armgam_1

Gammes associées à une tonalité signée

La réunion gammale offre une relative naturelle.


● Ces tonalités sont mesurées dans une logique, selon laquelle la tonalité a une origine naturelle.


● Que la formation de la tonalité égale une série diatonique à terme de tonalités adjacentes.


● Par la propagation de l’interaction diatonique, qui active les intervalles intertoniques.


L’interprétation de la signature diatonique est en rapport avec sa définition. Comme toujours, la ressource naturelle est majeure. La clé de la tonalité a des points majeurs….


Donc, la réunion gammale a une clé tonale qui a des points naturellement majeurs. Et comme il y a d’autres points qui ne sont pas majeurs, éparpillés en ordre mineur. Le point majeur de la clé est un noyau (qui a sa propre tonalité), qui longe l’axe naturel. À chaque extrémité, il y a des points d’interaction diatonique. D’où une résonance de la tonalité soutenue par le noyau majeur….

***

● La forme tonale réunie


● La forme diatonique réunie


Parmi le monde des formes, nous sommes parvenus à définir une ligne naturelle. Qui dans un premier temps arpente les unités tonales, puis la tonalité diatonique est interactive à la réunion. La logique de groupe rassemble les tonalités, donnant une signature superdiatonique. La forme tonale réunie interprète la résonance selon les tonalités, elle se propage basiquement en développant un système d’interaction. À différentes échelles de propagation, avec plusieurs mises en tonalités. La réunion diatonique, en tant que tonalité, n’est pas un cas unique de développement. Quant au rapport diatonique de la gamme, celui dont les modèles diatoniques créent l’interférence modale.


Lorsque l’on sait, que la force diatonique de l’unité gammale a pour essence l’unité tonale. Les mesures réalisées lors des rapprochements modaux, nous ont rapportées des taux. Démontrant une figure plus compliquée de la gamme, celle qui y dessine les divers taux d’intérêts diatoniques. La forme tonale comporte une tonalité monochrome, et la forme diatonique comporte une tonalité polychrome. La signature d’une réunion gammale dépend de son interprétation, dans sa forme compliquée, elle a la forme diatonique qui s’associe avec la forme tonale réunie bien évidement. La forme diatonique réunie donne un sens à sa première expression tonale.


Décomplexée de son état, car enfin l’unité a réussi son complexe. Fort d’y voir quelques-unes de ses attractions, évoluant sans aucune attente. La démultiplication de sa présence, une simple absence pour définir l’indéfinissable. Avec le but de croire en cette absence élémentaire. L’autrement de l’idée positive de l’unité. Puis, le multiple harmonique crée son mouvement limité (à l’unité). La chronologie donne des associations épiques, telles les octaves (doubles fondamentaux).


La tempérance par la pratique, pour une meilleure pérennité de l’œuvre théorique.


L’attrait musical pour l’instrumentation est fabuleux, et l’écriture porte l’orchestre vers une précise interprétation. Le solfège rempli son rôle de transmetteur, et il aide à la reproduction sonore. Les techniques de l’écriture musicale ont évoluées, ainsi que le solfège n’est pas le seul et unique moyen de transmettre la définition.


L’existence des clefs diffuse une tessiture, qui va du bas vers l’aigu.


Afin de montrer l’échelonnage des notes diatoniques, une première image de la gamme naturelle bien sympathique.



Le diapason de la note, donne une diatonique naturelle. Chaque note de la gamme a une unité harmonique, et les unités diatoniques réunies donnent une tonalité. Il y a la note et sa valeur tonale, au terme, elle aura autant de valeurs que de notes diatoniques. La schémbiatonie offre une image instantanée, qui est égale à un point précis du battement harmonique de la tonalité diatonique naturelle.


Lorsque la gamme est entendue, un relief harmonique est activé. Le fait d’étendre l’écoute par la gamme en continu, perpétue une série discontinue des harmoniques primaires. L’unique histoire fondamentale commence par l’harmonie primaire.


La composition diatonique forme une structure harmonique, et tout comme l’armature de l’altération, elle diffuse son rayonnement tonal. Le principe de l’armature est d’avoir des éléments interactifs, qui agissent sur des éléments voisins. Pour l’armature altéractive, les signes dièse et bémol, vont venir altérer les notes avec précision. Au sujet de l’armature diatonique avec sa signature tonale, qui vient ajouter une valeur modale à sa définition harmonique. Mesurer les notes musicales avec une règle en centimètres, n’est pas la seule façon de prendre des mesures musicales…. L’armature est un ensemble développé qui a un résultat unique, une série d’éléments qui lui sont chroniques. À l’image de la clef altéractive qui ouvre la porte de la gamme diatonique. La tonalité diatonique ouvre la porte de la modélisation harmonique.


