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FONDEMENT :

Les signatures de l’altération - Les forces altéractives

Il suffit de deux altérations, pour compliquer l’existence des notes de musique.

Et, avec seulement une altération mal placée, pour créer la confusion du néophyte

Par exemple, on va altérer la tierce avec un dièse

Pour laisser croire au néophyte, que ce choix est enharmonique.

C’est possible, mais il est préférable de la représenter ainsi..

Nous avons là un cas typique relatif, à la force altéractive.

Car, c’est un des premiers cas du mouvement des notes musicales signées. Et, comme le sujet traité ici, il consiste à démontrer les limitations liées à l’octave. Ainsi, que l’effet de compression harmonique lié aux ondes relatives aux notes altérées. Une règle précise, que la gamme naturelle se situe dans un espace d’octave, et que le débordement diatonique devient inutile, car la répétition crée un effet de transposition en recréant une autre note d’octave. Ainsi, pour travailler les gammes, on reste dans une seule octave, ce qui fait le côté basique ou standard ou classique ou normal de la découverte des mouvements harmoniques. Lorsqu’on utilise les altérations, on risque de provoquer une modulation ou une transposition diatonique.

C’est là, la raison du sujet altéractif.

La force altéractive consiste à altérer une note, puis au cas d’une note voisine à ½ ton d’intervalle. La première note sur laquelle est portée l’altération, peut elle-même repousser la note voisine en lui portant l’altération utile, de façon à libérer sa place. Tout comme si on devait altérer la note E (MI) d’un dièse, puisque la force altéractive attribue à la note F (FA) le signe dièse. Pour, qu’ainsi soit gardée l’originalité de la gamme qui a sept notes, soit heptatonique ou heptatonale.

Basiquement, la force altéractive est limitée à un seul espace d’octave. Bien que limité, il n’en reste pas moins compliqué. Aussi, on en arrive à la découverte des possibilités offertes aux altérations. Celles qui sont portées sur les notes, qu’elles soient toniques ou modales diatoniques.

Évolution schématique

DÉVELOPPEMENT : Les degrés modaux ne sont pas tous égaux, face à l’altéraction

Gamme altéractive (pdf)

La signature altéractive n’est pas une erreur,

elle réalise par dessus tout.

Elle démontre, jusqu’à quel point ne doit pas excéder la signature. Ci-dessus, la position de son septième degré (Do), avec la tonique (###Ré). Ne dépasse pas le niveau d'aucune des notes ici, ne soit naturelle ou absolument non signée. Et, quand la seconde est relevée par quatre dièses. L’effet altéractif n’a pas atteint le moment où la septième s’est trouvée signée. Alors quoi, et comme la prochaine élévation de la seconde (x^D) conduit à l’altération de la septième (C), jusqu’alors majeure diatonique. Le qualificatif « majeur » ici, se réfère à la logique d’une série de substitutions d’intervalles ayant parfois une tonique nulle. Et non pas, à la qualification modale, où la tonalité ayant une tonique diatonique.

L’altération donne du fil à détordre.


Par principe, le cumul des signes égaux rentre aussi dans le cadre des modulations diatoniques. Bien qu’ici, Les modulations rencontrées, ressortent du contexte fondamental gammique par son aspect mécanique différent. Ne serait-ce, qu’avec le classement obtenu, via l’évolution altéractive.

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L’altéraction est un phénomène dû à l’altération ! L’altération évolue mécaniquement, elle compresse harmoniquement ! S’il fallait raconter une histoire, çà serait celle de l’altération alternative. Les formules altéractives varient selon le rang diatonique occupé ! Le nombre signé des altérations, n’a pas la même valeur, selon les degrés. C’est avec les ½ tons, qu’on résout le problème altéractif. Tout comme chaque ½ ton, qui se respecte. C’est dans le sens du décollement, que la signification hyper-maximum, prend son sens.
La force altéractive provoque un effet de balayage sur les notes musicales. Si la note garde son appellation originale, elle se voit néanmoins attribuée d’une altération pouvant cumuler les mêmes signes ( et calculer les oppositions ).La représentation à droite, développe les mouvements déclarables de l’altéractivité des notes en milieu fermé. Il est démontré, que le nombre d’altérations est limité à un seul  espace d’octave. La surface de l’octave est incompressible, mais pas l’état harmonique. À cause des possibilités de l’onde, qui font référence à ses agglomérations. L’octave est un espace fuyant, elle offre le passage libre ; Aux tempéraments, ondes..Elle est également le portail des transpositions, un énorme complexe doté ; Des tempéraments, ondes, transpositions.Néanmoins, soyons élémentaires. Sachons nous limiter. Il y a deux signes d’altérations, qui sont ; le dièse (#) et le bémol (b). Ou bien nous pouvons avoir aussi (#=+) et (b=-), mathématiquement utile parfois. Nous avons bien une alternance altérative, qui évolue autour du modèle naturellement diatonique à la gamme majeure, pouvant être du même nom.Comme on peut le constater, c’est tellement simplement risible. C’est évident, car l’espace d’octave n’a pas une figure régulière à cause du cas rythmique ou quantique.& malgré, la ressource harmonique de l’octave. La  naturelle se dépense à répéter un rythme tétracordique. En créant des modulations diatoniques, dues aux renversements modaux.Si le texte imagine les notions relatives aux figures, c’est qu’il est correctement sublime. Tout d’abord, écrivons la liste :I = (5#)&(4b). II = (4#)&(4b).III = (4#)&(5b). IV = (5#)&(4b).V = (4#)&(4b). VI = (4#)&(4b).VII = (4#)&(5b).On peut remarquer, que lorsqu’il y a un demi-ton entre deux notes (C/B)&(E/F). Et aussi, selon la signature altérative, qu’elle soit # ou b. On retrouve un nombre maximum de cinq altérations identiques. Pour les dièses, Les notes DO et FA ont cinq #. Les notes MI et SI ont eux, cinq bémols au maximum. Sinon, pour les autres cas, ils ont tous un maximum de quatre signes. Prenons un ½ ton, tel SI et DO. Et, relatons les activités.La note Si, quand elle se bémolise, a un maximum de cinq bémols. Cette valeur rajoutée, intervient à cause de la différence créée avec les tons. Alors, la note B ayant un cran dodécatonique de plus, il est naturel d’avoir un déplacement possible ajouté. L’exemple ci-contre, celui de la sixte (VI), a vu sa compression à la limite de sa septième et de sa seconde. Lui offrir la possibilité d’avoir un maximum de quatre signes, pour ses deux représentants. On imagine facilement, que si trois notes étés collés par ½ tons. Avec par exemple ces notes ABC. La note SI (B), aurait autant de signes en dièse et bémol. Où, VII = (5#)&(5b).Voici arrivé la fin de ce cycle, qui nous a dévoilé les mystères dus aux forces altératives. Donnant tout son sens, à l’altéraction des notes musicales.
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