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SCHÉMBIATONIE :

Les escales diatoniques, selon les modèles modaux

Logiquement, les modes sont rangés parmi les notes diatoniques, et suivre leurs positionnements dans des directions opposées et inégales. En effet, en allant dans le sens mineur, il se crée de nombreuses implications. Associant ainsi, un fondement imbriqué grâce à un empilement conditionné aux divers points de jonctions.

Dans son évolution naturelle, les degrés modaux vont vers les aigus, ce qui est normal puisque le deuxième degré est après le premier degré, en hausse donc. Dans ce cas, les notes ont un premier contact avec un nombre moins important de notes que le sens mineur du développement. Cette simplification nous aide à y voir plus clair.

Si les orientations prennent deux sens (mineur / majeur) c’est afin de démontrer que le développement du système diatonique a comme thème une série modale. Puis, que les déroulements diatoniques découverts sont gérés par les positions relatives à la gamme originale. On pourrait appeler ce processus, ainsi : TEMPS. Puisqu’il se calcule en fonction d’un déplacement, donnant ainsi le rythme diatonique symbolisant le temps passant. En annulant le temps diatonique, on en revient à un temps nul symbolisant une ère initiale tonique. Et par conséquence, faire intervenir des modulations modales extra diatoniques. Plus communément sous la forme de la transposition, qu’on réalise un lien…


La relation intermodale est une idéologie harmonique concrète, en fait que les modes soient issus du système complexe gammique (les gammes). Ainsi, parmi ces modèles de modulations diatoniques, il y a bien une relation logique inter-diatonique.


GAMME SÉRIE


Si les gammes majeures expriment une tonicité qui rassemble les éléments diatoniques à la gamme de La bémol majeure…


En nous composant un tempérament au cycle des quartes, et de son armature bémolisée. La gamme « bA majeure » a la particularité de réunir des modèles originaux…

La graduation de l’unité et la logique des deux clés.


Il était une unique unité qui, par l’équilibre harmonique de son élément, fut amenée à se rencontrer. C’est en raison du mouvement de l’unité que cette unité apparaissait ici ou là. Et pour être perspicace, le calculateur avait de bonnes intentions en équilibrant les multiples états de l’unité. Aussi, en basant sa découverte selon une gamme originale de notes unitaires. Qui détermine un espace harmonique dodécatonique, et son octave constante. Pour enfin, dire qu’ici est le multiple chronique de l’unité élémentaire

Si les modulations diatoniques vont d’un point d’origine tonique, lorsqu’elles sont alignées, leurs qualités le sont également. À la différence du degré modal dans la transposition, puisqu’il a les mêmes modèles qualificatifs que la gamme majeure initiale. Ils ont pour dérivations les valeurs diatoniques qui font les gammes parallèles, la gamme de La bémol majeure se caractérise par toutes ses notes diatoniques. Car chacune d’entre elles reprend chronologiquement un ordre constant de séparation, une séparation relative avec la gamme développée. Donnant avec objectivité un développement séparatiste, et qui dans son évolution développerait des nouvelles caractéristiques par le biais de la transposition. Soit, une colonne initiale dont chaque élément porte un branchement diatonique à la tonalité modifiée. En sachant, que si une seule gamme développe dans un sens, nul une farandole. Une autre gamme non majeure donne obligatoirement, une autre série de gammes diatoniques relativement transposées.

Le fonctionnement des gammes dépend de leurs utilisations, et parmi les types d’usagers, il y a ceux qui croient qu’elles sont quand même organisées.


Nous voyons, qu’à chaque impulsion, elles produisent un spectacle quantique formidable.

Une gamme n’est pas uniquement une série de notes diatoniques, elle dessine également des lignes de modulation.


Du fait, qu’un modèle modal compte sept notes diatoniques. Qui produisent, chacun d’entre eux, une tonalité bien particulière. Et donc, la gamme a sept modulations modales.


La compilation des modes diatoniques permet de déterminer le détail du caractère harmonique de la gamme,

en faisant le point sur les différents courants dus à la juxtaposition des notes modales réunies en un milieu diatonique.


SCHÉMBIATONIQUE : Et la méthode accordéon pour dérouler la modulation diatonique

La méthode accordéon.


Il est démontré qu’harmoniquement la gamme produit des tonalités juxtaposées, et que connaissant la valeur modale des degrés, nous sommes en mesure de déployer cet effet. Dans l’exemple de la figure ‘2’, qui reprend une à une les valeurs ajoutées. Nous pouvons avec cette méthode représenter clairement l’importance harmonique de chaque modèle modal, ce qui démontre la valeur harmonique des degrés à un niveau tonique de l’ensemble diatonique.

La gamme, lorsqu’elle est émise, produit ses notes qui vont s’équilibrer. Aussi, cet ensemble est relatif. Car si la gamme à elle seule développe son équilibre, un tiers ajouté peut alors le transformer. Du fait, que la tonique modale pourrait être relativement tonifiée. La tonification diatonique peut diriger le sens de l’équilibre, tout simplement en mettant en évidence un pouvoir tonique ajouté. Ainsi, la formation représentée changerait.



Réalisation schémbiatonique.


Comment pourrait-on traduire cette anticipation ?


Schéma 1


Cette figure simple représente une gamme majeure unique, sa forme schémbiatonique correspond donc à la production harmonique de l’unité originale.


● Schéma 2


Cette figure compacte représente un ensemble de sept modes majeurs, dont toutes les toniques modales sont en Do (tout comme la tonique du mode majeur initial).

La symétrisation diatonique donne un équilibre harmonique.


Un équilibre est formé par l’espace de l’octave, dont le sens de « lecture harmonique » n’est pas figé de gauche à droite. Puis à l’aide de ce contre-sens, on remarque un deuxième degré identique et bidirectionnel.


Ce qui démontre une capacité harmonique importante, qui n’a pas influencé le développement en cours…


La diffusion des modes se différencie par les modèles toniques des degrés, c’est qu’ici, nous avons deux cas de développement. Et, qu’à chacun correspond une définition schémbiatonique.


Comme nous le savons, l’harmonie diatonique dépend du nombre modal impliqué. Il est aussi évident, que le cas du « schéma 2 » sera plus complexe que son homologue. Puisqu’il s’agit d’un assemblage de diatoniques transposées.


Je peux vous dire, que le sujet est suffisamment exposé pour démontrer sa logique…

SYMBLION : Et la version histologique du symblion et sa qualité élémentaire.

Selon que la note musicale est une unité élémentaire, dont le seul point qui varie est sa hauteur diatonique. Aussi, et ainsi mise à la valeur égale à une unité simple, elle aurait la particularité de se multiplier. Alors, le nombre de fois que la note est harmonisée va créer la différence élémentaire. Deux notes n’auront pas la même définition que trois notes en harmonie, et le processus des juxtapositions schémbiatoniques aurait raison de leurs propres ancrages.


C’est pour une réponse simple que le symblion va donner toute sa définition et créer son unité complexe. Et enfin de mieux comprendre l’évolution de l’unité élémentaire.

Le mouvement harmonique de l’unité, de son expression élémentaire :


L’unité de la note élémentaire démontre une activité de couple, qui va mettre en évidence des points d’équilibre harmonique. L’harmonie donne raison à l’octave.


Et, l’octave donne raison à la moitié de sa proportion. Aussi, l’octave nous donne des repères périphériques, centraux et évidement les jonctions relatives aux formes originales.


Alors l’unité s’équilibre à son centre, tandis que sa périphérie crée sa limite unitaire. Puisqu’avec le mouvement, nous avons l’orientation, parce que ce sens soit dirigé par l’équilibre de l’unité. Ainsi une paire unitaire dessine une orientation à deux sens, comme tous deux vont vers un unique point central.

Avec le temps, la croisade de l’unité et son tiers :


Un groupement en équilibre, ou bien l’équilibre d’un groupe, est concentré en un milieu relatif aux éléments. Naturellement, de cet équilibre arrive une forme fondamentale géométrique. Qui bien en de ça, au-delà de la forme, il y a les contraintes relatives à l’objet, où la relation est un complexe physique inimaginable tant il y a de solutions.


Le symblion est la forme relative aux notes diatoniques, celles qui font référence à la schémbiatonie. Si bien, que les premières figures ne représentent pas les symblions.

L’évolution du symblion et sa multiplicité instantanée :


La différence est relative selon l’expression de l’unité, puisqu’elle représente un nombre d’éléments égaux assemblés. Aussi, il ne faut pas s’étonner de mal saisir la logique complexe de l’élément. Il aurait été plus simple au moment primordial de faire une série d’analyses chimiques, car la confusion harmonique de l’univers multiple y était bien plus qu’élémentaire.


Mais malheureusement, à ce moment précis de l’évolution cosmique. Il n’y avait pas encore les roses qui, nous donnant leurs parfums, nous ont permis de découvrir l’essence même de la vie olfactive de l’être. Ainsi, que l’odeur nous permette certains questionnements.

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