C_Initiale

Cab2000 La Note Initiale

L'art gammologique est un séquenceur naturel.

Si la gammologie étudie l'ossature des gammes, ainsi que la mélodie est le solide argument d'expression musicale. La phase naturelle est celle qui harmonise toutes les situations, celle qui donne au corps un sens à sa vie. En musique, c'est la gamme qui fait la mélodie. Et, l'interprétation de la gamme est personnelle à chacun.

Les gammes sont qualitatives et quantitatives, elles sont principalement diatoniques, et pas seulement monotones.

Ce qui est de la quantité de notes et de leurs qualités naturelles, la gamme est une suite de notes diatoniques. La gamme naturelle / majeure par excellence, aux sept modulations diatoniques, n'exprime pas tout ! Les altérations vont forcer la modulation diatonique, et vont recouvrer les soixante-six gammes fondamentales. Ainsi, qu'un ensemble de quatre cent soixante-deux modes diatoniques aux fondamentales... ®

Elles sont divisées en familles quantitatives, à cause de leurs nombres de notes diatoniques.

La gamme chromatique a 12 notes, soit le maximum en possibilité instrumentale. La gamme naturelle chromatique de Do se définit différemment selon qu'elle porte comme altération. Chaque gamme heptatonique a son chromatisme, il suffit de respecter les règles établies par la gamme chromatique majeure. La gamme est une suite de notes allant de deux à douze, elles font partie d'autant de familles.

Label Composition
Diadique 2 notes
Triadique 3 notes
Tetradique 4 notes
Pentatonique 5 notes
Hexatonique 6 notes
Heptatonique 7 notes
Octatonique 8 notes
Ennatonique 9 notes
Decatonique 10 notes
Hendecatonique 11 notes
Dodecatonique 12 notes

Il existe plusieurs types de gammes, qui se nomment selon la ressource diatonique…

Puisqu'il y a 462 modes / 7 notes altératives, il y a 66 gammes fondamentales. L'histoire de la musique guide nos premiers pas... C'est pourquoi ; La gamme mélodique est avec une tierce mineure, la gamme harmonique a une sixième mineure, etc. Il n'y a que sept degrés modaux : tonique, tonal, mélodique, médian, dominant, harmonique, sensible.

Les tonalités modulent dans un cercle fermé, car il y a un nombre finit de gammes.

Les gammes sont des mesures de tonalité, et sont pourvues d'un rayonnement tramant un espace uni. Parce que chaque note diatonique, aux primordiales (66), à un emplacement précis et calculé parmi les fréquences par division équitable de l'octave. Comprenez, qu'alors ce tracé, ne résonneront que des fréquences données. Ce qui fait, que l'octave soit le cercle privé de la gamme naturelle aux vertus altératives.

Après leurs classements, on détecte les gammes fondamentales et leurs modulations diatoniques.

Voici l'histologie racontée du développement des gammes en général :

Ça commence à l'école de musique, avec notamment la gamme naturelle et* Alors, j'ai commencé par développer la gamme naturelle, qui est celle de Do majeur, et notre référence. Chaque mode diatonique de cette gamme a son propre codage tonal, et appartient à la gamme majeure. Ce qui rendait ces modulations diatoniques à être majeures, et donc fondamentalement de même type.

* Maintenant, il manque la vertu altérative de la gamme naturelle !

La première règle est de savoir qu'une gamme a les sept notes absolues et sept degrés modaux diatoniques. Ça fait 7 notes, multipliées par 7 modulations, produisent 49 comportements diatoniques.

- Les premiers pas du développement des gammes vont persévérer, en plusieurs étapes. Commencer par les modulations majeures avec une seule signature altérative, en vérifiant de ne pas développer un double. Puis, deux... Et surtout, aller jusqu'au bout de ces gammes !

RAPPEL DU COMPLEXE : Une gamme = 49 comportements, 66 gammes = 3234 comportements.

Ainsi, que sériées par leurs types d'expression sonore de ses composantes, par leurs qualités.

L'importance remarquable des gammes, dans un contexte avec lequel se mêlent les fondamentales et les harmoniques. Est due à la mesure de son expression, d'être parfaitement unique, et ainsi, par son complexe diatonique, créer une harmonie d'ensemble compliquée par les essences modales. Il est toujours possible de modifier ces événements harmoniques primordiaux, à cause de l'art musical ().

Le temps est son principal facteur d'évolution, car au fur et à mesure, la mélodie exprime sa sensibilité.

