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CHROMANTISE :

Que serait la gamme sans son aire, ou comment est la chronique chromatique ???...

Tableau des séries horizontales


La définition géométrique de la modulation est l’art du dessin quantique.

Si le développement modal crée la modulation tonale, en nuançant la note musicale d’une nouvelle qualité. Et bien que les notes soient ordonnées, et rattachées à une valeur de tonalité.

La définition métrique est aussi un réglé musical

Et, chaque modèle diatonique forme un ensemble modal de la gamme musicale. Dont la signification laisse entendre, la relation diatonique des sept modes .



Selon le sens de lecture, se dessinent les courbes.

Prescription de deux formes de lecture.

1. La ligne modale

2. La colonne tonale

Horizontal {1/1... 7/7}

La nature du mode en séquence diatonique, et son cycle de sept notes.

Vertical {1/1... 7/1}

À l’opposé de {1/1...7/7}, il y a {1/1...7/1}. Séquence diatonique au niveau du degré tonal par mode.


Tableau des séries verticales

CHROMANTISME : Paysages chromatiques classieux, et désordres inconnus

 Ceci du point de vue d’analyse préalable à la connaissance élémentaire.

L’origine diatonique du chromatisme est au 2ᵉ mode naturel, ayant la forme majeure de la modulation, et là, la nature chromatique majeure a été transposée. Cette modulation fait le rapport des relativités chromatiques, ainsi que la série chronologie diatonique. Caractéristiquement, chaque niveau de modulation majeure a un sens de développement. En démontrant que ces attributions majeures coïncident avec les dispositions enharmoniques, que ces niveaux chromatiques sont les premiers créateurs des doubles signes des altérations. Il est évident, que l’interprétation de la gamme naturelle majeure, laisse un champ chromatique libre.

Le modèle majeur est une matrice qui met en forme tonale des notes musicales, ainsi qu’ayant créé des exemplaires originaux. L’évolution des notes altérées décrit une logique invariable, dans cette situation. Qui, intégralement, va donner un rythme de modulation. Ou une chronologie dans laquelle on y discerne un mécanisme orienté majeur. La définition chromantique situe les intersections de deux sens de lecture modale, comme une valeur témoin d’un début de changement. Le domaine des altérations compose plusieurs couches relatives aux nombres signés, aussi le double dièse n’est pas dans la même couche que le simple dièse... Les notes naturelles sont exclusives au modèle chromatique, démontré du basculement majeur lors du mode très altéré. Étant un état majeur sur l’empreinte diatonique naturelle.

Fond diffus chromatique



Les modulations chromatiques forment une évolution, par ceci elles laissent des éléments non utilisés.


L’importance de ces derniers est de soutenir l’évolution réelle par une présence fantôme due au premier effet majeur chromatique.

Chaque évolution suit un développement diatonique, et chaque série diatonique va donner un fond diffus chromatique relatif. Qui serait la somme de tous les éléments créés devenus inutiles.

La valeur majeure de la gamme tempérée et la fluidité d’un tempérament régulier, autant de significations harmoniques.


À un moment, la règle du développement chromatique va poser un problème à son éditeur : Comment combler les lacunes chromatiques de la gamme de DO dominante...


L’activité altérative sur la note diatonique élargit l’intervalle chromatique, en évoquant une technique de modulation hors norme.

Ou, une autre façon de définir les notes chromatiques relatives gammiques.


§§§



CHROMANTIQUE : La constance des régulations chromatiques, parmi les gammes

La gamme chromatique procède différemment, selon que l’altération est augmentée de la précédente et diminuée de la suivante. En effet, la gamme heptatonique contient un nombre de 17 notes, parmi lesquelles nous retrouvons les relatives chromatiques.

La gamme chromatique procède autrement, selon que l’altération est augmentée de la précédente et rabaissée de la suivante. En effet, la gamme heptatonique contient un nombre de 17 notes, parmi lesquelles nous retrouvons les relatives chromatiques.

La facilité chromatique.

Tout débute par les sept notes naturelles, l’ensemble {1,2,3,4,5,6,7}. Puis, l’altération vient signer cette réplique de note selon qu’elle est augmentée ou bien diminuée [{#1,#2,#4,#5,#6}{b2,b3,b5,b6,b7}].

Les développements chromatiques ci-contre, dérivent de la logique première puisqu’ils possèdent plusieurs fois la même note signée différemment. D’où l’idée d’une possibilité logique différente, celle d’élever une note à la puissance altérative et mise à la tonalité avec l’altération. Cette méthode originale répond à la simple demande de remplissage chromatique par unité concernée.

Il y a maintenant deux manières de développer les gammes chromatiques relatives gammiques.

1. La modulation altérative

L’élévation de la note chromatiquement, en comblant l’emplacement librement vide. Conduit à créer une vague harmonique, donné par la qualité harmonique de la note et par sa course chromatique. Tout comme le bateau qui se déplace sur l’eau, la note forme son sillage harmonique. En même temps, la trajectoire de la note est donnée par la gamme relative, aussi la vague harmonique est conditionnelle. (C’est cette fonctionnalité d’analyse qui est employée lors de la modulation diatonique.) Bien que la gamme naturelle nous ait donné le sens chromatique original, l’espace libéré dû à la modulation diatonique nous laisse un champ d’activités libres. Ces activités chromatiques doivent seulement être liées aux logiques des développements.

2. La modulation naturelle

L’origine chromatique naturelle, doit-elle être immuable, malgré son côté détaché en comparaison au sillage de la note. Et, selon que le développement se fait en étudiant les gammes diatoniques ou en créant les gammes chromatiques. Nous avons aussi le choix de suivre la logique originale, soit que la note évolue une seule fois chromatiquement. Ceci démontre les qualités modales de la note diatonique, soit lorsqu’elle évolue sans aucun remplacement de note (comme précédemment), et nous retrouvons davantage de notes chromatiques. Ainsi, la coloration harmonique de la gamme comporte plus de matières. Aussi, le nombre de notes correspond à celui de l’original. 

Lors des développements chromatiques relatifs aux gammes diatoniques, il y a des éléments philosophiques à ne pas négliger. Telle la métamorphose de la note qui évolue dans son mouvement, ainsi que la couleur chromatique enrichie par le nombre des notes.

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