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SCHÉMBIATONIE :

L’onde de choc schématise l’harmonie diatonique.

Un air d’eau



Même si une fois, on avait posé sa main

sur l’eau, d’un geste aérien.

Une goutte d’onde


À savoir, que le côté élémentaire de la boule ne souffre pas de son unité, uniquement à cause de sa simplicité.

L’élément symblion


C’est en dessinant les fameuses boules, d’une façon de suivre les symboles qui apparaissent en séquence logique.

L’histoire de l’eau ne va pas, sans terre ni vent !


Un navire à voiles fait de bois flotte sur cet océan, ce jour tout est calme. Il n’y a pas de vent, ni de vague. Alors, le bateau ne plisse pas cette surface calme. Puisque tout a l’air de voguer en une douce harmonie, l’océan et le bateau ne font qu’un seul tempérament. Et, les bleus de l’océan et du ciel ne font que parfaire cette situation imaginaire. Pour simuler cette onde presque invisible, il faudrait suivre ce rythme paisible. La relation normale exercée entre tous les éléments qui rentrent en jeu est d’un calme donné par leur équilibre. Et, selon qu’un seul élément a une activité anormale. Alors, l’harmonie vivante transforme le décor, habituellement passif, en un déroulement créateur d’une activité interactive. Puisqu’à cette heure, un vent est venu gonfler les voiles du navire. Que sa coque s’est plongée dans l’eau, qui par cet acte innocent, il dessine sa propre surface. La flottabilité de ce navire en jonction avec la force immergée, à tous deux, ils vont faire rebondir le bateau.

Après le schéma diatonique.

Après la schémbiatonie.

Après le symblion.


Le symblion est l’élément harmonique formé par l’accumulation des notes conjointes, selon que la note soit égale et qu’elle réagisse à l’évolution de la combinaison élémentaire. En se référant à un catalogue des diverses combines élémentaires, on obtient une liste relative de symblions que l’on peut attribuer aux formes schémbiatoniques originales.


C’est uniquement l’unité élémentaire qui nous aide au développement, aussi simple que 1,2,3 ou 1+1 font 2. Sauf qu’à présent, il s’agit de note de musique, et qu’elle se dessine par une boule parfaite. Qui va permettre le développement, qui va évoluer au fil de ces pages.




Télécharger SYMBLIONUAGE


Petit ouvrage qui relate en une dizaine de pages, quelques moments choisis parmi les harmonies modales.


SCHÉMBIATONIE : L’onde de choc schématise l’harmonie diatonique, suite.

En se reposant sur l’eau, on peut apercevoir l’onde évoluer. Parce que cette matière colorée reflète l’image du ciel, et qu’elle est parfaitement visible par l’exemple de ses vagues. Alors la flottabilité de l’eau varie selon son niveau harmonique courant, ou bien sa meilleure stabilité. Ainsi, que les arguments nécessaires à l’explication de son niveau comportent d’étranges facteurs, tels : les courants des eaux, leurs températures, l’attraction terrestre, et même encore la pression atmosphérique, etc.

Si la terre est ronde, ce n’est pas par hasard, en l’effet du groupe des matières en jeu. Ainsi, que d’effet en effet, il puisse se former de la chaleur, de l’électricité, de la compression, ou encore de l’activité. Enfin, toutes ces matières en mouvement qui composent cette boule de vie. Elles ont actuellement une finalité sphérique, signifiant ainsi l’équation élémentaire complexe et sa forme. Et en réduisant l’équation en un espace plat, on obtient le cercle qui est idéal à dessiner…

À force de dessiner intelligemment, on finit par faire des amalgames. Et de boules en cercles logiquement séquencés, on découvre comment les petites boulettes s’organisent. La coloration est l’indice d’une appartenance à une variété non négligeable de l’objet, ou de mouvement lorsqu’il s’agit de la modulation. Alors, des formes connues s’organisent avec la gamme musicale. Et l’effet harmonique nous donne sa forme originale, en des corps complexes…

Afin d’assimiler l’évolution schémbiatonique ;

et en raison de son complexe. Je vous présente les premiers éléments utiles pour ces explications :

1- La gamme naturelle.

2- Le mode diatonique.

L’unité de la note musicale est uniforme, si bien qu’elle construit une ligne harmonique. Elle est classée modalement, selon le degré diatonique développé. En suivant les notes diatoniques de chaque degré modal, on détermine les différentes tonalités modales.


● Si la ligne harmonique est d’une tonalité chromatique, la gamme naturelle délimite sa fonction. L’octave désigne la tonique modale naturelle, et donc dessine une ligne modale sur cette ligne harmonique. Comme on voit, que la gamme naturelle est en Do, et que sa ligne modale est bien droite. C’est alors, que sa tonalité est majeure avec ses sept notes qui font partie de sa diatonie.



● Les lignes modales sont accidentées, de part les modulations des tonalités. Il est aisé de comprendre en ses lignes les tonalités respectives, de ces modélisations. C’est le cas d’une schématisation diatonique en cours, de schémbiatonie.


Ainsi, on mesure une unité universelle pour chaque note. Et sa valeur harmonique lui confère une portée, si bien qu’une note est une unité. Aussi, son octave est l’unité doublée. Et ainsi de suite…

Pour parvenir à découvrir la modulation diatonique, il faut avoir songé à un scénario. Qui déroule des instants de modélisation, sur une scène uniquement diatonique. Ce qui plus simplement dit, que les lignes modales vont se juxtaposer sur la ligne originale du mode tonique. Ce dernier mis à contribution sonore, donne de l’amplitude. Ce mouvement brasse des disjonctions modales, en créant des événements harmoniques. Tels, par exemple, la juxtaposition numérique de la note. Car, la valeur numérique du nombre de notes juxtaposées implique une évolution.

Donc, trois notes superposées n’ont pas le même raisonnement, que quatre. Par la classification schémbiatonique on obtient des étapes menant a la juxtaposition harmonique, des variations des notes en évolution. Ainsi, qu’une ordonnance rangée selon qu’elle soit tonique ou bien diatonique. Puis, le problème de la transposition de tonalité, pour une finalité diatonique. C’est dire la complexité du développement schémbiatonique. Un nouveau mot, pour une nouvelle évolution d’origine musicale. Qui ne se lasse pas de métamorphoser son côté symblion.

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