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HISTOGRAMME :
L’armature majeure. La solution relative occurrente ...
 

L’altération des notes est consécutive au signe apporté. Quand une note va rencontrer une voisine, il y a un risque altéractif. Malgré le complexe lié aux altérations portées, l’armature va donner un sens quantique à certaines gammes. Ce modèle fondamental réalise un classement des rapports balistiques des gammes majeures. Car, de toute évidence, l’armature est une composition d’une série de signes portés. Qui a chaque rang, se voit définir la définition évolutive des tonalités. L’armature, telle qu’elle est définie, représente une procédure de traitement logique des signes d’altération. Et, ce traitement étant paramétrique, jusqu’à réaliser des événementielles enharmonies. Mais, comme on n'a encore rien vu, il nous faut commencer du début...

 Les variations de l’armature sont combinées, par l’intervalle et la signature.


1. L’intervalle régulier entre chaque signet.

2. La signature composée du signet.


 L’armature définit l’indice d’un signe ou signet, exprimé par une altération (ou (s)).


* Si, le nombre d’altérations se retrouve avec le signe. La nature du signe ne varie pas, le nombre d’altérations dans le signe se calcule en cumulant une seule et même altération.


* Soit, au rapport de la signature altérative portée sur la note absolument naturelle. Cette action est altéractive, puisqu’elle transporte la note en fonction de son signe. En cas de surpassement du nombre d’altérations porté (nombre signe > 1) .../...

Il n’est pas simple, l’objet qui supporte les altérations, qui dessine la gamme. Qui fait évoluer les signes par les tempéraments, dessinant à chaque fois les gammes. Ces gammes ne sont pas diatoniques entre elles, mais elles sont toutes relatives à l’armature en cours, une autre forme diatonique. Pourrait-on dire diamodale, car elle appartient à une famille modale. Celle qui module dans une même armature. Au même degré de progression, dans l’armature.

HISTOGRAMME : L’armature majeure, à la même régulation que les gammes

Normalement, l’armature ne définit pas seulement des gammes majeures !


1. Celle à gauche : Indique, la gamme majeure de F


2. Celle du milieu : Indique, la gamme majeure de G


3. Celle de droite : Indique, la gamme mélodique de G

Le premier point original de l’armature est d’attribuer des signes, sur la même portée.

 L’altération attribuée à la note musicale, qui par son origine naturelle est majeure. L’altération provoque une modulation de la fréquence tonique, qui est majeure. L’altération mise sur la portée du solfège musical, suit une cadence au tempérament égal. Et enfin, l’altération évolue selon les règles quantiques, en classant les événements.

 Les principaux cycles des armatures


BEADGCF : Ordre des quartes IV


FCGDAEB : Ordre des quintes V


 Ils s’opposent équitablement



 Il est vrai qu’en suivant l’ordre des quartes à l’envers. On obtient, l’ordre des quintes.


 Ces deux armatures vont nous dessiner un croisement harmonique, elles vont poser leurs gammes balistiques. L’analyse est imaginative, et pour cela. Donner des clés à l’imagination, afin de l’aider à concrétiser le phénomène. Celui d’une expansion balistique relative aux armatures...

L’ordre IV :

Le tempérament des quartes :


Est une analogie gammale, qui suit l’ordre précis donné par l’altération. Qui, comme suivant ; Comporte les gammes qui cumulent les altérations, par incrémentation séquentielle.

○ Étant, que l’armoirie de l’armature ne soit fort simple. En incluant des signes, suivant le cycle absolu en cours. On dit alors, que le cycle relatif (IV) est furtif. Par son évolution allant jusqu’au point d’octave juste.


○ Pour que l’armature développe son ressort naturel, il lui faudra changer la valeur de la simple altération.


○ Ces notes ont été altérées ici, elles ont formé une suite de gammes majeures.


Ici, la relativité du tempérament de la quarte, n’est pas vue dans son intégralité.


En attribuant un signe à une note naturelle...


Qui, de sa valeur absolue, temporise les notes élémentaires.


Sans tenir compte de l’intervalle, avec une recherche de la note absolue...




À l’origine, le tempérament de la quarte dessine les intervalles de la gamme :


 Le signe du bémol, suit un intervalle de quartes : BEADGCF > bC majeur


 Le signe dièse, suit un intervalle de quintes : FCGDAEB > #C majeur


 Les deux pôles signés sont atteints, selon les armatures significatives


L’armature s’applique à signer les notes naturelles, en un ordre constant. C’est en séquence qu’elle attribue un signe, au fur et à mesure de chaque note. Si, l’armature arrête sa course à la septième note de la gamme. C’est pour rester dans des valeurs basiques ou élémentaires. Autrement, l’armature peut transformer la technique d’assignation qu’elle opère sur les notes. En assurant la continuité du tempérament en cours. Ou, en signant la note, non pas avec une seule altération, mais d’un signe doublé (bb ou °)...



LE TABLEAU CI-DESSOUS, SENS :


 Ligne des notes élémentaires en suite de quartes


 Ligne des notes de l’armature continuée des quartes mineures


 Ligne de restructuration des naturelles en milieu évolué


HISTOGRAPHIE : L’armature est basique, elle est fondamentale

L’armature « b » :


 Est composée d’une suite de bémols. À cette séquence correspond, un tempérament régulier de quartes.


 Son développement crée une série de gammes majeures, et des phénomènes de transpositions majeures.

L’armature « # » :


 Est composée d’une suite de dièses. À cette séquence correspond, un tempérament régulier de quintes.


 Son développement crée une série de gammes majeures, et des phénomènes de transpositions majeures.

L’armature « b & # » :


 Est composée d’une suite de bémols et dièses. À cette séquence correspond, un tempérament régulier de quartes et quintes.


 Son développement crée une série de gammes irrationnelles, et des phénomènes de transpositions enharmoniques.


L’armure composée des tempéraments IV & V...


1. bB & #F : Donnent la gamme de G mélodique

G A bB C D E #F = 1 2 -3 4 5 6 7


2. bB & #F & #C & bE : Donnent, bB atonale adominante

bB #C D bE #F G A = 1 +2 3 4 +5 6 7



Cette armature compose un mélange fortuit aux tempéraments, qui mécaniquement vont inventer la force enharmonique et dichotomique.


 Enharmonie

Deux notes réunies.

Lorsque, #C égale bD


 Dichotomie

Une note aux deux valeurs.

Lors, bD et différent à #D

L’armature est une structure constante qui, par son mécanisme diatonique approprié, entraîne un rapport balistique.

On remarquera la discipline qui occupe l’armature. Ce qu’elle donne comme arguments ;


Les gammes, les tempéraments, les terminaisons.


Tout ceci définit un grand champ d’altérations. Qui vont provoquer des accidents harmoniques, faisant parfois la relation enharmonique des tempéraments. Ou aussi, divisant un élément en deux parties distinctes... Ce n’est pas vraiment un hasard de tracer logiquement les accidents majeurs. 

Inversion

Zone de base

● Les bémols en quartes

● Les dièses en quintes

Zone d’inversion

 Les bémols en quintes

 Les dièses en quartes

... Abrégé ...

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 Partie basique


La liste classique des armatures, repose sur un nombre peu important de cas.* 

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Il est, que les armatures basiques ont une uniformité majeure, qu’elles ont un rapport balistique exclusivement heptatonique. Tel, que nous connaissons les gammes fondamentales. L’armature parfaite est un développement, ne dessinant que des variétés de gammes heptatoniques réelles !


Les armatures majeures forment une hiérarchie, dont la ressource est la gamme naturelle originale et primordiale. La suite des armatures, synchronisées aux rangées diatoniques, issues des gammes primordiales...

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 Partie fondamentale

Le sens fondamental de l’armature, repose sur un nombre plus important ! De cas.*

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 L’armature est une matrice, qui supporte les signatures utilisées sur la portée. Ce support ne connaît pas d’autres limites, que les siennes. C'est-à-dire, que la portée accuse les notes définies par la clé de tessiture. Et, que les choix laissés par ces alternatives, codent les informations des critères signés !


Les armatures offrent de multiples combinaisons d’action, elles vont structurer harmoniquement les gammes venues d’autres temps. Où le temps serait un chromatisme variant, du nombre de ses notes entre deux octaves voisines...

Les deux signes portés par la note D :


En réalité, la note diatonique se divise en deux, et chaque partie rentre en mouvement altéractif. Ici, la valeur heptatonique est dégradée, elle est devenue hexatonique. En utilisation normale, l’harmonie est une dualité diatonique. Selon, l’orientation donnée au phrasé mélodique, à la composition en général.


Mathématiquement, les signes s’annulent mutuellement. En effet, en portant un signe dièse, qui élève la note d’un demi-ton. Et, en faisant suivre un signe bémol, qui va baisser la note d’un demi-ton. Ce qui a fait monter et redescendre la note d’un demi-ton à chaque fois, a tout simplement ramené la note à son emplacement d’origine.

La succession de signes sur la note :


Si l’armature représentait une foule de combinaisons. Alors, toute la curiosité serait attirée par la vue de ce système complexe. L’armature a un avantage unique, celui de définir avec exactitude le croisement des tempéraments. En affirmant, une méthode quantique bien définie.


Le fait d’une suite de signes consécutifs, a pour activité la modulation diatonique. Cette modulation intervient au croisement des tempéraments, qu’ils mènent à l’origine dodécatonique ou tétratonique. Si l’altéraction est relative aux signes, l’armature est une signature altéractive relative aux gammes. Les modulations apportées représentent différentes clés interdiatoniques.



On constate, qu’une note signée au début de la séquence.


Peut aussi être signée une nouvelle fois, et même d’un signe (ou plusieurs) opposé(s).


D’où, une seule logique de développement, n’est pas seulement unique.



Les deux signes de permutation :


En diésant la note E, elle atteint la note F. Puis, en bémolant la note F, on revient à une origine égale. Seulement, les valeurs des degrés sont inversées, la quarte est à l’emplacement de la tierce. Donnant à la tierce une consonance médiane, et à la quarte une autre consonance mélodique.


Pourrait-on dire, que bF = E, dans un contexte harmonique. Là où sont les mouvements des modulations, la quarte bémolée ne perd pas de sa valeur originale, elle est seulement revalorisée. La note est constante, elle a un timbre spécifique. Qui peut être altérée par une force altéractive, créant un changement d’emplacement de l’entité pouvant, néanmoins, être modulée.

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