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COMPRENDRE :

Histoire de la gamme naturelle majeure.

L’interprétation du champ visuel a créé un phénomène de croyance. Et, comme au début l’humanité apprenait tout. Tout en vivant, elle chantait de façon naturelle. Cette scène est complexe, car tout se passait en même temps. Alors, que la conscience culturelle concernait la nature, tant par l’alimentaire, que par l’humanité elle-même.

 

L’intelligence humaine a créé des relations avec le terrestre et l’espace universel du jour et de la nuit. À une certaine époque, l’homme ne disposait que d’un outil de travail scientifique primaire. Afin, de comprendre et relier ses plaisirs, à des fins institutionnelles ou construites.

À l’époque primaire, naquirent les différentes cultures scientifiques. N’oublions pas, que l’écriture est une science, et que la musique est inscriptible. Puis, que l’écriture est un moyen de mémoriser les choses. L’avantage musical est d’être simple, et sa théorie de base était mesurable. Les notes d’octaves ont donné un intervalle précis, auquel les musiciens ont posé leurs notes en une écriture musicale. Ce qui n’était pas vraiment relié, se trouvait être le lien entre la musique et l’espace.


Cet univers avec lequel, l’humanité a compté ses jours, divisé les saisons. Mesuré le temps terrestre et inventé les heures.

L’univers, tel que nous le voyons, forme un cycle dans lequel nous vivons. L’humanité vit à l’heure d’un espace intersidéral complexe. Avec le temps, elle a appris à se cultiver. Faisant corps d’apprendre à mieux connaître son entourage multidimensionnel.


La vie anatomique est considérablement atomique.

Exemple


C’est une démonstration, de liens logiques, dans un univers basique donné. En comparaison avec les structures planétaires, il y a les modulations harmoniques dues aux armatures musicales.


Les forces conditionnées, ont un effet réel sur la composition des notes musicales. D’une opinion simpliste, on a des difficultés pour saisir la logique en vue. L’initié voit, en ses conditions, des forces relatives aux lois de l’univers. Alors, qu’une idée est luminescence obscure.

RENAÎTRE : Avec une histologie renouvelée, en une épopée musicale fascinante et actuelle. 

D’un simple jugement, nous déterminons la nature des complexes. Nous identifions les problèmes de rangement. Grâce à notre instinctif besoin de reconnaître tout ce qui est visuel. Alors, que pensez-vous, de ce cadre de boules irisées ? Une structure est une curiosité, par sa construction. L’image que nous voyons, possède un message subliminal. Le message d’un ordre de définition, d’un élément répliqué. D’une mesure intégrale, ayant de multiples éléments !

En musique,

il faut être intelligent.


Tant, pour complimenter cet ordre savant. Que, pour admettre l’évidence suivante. Les notes musicales sont retournées aléatoirement, en évitant toute reproduction fidèle.

En musique,

il faut être intelligent.


Ce qui signifie : Le domaine de la théorie musicale, est garant d’un ordre musical fondamental. D’un équilibre logique et intelligent, régnant au travers toutes ses gammes musicales.

RECONNAÎTRE : une histologie nouvelle, qui recouvrirait avec une modernité naturelle.

Les notes de musique se sont équilibrées, dans l’intervalle compris entre deux octaves voisines.


Le tempérament des quintes démontre une chronologie à caractère majeur. Des notes développées à titre naturel.


La gamme naturelle à sept notes diatoniques, qui somment deux tétracordes identiques : CDEF/GABC.


On notera la présence virtuelle du chromatisme, et de sa régularité suivant la fraction 1/12.

COMPRENDRE : Histoire de la gamme naturelle majeure.

Ce lundi 17 juillet 2209, on sait que la gamme est répétée sur plusieurs octaves. Le piano est un instrument acceptant sept plages d’octaves. La gamme y est toujours la même, mis à part que les notes ont été doublées, autant de fois que d’octaves. Le solfège est l’écriture musicale sur une portée, ci-droite, en commençant par la gauche ; il y a les trois clés courantes, les portées des notes et un genre de clavier. Tout ceci est entouré des noms de notes.

Qui permettent la compréhension de cette notion théorique, qu’est la gamme naturelle de Do majeur.

On y voit la technique d’écriture des notes rangées, au travers la suite des octaves.

La modulation la plus proche de la gamme majeure, (qui est le premier mode diatonique, avec sa note C qui en est la tonique). Est le quatrième mode majeur. La différence vient d’une seule note, et pas n’importe laquelle. Puisqu’il s’agit de la quarte augmentée, son défaut majeur. Devient une qualité harmonique de type symétrique, au centre diatonique, dans la plage d’octave.

La modulation provoquée par le troisième degré, est plus éloignée. L’abstraction majeure est due, à un nombre de notes modales important. Il y a trois notes relatives majeures. Et, quatre notes mineures... La transposition des notes mineures situe deux paires altérées. Une est mélodique, et l’autre sensible. La modalité divise deux séries modales : Tonale (3 tons)/Harmonique (2 tons)

En comparaison avec la IVᵉ modulation, le mode du cinquième degré est dominant. Là où la différence, ne tient qu’à une note. Sauf, qu’ici la modulation intervient sur la septième note sensible. Et, qu’il rejoint les modes mineurs en premier. Ainsi, diviser le modèle majeur en trois parties : Tonique (2 tons) / Médian (2 tons)/Sensible (1 ton). Aussi, deux sensibles majeures en plus.

DÉVELOPPEMENT : La gamme majeure et ses modulations diatoniques.

La gamme majeure se résume ainsi, elle a sept notes qui suivent une série précise d’intervalles.

Voici cet ordre : Ton - Ton - ½ Ton - Ton - Ton - Ton - ½ Ton.


Par exemple, le septième mode diatonique majeur

suit cet ordre : ½ Ton - Ton - ½ Ton - Ton - Ton - Ton.


Donc, en énumérant les modulations diatoniques majeures, on fait un développement diatonique. Les degrés sont en séquence, ils sont le modèle idéal pour les transpositions. Mais aussi, pour le développement des gammes fondamentales relatives.


Étant donné la nature transposable des modèles diatoniques, l’énumération d’une gamme majeure dont la tonalité aurait changé par une transposition. Obtiendrait la suite identique des modulations tonales, à la différence des valeurs portées sur les notes par l’altération.

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