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HISTOIRE :

Le complexe donné par les tétracordes, est un état harmoniquement structuré

Le tétracorde est formé par un groupement de quatre éléments, et deux tétracordes mettent en évidence un aspect méconnu des gammes. Qui est la source d’objets primitifs, ayant des discernements symétriques. Autant, par son rythme tonal, qu’à ses polarités variables. Ce monde ne se découvre pas simplement, il faut seulement suivre cette évolution de faits. Il est donné, que les liaisons tétracordiques soient accessibles via une accumulation d’idées.

HISTOIRE : Le complexe donné par les tétracordes, est un état harmoniquement structuré

Il fallait avoir un système gammique, pour analyser le tétracorde. Cet élément donne une empreinte à la mécanisation des harmoniques, et par sa modélisation reproductible.



Il va créer des similitudes entre les différentes diatonies, créer un rapport mathématique au sein des gammes.

Et actuellement, selon l’avancée des travaux, Il se pourrait très bien que le tétracorde ait un rôle évident. Mais aussi, qu’il crée une conjoncture.

Qu’il donne un sens à l’harmonie des gammes fondamentales, qu’il dessine un relief à l’aide des harmoniques naturelles. Qui sont et qui restent tonales, et plates comme une seule et même ondulation de l’onde.



Alors, si le tétracorde nous donne une valeur subharmonique. Donne au voile harmonique pur, ses lignes au rythme des reproductions basiques des tempéraments diatoniques. Tout ceci, réagissant à une seule conjugaison.

La diatonique, qui détient un tempérament complexe. Est simplifiée, à l’aide des objets tétracordiques, ceux qui répondent aux thèmes d’une minorité. Celle, qui toniquement, va propager une tonification sur les notes. Donnant un rythme avec les notes, qui vont dessiner les axes des conversions actives.



Il est étonnant, que quelques mots puissent définir ce monde musicalement gammologique !


Quand le tétracorde se dessine, sa forme lui donne un avantage supplémentaire. Effectivement, il est parlant !

C’est grâce à ceci que je me permets d’écrire du texte relativement proche de sa définition originale.



Il y a quatre tétracordes basiques, au sein de la gamme naturelle majeure. Aux trois premiers degrés diatoniques, on rencontre des modèles dont les couples sont formés du couplage de mêmes tétracordes.



Il y a quatre périodes tétracordiques, dans l’ère diatonique.

• La période majeure

• La période mineure

• La période seconde mineure

• La période augmentée



À la période majeure, correspond un cycle tonice & dominant.



Les formes varient selon leurs mouvements altératifs, en unissant l’emplacement original à son extension altéractive, ou a son altéraction.

RELATIVE : Le tétracorde, est son modelage déformé par le mouvement

Le tétracorde, malgré sa définition, peut contenir des états secondaires. Ces états diffusent deux informations :

• les éléments majeurs

• les éléments signés


Le mouvement crée un fluide présent, allant d’une première situation d’origine, et d’une seconde station. Le mouvement fait le pont entre passé et futur, en produisant des effets non négligeables.

On exprime aussi les mouvements harmoniques, ainsi que ceux du mécanisme diatonique. Il arrive, qu’une expression technique omette la forme.

Dans le sujet, le tétracorde suit le développement relatif aux gammes fondamentales. Il s’inspire des différentes diatonies incluses parmi le système gammique. Ce système, je le rappelle, est formé par les gammes primordiales ( en Do majeurs de septième 8^) )..

Ces images indicatrices des premières définitions, que constituent les gammes.

Le sujet en cours va se poursuivre, afin d’exprimer les résultats obtenus lors de l’exercice d’analyse.

L’auteur espère être à la hauteur de cette conception générale !


C’est l’altération qui module la forme du tétracorde basique.

À l’origine, l’élément tétracordique a une forme ronde, qui représente chaque composition. Il s’agit de la forme basique du tétracorde, formé de quatre notes bien rondes.

Mais, l’altération présente une alternative.

Par les signes (b et #), n’est-ce pas ?

Qui va ainsi créer, une modulation dans la forme basique. Puis, lui apporter une nouvelle orientation, au tout premier développement diatonique.

Comme, ici à gauche, les différentes lignes qui définissent les changements altéractifs.

En visionnant l’album « système T 2 a.pdf », on découvre la suite détaillée, de la chronologie des formes effectives aux altérations. La question est de reconnaître, en ces formes, un sens réel à un développement entier !

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