agenph_2

LES NOMBRES ENTIERS :

La quantification élémentaire du nombre entier et s...


La structure logique hexanumérique ne suffit pas à savoir la nature première du nombre, car les colonnes 1&5 ne sont pas exclusivement des nombres premiers. Elle a l’avantage de cerner rapidement une grande quantité de nombres, en comparaison de l’ensemble des nombres premiers. Ici, les modèles pairs et les multiples de trois sont alignés dans leurs colonnes respectives. Autrement, les tempéraments des nombres multiples traversent la zone hexanumérique en diagonale. Ce mot ressemble étrangement au mot diatonique, ils traversent tous deux un espace organisé.


Cette table de six colonnes, suit un algorithme d’un seul diviseur. Une unité universelle aux nombres entiers, car chaque nombre a sa part hexadécimale. Pour donner une image mathématique à ce développement, il faut calculer combien il y a de fois six dans ce nombre. Par exemple pour situer le chiffre 5 parmi les colonnes d’une telle structure. Donc, 5/6 donne un argument au sujet de son emplacement.


0.833333333333333 (µ16)


Des tempéraments peuvent se croiser, en un point coaxial. Le couple de deux tempéraments numériques, à la rencontre d’un multiple commun. En chaque type de tempérament, il y a une couleur, et au point commun, il y a un élément composé. Ce multiple est différent des multiples d’un tempérament unique, comme on le voit. Les couples ne sont pas nombreux.


Les voici : (5-7), (5-11), (5-13), (5-7), (7-11), (7-13).



En analysant les différentes sections, on oriente leurs positions.


Il y a comme origine deux types de nombres, les pairs et les impairs. Tous deux forment une harmonicité générale. La forme dynamique des nombres dessine un hexagone, parce que la classification des multiples s’organise autour des multiples de trois. Ce multiple, qui se trouve être en symétrie perpendiculaire en opposition des types pairs et impairs. Il a un axe opposé à celui qui organise les nombres premiers, qui sont toujours impairs.


L’harmonie donnée par les nombres premiers est importante, puisqu’elle a pour qualité d’être les premiers multiples adjacents. On pourrait considérer que l’axe des nombres premiers est majeur, en raison d’une certaine inharmonicité. Qui a pour effet, de créer des vagues, au milieu de la multitude des multiples secondaires.


HEXAGONE


Il y a une première opinion qui définit un ordre théorique :


Selon les termes d’un hexagone régulier, qui par ses proportions égales qui établissent ainsi un état numérique équilibré. Où chaque portion est un ensemble homogène de chiffres. Et, bien que la série numérique soit harmonique. Elle ne répond pas aux besoins des sections, car ce cas de figure n’est donc pas exact.


Si elle est une réponse numérique précise, elle n’a pas les réelles proportions qui feraient évoluer les termes de cette première opinion.




Nous avons donc, une parité paire et une autre impaire.


Les nombres pairs forment un ensemble triphasé, dont une des phases est adjointe à un multiple ternaire.


Les nombres impairs forment également un ensemble triphasé, seulement les deux tiers purement impairs sont cadencés au rythme des premiers multiples. Ces deux phases impaires ne sont pas aussi régulières, que les deux phases paires. Une phase impaire est adjointe du multiple de trois.


La parité des nombres a ainsi une positive paire, qui est reliée à son opposé impair par les multiples de trois.


Le sens opposé impair a un type majoritairement premier, qui est particulièrement arythmique au type pair.



Les sections numériques étant relativement hexatypiques, viennent par le phénomène harmonique se mêler entre elles.


Et, leurs mouvements sont rythmés par les nombres premiers. Ainsi, à chaque occurrence d’un premier, la masse harmonique est déviée par le poids imposé à cet équilibre harmonique ou variant selon…


La géométrie, dessinée par toutes ces phases numériques, traduit le plan de masse de la géolocalisation des nombres entiers.


Aussi, cette structure n’est pas immobile puisqu’elle s’anime au rythme des premiers.




L’aspect négatif relate les différentes classes, afin de cerner une quelconque intrusion de classe. Ainsi, que la positivité ne concerne qu’une seule classe tonique 


 



Force (-1/3)+(2/3)Si 2/3 des pairs sont majeurs, un tiers est une relative mineure

 



Force (-1/2)+(1/2)Les multiples de trois sont à l’axe des parités, et diamétralement situés


 


Force (-2/3)+(1/3)Les nombres impairs n’ont aucune part intégralement impaire, divisés entre premiers et multiples de 3




 Force (-2/2)Les nombres premiers sont des nombres impairs, ils tracent un axe impair et relatif pair



La forme dépend de l’équilibre harmonique.


Au départ, nous n’avions que les nombres classés dans une figure hexanumérative. Ils formaient un hexagone divisé en parties égales, en sectorisant des classes identiques. Nous avons aussi remarqué, qu’il y avait différentes tonicités regroupées. Et, que pour une majorité équilibrée des nombres pairs et des nombres impairs. Et qui parmi ces nombres, il y avait deux parités. Une pour les multiples de trois, l’autre pour les nombres premiers. Donc, deux forces opposées.

Pairs (3/6) Force (-1/3)+(2/3)

Pour finir à ce que les nombres pairs soient majeurs, selon leurs originales formes naturelles. Relatives aux portions paires non envahies par les autres classes naturelles, elles aussi. À quantité égale, il y a les nombres impairs. 

Impairs (3/6) Force (-2/3)+(1/3)

Les nombres impairs ayant la même capacité (3/6), supportent l’effet de l’axe des nombres premiers. Puis la parité des multiples de trois (pairs et impairs), traçant ainsi l’axe de liaison des nombres pairs et impairs.

Multiple de trois (-2/6) Force (-1/2)+(1/2)

Le monde hexanumérique est symétrisé par le tracé des multiples de trois, qui sont de part et d’autre des nombres entiers en formant un axe constant. À l’image des pôles terrestres nord et sud, en opposition avec l’axe variable des nombres premiers.

Premiers (-2/6) Force (-2/2)

Les nombres premiers sont tous impairs, ils ont la force des premiers multiples devenus communs, donc stabilisés. La perpendiculaire dessinée réalise des battements numériques. Les états initiaux des nombres premiers donnent la règle des irrégularités, à chaque événement correspond une onde de choc propagée.



Les nombres dans leurs harmonies vont juxtaposer leurs principales forces relatives aux classes. En alignant les axes généraux, on aligne les multiples de trois et les nombres premiers. Deux mondes différents, aux mécaniques contrariées par le rythme des nombres premiers. Pour qu’harmoniquement, il y ait une activité numérique relative à l’unité élémentaire (pourquoi pas !)


Share by: