armcom_3

Diatonique commatique -

Diatonie naturelle et résolution chromatisme ouvert

Le chromatisme à cycle ouvert est résolu.

En résolvant le chromatisme ouvert, on aboutit à reformer une gamme chromatique dont la modulation se résume en une transposition. Ainsi la série commatique n'aboutit pas à une nouvelle diatonie fondamentale², et ce même si la résolution n'est pas effectuée. La gamme chromatique qui connait une fissure intermodale, telles celles aux cycles ouverts, produit des gammes composites².


Fondamentale² : On dit qu'une gamme est fondamentale lorsqu'elle n'a aucune équivalence modale sur sa valeur numérique de la tonalité. Sont exclues les modulations issues d'une transposition qui ne change que les valeurs tonales de leurs tonalités.

Composites² : Ces chromatismes ouverts comportent des absences intermodales, aussi les parties chromatiques qui ne sont pas supportées par l'exactitude de la tonalité numérique sont en porte-à-faux. En résulte des commatismes par composition.

Nom: armcom_3_1.png

Résolution et cohésion intermodale, a été utilisé la modulation de la gamme originale en ou bbE.

Nom: armcom_3_2.png

Les diatonies commatiques


Comme détaillé précédemment, les gammes commatiques diffèrent selon leurs origines ouverte² ou fermée².

Puis, cette première étape du développement chromatique démontre qu'en mode fermé, ne se produit que seulement six gammes µmi² ou miµ², Tandis qu'en mode ou cycle ouvert se produit une abstraction intermodale, soit qu'à chaque degré modal la formulation numérique de la tonalité crée une "fissure" diatonique. Et donc, le développement diatonique de la gamme chromatique en cycle ouvert produit des trilogies qui n'ont pas de rapport réel entre elles. Mais sauf, qu'une simple transposition permet de reconstruire la réalité des éléments diatoniques.


Ouverte² : On dit que l'origine chromatique a un cycle ouvert, lorsque les formes des tonalités numériques ne correspondent pas aux deux modes chromatiques concernés. La forme numérique intermodale est abstraite.

Fermée² : On dit que l'origine chromatique a un cycle fermé, lorsque les formes des tonalités numériques correspondent aux deux modes chromatiques concernés. La forme numérique intermodale est réelle.

µmi², miµ² : Sont les acronymes d'1 Unité micro-intervalle, d'2 Micro-intervalle unité. Unité = µ

Résultat commatique d'origine chrome naturel fermé

Développement des degrés modaux diatoniques de la gamme commatique issue chromatique naturelle en cycle fermé.


Les formes numériques des tonalités sont adaptées aux trilogies modales, elles composent une réelle diatonie.


Ici, la gamme numéro deux de la production du mode fermé. Ayant aussi six degrés modaux transposés.

Nom: armcom_1_6aif.png

Voir en page précédente armcom_2 chromatisme fermé

Résultat commatique d'origine chrome naturel ouvert

La gamme commatique issue du chrome ouvert présente des particularités dès sa première apparition.


Ses notes répétées {AAA}, ses extensions du septième degré (x7) et du neuvième degré (*9).


Les formes numériques des tonalités ont des correspondances parsemées d'incohésions, elles varient selon les degrés modaux.


Cette diatonie comma est tiré du précédent développement, produisant les douze gammes commas.

Nom: armcom_2_2aio.png

Voir en page précédente armcom_2 chromatisme ouvert

Notion de l'utilisation des extensions

Nom: armcom_4_2.png


Définition de l'extension :

L'extension, c'est la note qui se trouve dans les octaves (supérieur/inférieur).


Le tableau des plagiats, ci-gauche, nous informe sur les possibilités altératives des notes. Ce qui est aussi des compressions situées aux extrémités, et venir ainsi épurer l'utilisation des altérations. Ce n'est pas une règle obligatoire, mais elle est utile pour la répartition des altérations, c'est aussi ce tableau qui nous guide à l'utilisation des extensions.


On altère les notes dans la partie située entre les deux compressions, et au-delà, on altère les extensions afin de répondre à la logique des plagiats. On a le choix d'opter pour le volume de l'altération, exemple o8 a une altération moins volumineuse que -*8. En choisissant les volumes comme limite d'utilisation (note/extension), on n'a pas partout la coïncidence au niveau des volumes de six dans l'altération entre (note/extension).


Volume six de l'altération (b/#) = ^^1 et **8.

Quand ^ = ### et * = bbb.


On opte pour l'extension, car l'évolution chromatique produit x^^^1, alors qu'on est tenté d'écrire -8 qui est plus simple. Et enfin, la composition d'une règle compliquée et clairement logique, ne fait qu'augmenter la surface d'intelligence donnée par la quantique de la musique.


Nom: armcom_4_1.png
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