L’image de l’armature est une logique, qui affecte les notes musicales de manière théorique. Son influence pratique est une interprétation instrumentale, qui devra tirer une musicalité de cette armature. La musicalité est une théologie artistique.

Musical. Chaque expression théorique de l’armature à sa musicalité artistique, en l’effet de sa charmante modulation artistique (elle aussi). Ce qui fait le charme musical est davantage d’ordre humain, ou bien la généralisation d’un groupe de styles musicaux bien définis. L’activité humaine est une bioharmonie musicale, qui évolue d’autant plus vite que l’ampleur du mouvement de masse imposé.

Gr E-23

Il est une mathématique musicale…

L’analyse de la signature diatonique dépend de l’état du groupement.

Le groupe « EFOG » :


Correspond à un ensemble mélodique mineur, contrairement à « EOFG » dans une logique basique. Ou alors, il aurait été mélodique majeur, par sa seconde majeure. Les groupes sont des constantes, et leurs logiques est une parenthèse familière à la gamme. On revient au Gr E-23, et de son contraire, le Gr E-3. Autrement, on sort du contexte Gr mélodique naturel, qui n’est autre que le -3 de toutes les situations !


Au niveau de ce groupe, il y a le croisement des flux altéractifs limités. EFOG donne sa définition fondamentale, ainsi que son espace d’altéraction. EFOG montre des signes de tonalités réelles dans un milieu de vacances des notes diatoniques relatives. Puisqu’il est question de regroupement des tonalités diatoniques, d’un espace à la mesure diatonique. Dans lequel il y a un noyau tonal, qui emporte la force tonique sur les résonances diatoniques en jeu….

La structure musicale est un résultat, puis de sa logique originale et de son interprétation analytique. Le langage musical vient des notes de musique, il suit les règles des modulations. Le groupe « EFOG » et son savoir unitaire, se définit comme un objet de transposition régulière. Soit, en étant identifié en lui appliquant une analyse suivant la règle des états naturels altérés. Aussi, dans le cas de quelques gammes diatoniques liées par un Gr. Il y a un effet de résonance diatonique des gammes entre elles, cette harmonie dégagée par la totalité des notes est maintenue par son noyau tonal. Il est normal de croire qu’il soit fondamental de penser, que la force tonique donnée ait une influence majeure dans la résonance. Comme un fond diffus, donnant la tonalité originale de l’objet.

L’imparable relativité musicale…

Il est un fait avéré consistant, l’activité musicale met en jeu de nombreux développements. Du tout premier développement des gammes toniques majeures, s'est ensuivi des séries chromatiques et tétracordiques. À chaque niveau de développement, il y a une foule de renseignements. L’histoire d’une logique manuscrite de manière à rédiger les figures sur des feuilles en papier. Car autrement, il aurait été difficile de suivre les cours des gammes de façon mentale. L’écriture sauve la pensée de son oubli, en parvenant à dessiner des micropartitions. Qui forment un ensemble complexe dans une petite surface, sur le papier. L’envahissement des feuilles et leurs classements logiques, donnent une chronologie d’événements particuliers par niveau d’intérêt. J’entends par là, qu’à l’origine gammique du cours, il y a eu une suite de superpositions de types relatifs. Tout en restant dans l’art musical, pour y voir un maximum d’éléments harmoniques associés.


À ce jour, correspond une étape d’organisation.


De l’effectif avancé en ces pages web, qui déclare l’ouverture d’un sujet sur les résonances…


Cette édition définit un noyau relatif à plusieurs diatonies, dont les notes diatoniques hors noyau ont des résonances influencées par l’effet « noyau ». Il s’avère, que le noyau a une forme mécanique, qui est la réponse d’un autre développement. J’avoue avoir réalisé les premiers papiers, il y a longtemps, et que pour mieux revenir. Il faut, que j’aille prendre de l’élan.


Ce qui était hier, correspond une série de feuilles manuscrites.


● Développement chromatique

● Chronologie harmonique

● Assemblage des nœuds

● Résonances artificielles


Jour de pause : Dimanche 26 mai 2013 à 18:12 mn…/


Jour de prise : Samedi 8 juin 2013 à 11:22 mn…

Share by: