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Combien d’esprits aimeraient rêver à ce délicat sujet ?


La gamme a son chromatisme…


L’armature chromatique…


La résonance classifiée…



Combien d’esprits aimeraient rêver à ce délicat sujet ?


Introduction : Il nous faut croire, que ce paysage est compliqué. Avec une bonne analyse, on peut interpréter la solution comme un effet relatif à un état physique. Autant dire que l’état secondaire est créé par l’état primaire, selon que la première source ait une harmonie créative. Sauf, que lorsqu’on ignore les faits, on ne sait pas qu’il y a une relation. Qu’on puisse croire, que ces états n’aient aucun lien de parenté. On pourrait aussi rester sur une définition évasive ou sans intérêt, et même propager son manque de bénéfice. Mais ce serait une peine perdue d’avance !


Si aucun d’entre nous ne connaît la gamme simple, c’est parce qu’elle fait partie d’un système de gammes. Tant, que sa définition et son sens multiple soit voué à la personne…


Moi-même étant une personne qui a donné à la gamme une vocation. Qui a su créer une formulation harmonique, avec sa logique et son élémentaire esprit naturel. Comment aura-t-on pu imaginer un instant, la gamme sans aucune image représentative. Le dessin est un art technique, dont la quantité des signes logiques suffit à définir de nombreuses définitions. Je ne suis pas un mathématicien diplômé, mais j’assure complètement le sens mathématique « basique » du complexe gammique. L’avantage musical est d’être harmonique, que sa personnalité démontre un état physique actif !


Comment aurions-nous pu comprendre le mouvement en ne faisant aucune modulation, puis le mouvement diatonique est-il fondamentalement élémentaire. À l’unité active…


La gamme est dans un répertoire qualitatif, et que ce dernier est dans un espace quantitatif. En sachant que chaque gamme produit un mouvement tonal, tel que la tonalité diatonique est considérée comme réelle. Si bien que la réponse chromatique puise ses ressources dans les modulations diatoniques, et que sa définition ne fasse que de reproduire l’empreinte diatonique la plus proche. Ce qui résoudrait la définition enharmonique, en raison du modèle diatonique réel. Elle nous aiderait à sortir de ce flou paysage, par des belles photos intelligentes !


La gamme chromatique


Tout le long du sujet, nous avons pu voir les gammes fondamentales et leurs chromatismes. Qu’à chaque cas, le modèle chromatique était différent. Et que la valeur des composantes chromatiques pouvait dépendre d’un fond diffus diatonique, ou que l’ensemble gammique ait diffusé une solution chromatique dans l’espace diatonique. La tonalité chromatique n’a pas vraiment besoin d’être qualitative, puisqu’elle dépend d’un milieu quantitatif. Autrement, en qualité chromatique, il faudrait utiliser les bons arguments, pour une meilleure définition. Heureusement, la définition en cours est suffisamment objective.


L’armature chromatique


Si le modèle gammique a une signature chromatique, ou si elle a une armature chromatique. L’armature chromatique est une définition gammique, celle qui est laissée par la modulation diatonique. Et si quantitativement, on obtient les emplacements, qualitativement, on ne sait pas encore le définir. Par contre, donner une valeur qualitative à un état quantitatif, c'est possible en classant les degrés. La tonalité diatonique est connue, et sa trace chromatique l’est moins lorsque l’on pense à la diffusion précédente.


La classe de résonance


Le classement chromatique selon les degrés, puisqu’il s’agit d’un groupe diatonique, donne différentes tonalités. Aussi, la tonicité des notes sera plus importante au niveau du « noyau ». Ce point de départ des degrés, une attraction relative à une position majeure dans la chronologie des degrés. Nous avons alors plusieurs points d’attractions impliqués, qui créent entre eux un autre effet attractif d’un unième niveau. Une sorte de matière mettant en jeu une surface relative, pouvant attirer les ondes en produisant de la résonance.

L’exemple du groupe « GA » démontre une union, d’un ensemble formé par la racine, le tronc et la branche. Un peu comme un arbre, qui a été débouté de sa ramification la plus étendue. En suivant la logique de l’assimilation inversée, celle qui ferait de ses notes des liens. D’où se seraient développées les relatives physiques, comme si l’évolution logique de la matière suivrait le cours de quelques points harmoniques. Que ces points impliqueraient d’être lourds en états combinés, en invoquant une propriété attractive relative au poids des éléments plus ou moins pesants. Tout ça se calcule, car tout est mesurablement mesuré !

La mesurabilité des fonctions


À un groupe correspond un ensemble compact et des éléments en extension.

Le nœud, bien que petit, est lourd en tonicité. Il représente un résultat de la classe des degrés, de son terme-racine, et de son effective extension. La valeur du groupe n’est pas une solution en soi, mais il s’agit d’appliquer au résultat de cet ensemble réuni > un facteur de tonicité.

Groupe = (Nœud () Degré () Racine () Extension ()) Nœud.

Les affinités définies par le groupe sont indéfinies, tellement il y a de choix logiques. Pour déterminer une solution viable, chaque élément représente une constante pouvant varier dans sa définition. La génération algébrique au sein du groupe serait déjà donnée par l’altération, malheureusement la solution mathématique n’est pas en cours de développement.


Quand le moment venu, je ferais mon « jeune » matheux !

Pourquoi la note a deux états.


Car dans la multiplication les inversions sont effectives, il faut donc prendre en considération l’inversion vectorielle.