Un instant arrêté au présent, qui n'est pas sans futur, est un fragment diatonique de la mélodie choisie. L'entraînement harmonique de chaque note de la mélodie, dont l'expression est sensitive, conduit à souligner certaines parties, ce qui fait que la cadence tempère la mélodie. La mélodie se joue des notes, et le compositeur sait que chacune de ces valeurs est unique, et qu'elles sont le moyen d'expression musical.

La suite des notes mélodiques fait un cortège harmonieux où s'anime l'esprit effectif.

Dès le premier temps musical, on n'a pas tout entendu de la mélodie qui défile. En évoluant, elle exprime ses sensations, dans le monde complexe des harmoniques et des fondamentales. La musique est un art d'expression humain, ce qui est créateur d'ambiances orchestrales, même avec un seul instrument musical...

Toutes les créations musicales ont un effet mélodique, puisqu'elle peut être créée polyphoniquement.

Plusieurs instruments de musique peuvent interpréter la même œuvre musicale. Le moment de comprendre que les harmoniques sont complexes et élémentairement naturelles. De même, que ce complexe suit une ligne mélodique précisément incomplexe.














Notre modulation de base est la gamme naturelle majeure, aux notes non signées.

Les notes non signées sont naturellement absolues, elles n'ont pas de signe altératif (# ou b). Les signes ont plusieurs titres de popularité, ceux des gammes fondamentales et ceux des modulations diatoniques de l'exemple du tableau, ainsi que ceux des gammes chromatiques et commatiques.

C D E F #### D ### E ### F ## G # A B C
C b D bb E bb F bbb G bbbb A bbbbb B G A B C

Chaque gamme à sa mélodie diatonique

La mélodie met en place l'harmonie.

Ce sont les gammes fondamentales qui font la différence diatonique des modes répertoriés.

Elles sont censées être l'expression altérative la plus simple, les écarts dus à la modulation diatonique font la disparité des différences modales rencontrées, alors. Ainsi, que les modes restent toujours hiérarchiques à la tonique, en gardant un incrément relatif — tonique. Soit, si le mode tonique est b3, le mode tonal est b2, ce mode tonal est naturellement b3 & b7, mais ici, il est b2 & b3 & b7, le mode mélodique est b1... ()

Ces dernières sont toujours majeures de septième, si la septième est altérée…?

En effet, les gammes primordiales de Do, ont toutes la septième majeure ! Tandis, que les modes autres que toniques, ont tous des septièmes mineures ou plus ! Ça dépend de l'endroit où on commence à lire la gamme...

Les notes naturelles possèdent des qualités remarquables ; alliées à des besoins altératifs.

La qualité sonore de la gamme naturelle, change de tonalité selon le degré de lecture. Elle fait suivre deux parties tonales, répétitivité au niveau sensible de l'axe symétrique de l'octave. Ces parts tonales, grâce à leurs qualités, ont des tempéraments toniques, a large sensibilité.

Dossier des gammes géométriques

Nous savons que la conversion des gammes musicales, démontrent des cas figuratifs.

Que je m'empresse de représenter, pour vous, chers amis lecteurs !

Selon le cycle élémentaire de la gamme naturelle, qui retrouve son octave tonique.

L'image plane de la gamme circulaire et la suite des quintes justes en spirale.

L'étoile pentatone brille par son tempérament.

Le tempérament des quintes absolues, celles qui admettent l'enharmonie des notes (Exemple : #E / F), détient un développement basé sur une simple symétrie complexe. Les quintes absolues ne sont pas vues comme des quintes justes, c'est seulement leur pas qui est remarqué. Ces quintes respectent les notes de la gamme chromatique naturelle (# et/ou b), et elles commencent l'évolution par les notes de la gamme naturelle (G, D, A, E, B). Pour finaliser son cycle à l'octave tonique, avec à l'emplacement du degré sensible la note Fa, et enfin sa tonique Do. Ces dernières notes sont pour les quintes justes ; Fa & Do = #Mi & #Si


La gamme naturelle a une figure heptagone régulière, par sa répétition " tonique (ton-ton-½ ton)" dominante (ton-ton-½ ton), et par sa finalité à son octave tonique. La gamme se divise en deux clusters, l'un est tonique et l'autre est dominant. Le fait, que les notes naturelles se trouvent stratégiques, de part aux premiers degrés de l'évolution pentatone naturelle, et au niveau sensible terminal. Ce qui donne une force tonique, intégrée des degrés extrêmes, à la présence remarquée des sept notes naturelles. Cette gamme naturelle est l'effet tonique de l'évolution pentatone.

