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OU ENCORE :

L’effet papillon des gammes primitives, indexe les modèles diminués

Aperçu du deuxième album des gammes diatoniques


Livre ouvert sur les modèles doubles

Ci-dessus : Vous pourrez les lire, voir les modulations diminuées et connaître leurs mystères...



Les gammes mineures indexent les modèles à deux altérations. Les gammes diminuées indexent les modèles à trois altérations. Les gammes triminuées indexent les modèles à quatre altérations.



La gamme primitive qui diaugmente la note tonique est remarquable. En ayant porté la double altération sur la tonique, la seconde s’est vue repoussée à un emplacement voisin.

Bien que la valeur des notes musicales, soit absolue ou sans signature altérative.

La valeur signée d’une note, donne automatiquement une modulation diatonique.

Gammologiquement, les gammes renferment des mécanismes relatifs.

Le fait d’avoir créé un lien, en ayant développé la gamme diaugmentée, dite « C +atonal ».

On obtient une relative, par l’intervalle qu’il y a entre le modèle d’origine, comparé à celui du mode en G.

Ce qui est, significativement, dans le sens d’une décomplication.

Aussitôt, que la tonique est altérée, le paradoxe existant entre les notes réelles, et leurs valeurs théoriques, semble visible.

Bien autrement vu, que l’effet de la substitution. Plus, qu’une tonique altérée, qu’un rang majeur variable, qu’une valeur absolue/relative.

Tant de choses, pour exprimer les notions qui servent de clés. Pour une meilleure compréhension de la musique.

JUSTEMENT : Jusqu’où va la demande des toniques altéractives ?

Il faut comprendre, que les gammes sont exploitables de maintes façons. Aussi, de voir les différentes évolutions gammiques, donne de l’expérience en développement. Alors, quelle que soit la manière de trouver les gammes. Et, en se tenant aux mêmes règles régies par les notes et les altérations. On arrive toujours au même point d’écriture de la gamme.


Tous ces développements diatoniques, démontre la multiplicité des gammes musicales. Le fait d’écrire les occurrences relatives aux gammes, et d’y voir un complexe en soi. Apporte un besoin d’ordre classifié, afin de reconnaître les différents principes fondamentaux en la matière musicale. 

Jusqu’où vont les toniques altérées, et leurs effets altéractifs ?


L’évènement, de l’altération portée sur la tonique, est d’une clarté éblouissante. Car, en altérant simplement la note tonique. On fait une seule opération de recherche, on dit alors qu’on diminue la note C (exemple tonique naturel). En réalité, il y a un autre élément qui intervient. La tonalité de la gamme, à laquelle on a réduit la note C. Nous dit tout autre chose, par une autre formule que celle d’origine (bC).

Cb D E F G A Bb Cb
1 #2 #3 #4 #5 #6 7 1

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Tonique Altérée

En ayant porté sur la note tonique une seule altération, nous avons créé une formule à forte modulation majeure. Le cas est différent avec les autres degrés, puisque l’altéraction altérative est en plein espace d’octave.

Altérer la tonique, consiste à une modulation systématique des degrés diatoniques. Parce que, nous déterminons la forme modale en commençant par un, à chaque fois.

Ce processus d’altéractivité tonique, à volontairement été effectué avec seulement cinq altérations. Ceci, afin de rester dans l’espace d’intervalle d’une seule octave. Il y a bien la possibilité d’y inclure cinq altérations avec les sept notes relatives musicales, n’est-ce pas ?

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Ce que les toniques bémolées apportent, par la découverte des formules modales. Ou encore, que les définitions des modèles de modulation venus d’un développement spécifique à la tonique altérée. Nous donnent un aperçu, sur la teneur diatonique de chaque modèle de gamme.

La fiche ci-gauche, exprime les notes à analyser par la formule a modulation. J’ai constaté, que les deux derniers modèles de la fiche, sont diatoniques. Ainsi, ils composent chacun la même forme modale.


Comparez vous-même, les formes de modulation !

En survolant les images !

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Les toniques diésées déclarent être des degrés diatoniques, dévoilant ainsi la forme renversée d’une gamme fondamentale. La ligne que décrit la suite des toniques diésées, suit un parcours croissant. Assignant ainsi à des gammes primordiales, un cycle ordonné sur l’algorithme des toniques. Qui fait cette suite de gammes : -3, +45x, ^4, ^3, °45x. Si, musicalement, on fait suivre ces gammes. On peut dire, qu’on suit un ordre tonique « augmenté ». 



Voyons de plus prés ces gammes en séquence.


L’imagerie dessine des niveaux de compression, en pôle augmenté. Puis, ayant atteint un stade élevé. La séquence termine son cycle, avec une diminution de la quarte. Qui, remarquablement, a déjà été touchée en ayant été augmentée. La tonalité choisie, pour la démonstration. Reflète au mieux le comportement des notes, dans un milieu relatif tonique.

Ce qu’il faut savoir :

Les gammes fondamentales reposent sur une quantité de soixante-six gammes.

Il faut imaginer, être devant un moteur géant.

De voir en ces gammes, une partie mécanique essentielle.


La question est :

Comment fonctionne le moteur harmonique des gammes ???

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