Cette valeur donne un coefficient qui s’opère la valeur de la note calculée diatoniquement. Le rapport diatonique est basé sur un résultat altératif. Qui non seulement comporte une polarité, mais ainsi qu’une pluralité à cause du groupement. La valeur diatonique est égale à un relatif classement, selon que l’on choisit les critères sur calcul des notes. Qui elles-mêmes se retrouvent dans un contexte établi.


Il y a plusieurs cas :


● Un unique groupe ayant plusieurs niveaux contextuels.

● Plusieurs contextes différents et relatifs à une fragmentation.

● Une polarité altérative mise en activité diatoniquement.

● Un effectif étendu faisant pencher la valeur du groupe.

● Une attraction réelle autour du nœud et sa valeur de masse.

● Le rapport inversé des tempéraments harmoniques.

Avant de poursuivre la solution mathématique


Avant de poursuivre la solution mathématique, il faut voir tous les éléments. Sans quoi, le problème est faussement avancé.


Extension

Classe degré

Groupe nœud

Terme racine

*

Bien qu’ils ne se ressemblent pas, les groupes ont des similitudes au développement. L’image du groupement diatonique est caractéristique, et sa masse de résonance est polarisée par le nœud tonique. Or, nous avons les diatoniques aux résonances extraordinaires….


Les résonances ordinaires représentent des nœuds toniques, ou que ces sujets ne soient pas soumis à une quelconque influence chromatique. Contrairement aux cas toniques, lorsque les notes diatoniques sont toutes sous les influences chromatiques. Alors, les éléments diatoniques qui sont influencés par les deux flux, vont donner des résonances extraordinaires. Qui vont à la dérive des courants chromatiques, l’influence des deux courants chromatiques ajoutent à la note (Quelle que soit sa valeur hors influence) un comportement égal à l’harmonie de chaque courant.


● Le cas numéro dix : « -25+ »


Cette gamme fondamentale, DO tonale adominante, a une unique unité tonique extraordinaire. C'est-à-dire, que son élément tonique est sujet aux deux flux chromatiques. Mais aussi, qu’il est unique, ce qui lui donne son sens majeur. 


Le chromatisme augmenté passe par la mélodique en amont d’une adominante sensible. Ayant un contexte chromatique tonal en médiation harmonique.


Alors que le chromatisme diminué est tonale en médiation harmonique. Qui dans son contexte chromatique est mélodique à dominante sensible.


Le « -25+ » équilibré au point médian harmonique / mélodique adominante. Sa tonalité diatonique procède à un compactage harmonique à l’axe mélodique médiante.


● Ce groupe est extraordinaire


Les éléments se regroupent pour former un ensemble qui va symboliser le sujet diatonique. Ils sont extraordinaires, à cause des cas ordinaires, ceux qui ont précédemment formé les groupes dont les nœuds sont sujets à aucun courant chromatique. On peut dire, que le courant suit un cours évolué au large du flux diatonique. Qu’il dessine une surface réelle dont les profondeurs soient liées à la tonalité diatonique, dont les hauteurs sont des vagues liées entre les hauteurs.


Harmoniquement parlant, le décor envisagé par les groupes est assez large. Les rassemblements diatoniques produisent des multiples résonances, comme une nappe à texture structurée. 

*

Tonique : La note DO


Après avoir prélevé les diatoniques extraordinaires de la « plage des gammes », on voit l’évolution à la « berge des gammes ».


La série diatonique comporte des similitudes, au niveau des éléments ayant le double-flux chromatique. On peut également réunir les diatoniques similaires.


En commençant le classement par l’élément tonique de la gamme, qui est la note DO. Ainsi, la série diatonique ayant un DO commun est réunie.

Mélodique : La note MI


Cette première série démontre des qualités des modèles, par les formes exposées.


En continuant par la note tonale, celle qui présente le premier suivant.


La note RÉ est en couplage mélodique mineure, de cette raison, elle n’entre pas dans la catégorie de l’unique unité commune.


La note MI, est une unité commune, elle est un cas isolé. Elle a une tonalité de résonance décrite dans sa formulation.


Dominante : La note Sol


La note DO. Série tonale

La note RÉ. Couplage

La note MI. Série médiane

La note #SOL. Série unité


Contrairement aux notes (C, E), la note #SOL ne comporte qu’une gamme. Cette série est le point d’orgue relatif à l’harmonicité gammique.


La formule de la tonalité diatonique est « -34x », ou du couple mélodique et médiante étendue. Si la partie mélodique n’altère pas la note voisine, la médiante est activée par une double altération


C’est à la mémoire des premiers groupes ordinaires,
qui ont été recueillis parmi les gammes fondamentales….


À toutes les diatonies du modèle gammique,
parmi lesquelles certaines sont extraordinaires….


La masse gammique n’est pas uniforme, elle développe plusieurs niveaux d’amplitude. Dont, plus particulièrement, la partie majeure de l’harmonicité générale. Est la gamme originale, qui a pour qualité unique d’être naturelle. Un autre niveau particulier pour les groupes constitués à partir des notes communes, sous l’influence de double-flux chromatique….


Après le premier niveau de l’origine naturelle du système gammique, un autre niveau est inclus parmi les gammes.
Puis, chaque niveau comporte une diatonie qui n’est pas liée aux autres regroupements.


NIVEAU 1 / GAMME Majeure

NIVEAU 2 / GAMME Mélodique Par-Médiante

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