de vérifier leurs définitions diatoniques. En développant ces possibilités, les gammes irrationnelles ont tracé des chemins diatoniques cohérents.

En ayant utilisé les primitives absolues, nous avons franchi les limites données aux gammes. Et, la portée des transpositions diatoniques.

Alors, les gammes issues de l’altéractivité qui entraîne les notes en dehors de l’espace d’octave. Prouvent l’existence élémentaire d’une ligne évolutive qui va au-delà des conformités originales d’un développement classique. Qui découvre un état unique et parfaitement présenté.

La logique des gammes fondamentales ne s’arrête pas à des définitions enharmoniques. Car, une autre logique est à venir.

Les transpositions diatoniques dues à cette technique, créent l’harmonie qui se trouve être aux portes d’un système absolu. Avec toute la mécanisation diatonique, qui lui est relative.

L’évolution des notes naturelles qui sont altérées à l’unité, nous amènent à la connaissance des transpositions ayant une composition extraordinaire. Il est naturel de penser, que le schéma proposé par ces modulations, supporte le reflet des mécanismes harmoniques des gammes.


Aussi, qu’au fil de cette logique évolutive, on puisse voir une chronologie d’ordre primitif.

Que cet ordre puisse être un vecteur, dans la recherche de l’intelligence érudite, qui donne une chronologie parfaite aux gammes. 


Les modulations ont été développés avec la contribution, d’un groupe de cinq altérations portées sur une note. Car, ce chiffre représente le complément des sept notes, dans ce système chromatique dodécatone.


En restant en mode introctave (dans l’espace d’octave), la septième permet cinq altérations mineures. Quant à la seconde, elle permet quatre altérations, sans altéraction avec l’octave. Ce qui résume l’utilisation du groupe des cinq altérations.


Les gammes pour être élémentaires doivent porter des noms simples.

Alors, et d’une manière francophone, les noms vont comporter deux qualités :

1) Un diminutif de Nombre.

2) Un diminutif de Valeur.

N={di/tri/qua/cin} & V={mineur/augmenté}

Pour terminer, ce genre de développement nous donne un échantillon gammique. L’important est d’avoir saisi, que les moyens sont nombreux et significatifs. Par les différentes chronologies, par les transpositions révélatrices d’une mécanique harmonique étendue. Forts d’être conscients des possibilités innovantes et sûrs d’avoir à découvrir encore d’autres facettes liées aux gammes fondamentales.

Gammes altéractives

L’altéraction est un phénomène dû à l’altération !


La force altéractive provoque un effet de balayage sur les notes musicales. Si la note garde son appellation originale, elle se voit néanmoins attribuée d’une altération pouvant cumuler les mêmes signes ( et calculer les oppositions )… Télécharger gamme alteractive

gamme à un signe

Gammes de poids altéractif d'une signature à un signe 

Télécharger gambiochroI

Gammes à 2 signes

Gammes de poids altéractif d'une signature à deux signes 

Télécharger gamfondechroII

Gammes à tonique évolutive

Gammes de poids altéractif d'une tonique à signature séquencée (b/#) 

Télécharger gamfondechroIII

Mag . fon . bio

Voici l’exemple des modulations données par les primitives

La tonique mineure et son approche dominante.

La tonique est exemplaire, elle conduit à une modulation dominante. Et ce, aux cinq niveaux altéractifs développés. Elle n’est pas la seule primitive à effectuer des modulations dominantes, le cinquième mode diatonique altéractif présente les mêmes qualités.

La tonique diminuée et son évolution dominante.

Ce qui est remarquable se trouve être dans la série des modulations, présentées par chaque primitive activée par l’altération. Cette suite n’est pas aléatoire, car chaque élément gammique est unique. Et, se range pour sa qualité et sa tonalité.

La tonique triminuée et sa terminaison dominante.

Une seule gamme fondamentale, se retrouve au terme de cette suite primitive. Le mode diatonique °45x vient donc terminer la phase des modulations, il dessine un cluster ayant un intervalle de #IV ou III. Çà dépend comment il est mesuré ; En prenant l’écart entre deux notes diatoniques, c’est le cas d’une quarte augmentée. Et, si l’intervalle est mesuré par rapport à lui-même, il s’agit d’une tierce majeure.

La tonique quaminuée et sa sensibilité dominante.

L’ultime modulation (°45x) forme un couple de primitives, et ce n’est pas le seul couplage à ressortir du développement des primitives altéractives. La sensible augmentée donne le deuxième mode diatonique, de la gamme -36+. La tonique diaugmentée fait ressortir à son quatrième degré ou médian, la gamme +45x. Il n’y a pas beaucoup de couples avec les primitives ayant une seule altération altéractive. Si généralement, le rang des naturelles d’une altération, donne des diatonies à une altération. De même pour celles ayant deux & trois altérations. Ainsi, que l’on ne trouve aucune fondamentale dans ce procédé, avec quatre altérations.

La tonique cinminuée et sa sensibilité dominante.

Aussi, aux quatre & cinq altérations portées sur les primitives naturelles, on obtient une majorité du modèle terminal exprimé ci-dessus (°45x). Puis, des exceptions, telles :

-*3 avec son -VI *5

-*7 avec son -III *5

+^1 avec son VI ^3

+^4 avec son II ^3.

Jugez par vous-même, de la difficulté à imaginer les mécanismes musicaux. De comprendre l'instant de tous les rouages des gammes. D’assimiler les divers développements relatifs aux gammes, et surtout. L’intelligence à fournir pour interpréter les définitions harmoniques, ainsi que toutes les logiques qui en découlent.

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