La lune heptatone, et son quart harmonique.

 En dessinant l'aspect tonique pentatone, on imagine un simple heptagone, avec un quart justement harmonique. Petit rappel : Au sujet du développement des harmoniques selon une fondamentale donnée.1- D'une harmonique fondamentale au rang zéro, qui s'engage à la note génératrice à l'octave zéro. 2- Qui, du zéro harmonique, le code dodé finit sa course à l'octave primaire. 3- Les codes hexa se divisent à l'axe symétrique (# Fa / b Sol), et leurs extrémités sont des octaves. 4- Les harmoniques tria, se redivisent dans l'octave secondaire, avec le toucher de la note harmonique naturelle La

Aussi, le quart de lune heptatonique est représenté, après la note La, dont cette accentuation tonique et harmonique se perpétue au fil des harmoniques, au-delà parmi les octaves ! La vision extraordinaire de la couleur musicale des harmoniques lumineuses, enfin visibles !

Rayons trilogiques relatifs aux quarts de Lune.

 En dessinant les quarts possibles manquants, 

 Le quart parfait de Lune (La / Do), n'est pas le seul à être tétradique, car composé de quatre notes(.)  Cet intervalle existe aussi comme tonale médiane (Ré / Fa), et mélodique dominante (Mi / Sol).  En notant, que le quart parfait est descendant La > Do, et les autres ascendants Ré > Fa & Mi > Sol.  Ces deux dernières sont juxtaposées, elles s'assemblent en un corps divisé. La tonalité générale des quarts est tonale et sensiblement dominante. Ainsi, qu'au centre est un cœur médian sensiblement mélodique.  Pour en revenir sur le quart parfait, son ascendance lui confère un lien négatif avec les harmoniques. Comme une sorte de mémoire tampon à rétroaction, chargée vers le passé, celui du lien des notes Do et La, des notes naturellement harmoniques.

Les rayons de lune tournent comme un moulin.

Ce cercle rayonné a trois couleurs, et autant d'éléments.

Cet ordre constant va tourner en rond, au rythme des quintes justes.

Quinte juste n°1 : Tonique G :


Renversement mélodique et naturel en harmonique augmentée.

Quinte juste n°3 : Tonique A :


Renversement symétrique et naturel en sensible tonale.

Quinte juste n°5 : Tonique B :


Renversement harmonique et naturel en tonale atone.

Quinte juste n°7 : Tonique #C :


Renversement sensible et naturel en atonal médian.

Quinte juste n°9 : Tonique #D :


Renversement tonique et naturel en médian dominant.

Quinte juste n°11 : Tonique #E :


Renversement tonal et naturel en dominant harmonique.

Quinte juste n°0 : Tonique C :


Renversement harmonique,

et naturel en mélodique tonale.

Quinte juste n°2 : Tonique D !


Renversement sensible et naturel en mélodique symétrique.

Quinte juste n°4 : Tonique E :


Renversement tonal et naturel en symétrie harmonique.

Quinte juste n°6 : Tonique #F :


Renversement atonal et naturel en harmonique sensible.

Quinte juste n°8 : Tonique #G :


Renversement médian et naturel en sensible tonique.

Quinte juste n°10 : Tonique #A :


Renversement dominant et naturel en tonique tonale.

Quinte juste n°12 : Tonique #B :


Renversement harmonique et naturel en tonal mélodique.

Selon le cycle élémentaire de la gamme naturelle, qui retrouve son octave.

L'image plane de la gamme est circulaire, et la suite des quintes justes est en spirale.

L'onde vient du mouvement physique.

Elle fait partie d'une conjoncture formée de particules, relatives à un corps complexe. La sonorité est aussi complexe, que le corps qui l'anime. La note musicale émet une onde à sa hauteur, cette note est fondamentale aux harmoniques. De même qu'une onde complexe et ses harmoniques, configure un effet dû aux vibrations de l'onde. Car en plus de la vibration primordiale, les harmoniques vont créer de l'effet, puisque leur état physique n'est pas vain ! 

Évoluant dans un cycle d'octave, elle résonne dans sa ritournelle quantique, et s'harmonise.

Si la note égale deux, sa note à l'octave égale quatre, cette note est facile à reconnaître d'oreille. Elle équivaut au double de la première, toutes les autres octaves, croissantes ou descendantes, sont multipliées ou divisées par des nombres doublés. Si Do2 = 1 x 2, Do3 = 1 x 4, Do4 = 1 x 8... Ou, si Do-1 = 1 / 2, Do-2 = 1 / 4, Do-3 = 1 / 8...

La force statique de l'octave ferme un champ tonique, plus significatif que les autres composantes diatoniques, dans le cas d'une onde complexe, tel l'accord musical. La cadence de l'octave est invariable, elle prend la mesure d'une sonorité parfaite, qui est liée à une évolution mathématique des éléments. Elle dessine aussi, un cortex aux définitions allant du plus petit au plus grand qualitatif. Ici, la qualité de la note fondamentale est universelle aux particules précitées. Du fait de cette simple uniformité, compliquée par des résultantes harmoniques, qui ont pour pas d'avancée, le même que l'octave. Où la première harmonique après la primordiale aurait la même valeur que la première octave. Se développent deux ensembles occurrents ; les octaves et les harmoniques : ® 

Car, l'onde vibre l'air continuellement, et la multitude des vibrations s'assemblent par effet harmonique.

Les harmoniques se multiplient en développant les octaves, et si l'octave est principalement multiple à la note, alors l'harmonie est multiple à la fréquence de cette note. Donc, pour Do1 = 5 htz, 2 = 10 htz, et 2 = 1 x 2. Ainsi, 1 est notre fondamentale, égale à l'harmonique relative ;

Do1 = Ha1. Ha1 = Do1 x 1,2 = Do1 x 2, Ha3 = Do1 x 3, Ha4 = Do1 x 4... Nul doute pour comprendre que cette suite harmonique développe des octaves relatives à la fondamentale. La vitesse des harmoniques se synchronise aux octaves du même nom, Les battements harmoniques sont homogènes, dans le cas d'un son monotone. Et contrairement, dans le cas d'un son polytonal, où le battement est soumis aux conditionnements alternatifs, additif et diminutif, selon... En admettant, un diphonie de Do1 & Ré1, Où Do1 = 5 htz, et Ré1 = 6 htz ; ORDRE DO : 5.10.20.40.80. ORDRE RÉ : 6.12.24.48.96. On peut, par exemple, suivre le pas des différences : 1.2.4.8.16, et cet ordre

Le monde de l'onde sonore ressemble à notre universelle vie, au sens sonore du terme.

S'il n'est pas facile de connaître un corps par lui-même, c'est subtil de comprendre ses états particuliers et de les définir. Bien que différents, les sons donnent des résultats logiques, tout comme les mathématiques et la mécanique. Il règne en sein harmonique du terme, un algorithme physique avec toutes ses tensions et autres faits. Quand on sait, que parfois la compréhension peut être indéfinissable, alors l'intelligence prend la forme d'un vaste complexe. Il s'agit de comprendre le son, pour déterminer l'objet, sans le voir réellement, mais l'imaginer. Quand celle-ci ne serait pas une image, mais une structure de corrélations cognitives. Il y a un instrument musical, qui délivre des harmonies variables et relatives à une cloche. Car, les notes fondamentales sonnent leur harmonie mélodieuse, elle chante toute seule. Ce qui n'est pas sans charme, les merveilleuses ondes lumineuses en harmonie... ® 

Le tempérament de l'ondulation, dans l'octave harmonisée.

Cette impression de continuité sur le sujet de l'onde est normal, puisqu'il se traite en plusieurs fois. De façon à expliquer ce problème. Le tempérament de l'onde est régulier, il a une démarche tonale, relative à la tonalité de la note. L'harmonisation est un phénomène secondaire aux harmoniques primaires, par conséquent. En récapitulé : Les harmoniques harmonisent, elles créent une ambiance. Le tempérament tonal n'a pas le pouvoir de démontrer la modulation diatonique.

La sinusoïdale de l'onde, en tant que tempérament harmonique, est une porteuse raisonnable.

- Le tempérament tonal n'a pas le pouvoir de démontrer la modulation diatonique ! Faisant une boucle dans le temps élémentaire, tout en avançant au fil des octaves. Cette spirale elliptique est un monument sonore, dessinant la compréhension d'une possible évolution d'un objet élémentaire. Imaginons, qu'il y ait plusieurs variantes ? Que cette onde, nous donne le mystère des autres consœurs, en nous laissant rêver sur un système structuré des temps parallèles, L'harmonisation brille par sa justesse, on parle des sonorités lumineuses... ®

En terme, elle supporte une structure globale, mesurable dans l'espace, à logique significative.

À force de voir parmi des études, différentes évolutions. De reconnaître clairement la logique de l'œuvre, c'est avec un esprit éclairé, qu'on découvre un système intelligent. Puisqu'il est sujet de code quantum, bien que sommaire par son style, il est néanmoins une force juste. Motrice, en rapport d'avancée des masses impliquées. L'onde voyage vers son destin, elle dessine son chemin, en regardant bien.

Parce que, je suis un être à faible intensité, qu'elle m'émerveille par sa vivacité d'expression... ® 

La célérité de la traversée des octaves croissantes, faite par l'onde, dépend de la longueur de son pas.

Les temporisations parallèles peuvent se manifester à l'unité, dans laquelle on retrouve les mêmes formes d'ondes. L'octave est une borne étalonnant le champ d'évolution des ondes, qui est dépassée par la démarche de chaque onde. La borne principale suit un rythme régulier, et est significative de célérité. Les ondes qui évoluent dans cette structure temporelle, vont plus ou moins vite à traverser les octaves. À un moment donné, l'onde va rencontrer la fondamentale supérieure, ce qui définit la fin de son cycle intégral. Le fait de suivre l'onde à la trace, dessine une forme de tempérament aux complexes ondulations, lors d'un compactage d'octave... ®

Le phénomène quantique est une force logique. 

Chaque chose évolue à son rythme, à l'image d'une reconnaissance à vue idéale.

On comprend l'évolution mesurée à partir d'une onde à la multitude des pas dans ce parcours, elle crée un ensemble quantifié. Cet élément d'analyse n'a pas la même forme harmonique, en termes de fondamentale gammale. Outre l'espace d'octave constant de 12 intervalles (½ ton), il y a la constante naturelle primordiale de 7 notes (C D E F G A B). La gamme naturelle a sept modulations diatoniques ou modes, et/ou (une fois) modegrés. Notre référence quantique est bien cet idéal tempérament majeur.

Imaginons, la multitude des corps vibrants nous entourant, ainsi que de leurs personnalités.

Aussi sûr, que l'élément n'est pas isolé, ni simple. Le dessin géométrique a besoin de paramètres pour s'exprimer, afin de comprendre ces mécanismes harmoniques. Le son ne se voit pas ! Et, pour transcrire le texte utile, il exprime cette reconnaissance, et le dessin logique donne de l'imagination à ce dernier. Il est facile de croire, que ce dernier texte utile explique tout !!! Non, quelques fois, il ne fait que répéter ce qui est imaginé, donc vu. Tandis que l'expression harmonique est l'union de l'image* et du son, en croyant qu'elle* soit intelligente.

La situation quantique des organisations gammales est élémentaire et variée.

Les harmonies complexes sont des corps logiques, créés ou existants, desquels se comprennent divers sujets. Aussi, dans ce monde renommé, chaque individu appartient à la famille non exclusive des gammes. Et, chaque exercice prend un sens personnel, en renouvelant les mots de son expression théorique.


Quand plusieurs éléments étrangers se rencontrent. 

Les éléments sonores forment une masse auditive, au conditionnement logique des différents corps.

Si le corps sonore est puissant, il peut être actif sur la matière, d'où à manier faiblement avec précaution. Le principe des différentes formes fréquentielles est de pouvoir s'introduire activement dans des perceptions spéciales de la matière. Qui est en toute définition : Très complexe.

Le son dépend de l'activité d'un corps, qui à tiers peut moduler son comportement, jusqu'à sa perte.

La sonorité intellectuelle, est celle des sublimes compréhensions, celle des sonorités naturelles.

La fusion sonore est un complexe harmonique mesurable. 



Avec un accord, on crée de l'harmonie, et les ondes harmoniques se mêlent aux notes fondamentales.



La constitution de l'accord, résonne au sein des harmoniques naturelles, dans l'espace d'octave(s).



Vraiment, l'harmonique est modale, puisqu'elle multiplie son identité à capacité unitaire ou tonale.




Le développement des mondes parallèles, existences & âges. 



Aujourd'hui, un équilibre s'établit au sein des tonalités harmoniques, ce qui pose un grand étal de choix.



Un étalonnage pluriel des échelles d'octaves et de tempéraments, dessine la chronologie des éléments.



Au-delà, les ajustements clefs au gré de l'accordeur, quand l'état diatonique n'est pas harmonique.



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