magfon_3

RÉSUMÉ :

Premier rassemblement des effectifs donnés par les démonstrations

Comme le relevé des gammes a parcouru le chemin des primitives, qui sont majoritairement signées. Les modulations diatoniques aident à donner une séquence intéressante, au sujet des gammes fondamentales et leurs harmonisations.

Si ces modèles se suivent, ils peuvent se ressembler. Faire partie intègre d’une diatonie gammique. Et ainsi, exposer son logarithme gammal. Aussi, ce genre de logique développe des structures gammiques spéciales.

***


Il faut développer le chromatisme, pour appréhender les modulations. Repérer les transpositions, et alors définir une formule exacte.


Puis, se synthétisent les modèles représentés. Se décrivent des situations remarquables, et qui mieux ; Dans un domaine chronologique harmonique !!!


Ce n’est pas nul, et ça ressemble aux armatures. Aux rapports balistiques.


***


Dans le développement des primitives à signatures unitaires. C'est-à-dire signées d’une seule altération. Se déroule une série de gammes fondamentales.


Car, l’évolution de la gamme naturelle vers ses modulations primordiales ou bien choisies par leurs simplicités élémentaires.


On aborde les comportements enharmoniques de la septième augmentée.


***


On retrouve le côté enharmonique des gammes, avec les toniques signées. Les altérations forcent une altéractivité sur les notes voisines. La tonique est fortement altéractive, elle a une signature évolutive. Elle comprime sans détruire les notes extrêmes.


Et, parmi ce cycle se combinent différents degrés d’une seule et même diatonique.


***


PETIT RÉSUMÉ


***


On retrouve les trois formes développées, ici.


On peut comparer les relativités gammiques.


On suit la lignée des transpositions, ainsi que l’originalité des modèles.


Et, quelques résolutions avec le rayon enharmonique.


***

Le modèle Do de septième mineure, abouti à la gamme de Fa majeur.


Le modèle Do de quarte augmentée, abouti à la gamme de Sol majeur.

Le modèle Do de tonique triaugmentée, abouti à la gamme de Sol en quarte triaugmentée.


Le modèle Do de septième biaugmentée, abouti à la gamme de Fa en quarte triaugmentée.

Le modèle Do triaugmentée de tonique cinaugmentée, abouti à la gamme de Fa triaugmentée en quarte diminuée et en quinte diaugmentée.


Le modèle Do triaugmentée de tonique quaminuée, abouti à la gamme de Sol baissée en quarte minorée et en quinte diaugmentée.

EXTRAPOLATION : La série se poursuit par la fusion au cas par cas des primitives

Pour fusionner une primitive à la tonique, il faut l’altérer, de façon à la ramener à l’emplacement tonique !

Tout simplement.

Par exemple, le degré tonal (2) a besoin de deux bémols, pour diminuer jusqu’à la tonique. Et, dix dièses pour s’augmenter à la tonique !

Tout simplement.

Maintenant, se présente la ligne chronologique des primitives enharmoniques.

La note, quand elle est enharmonique, c’est qu’elle a fusionné avec une autre note. Et, que d’une diatonie à sept notes, on soit passé à une de six notes.

Mais, c’est surtout la suite du développement des chronologies enharmoniques. Celles, qu’on n’ose pas développer, à cause d’un préjugé irrationnel. Lorsqu’on se dit, que çà ne sert à rien, puisque l’emplacement tonique est occupé.

•Les modèles bémolés donnent trois événements diatoniques majeurs. Et, quatre événements de transposition diatonique.

•À part le modèle naturel, la séquence construit son cluster progressivement. Voir — notes grises. 

Ce développement entraîne un espace d’intervalles « libres ».

•Ce « trou » de notes, a de la valeur, il indique un signe de transposition.

•Les modèles diésés, ici commencés par la seconde augmentée à la tonique.

•À partir de la seconde, qui a eu besoin de dix dièses. Tout en repoussant les notes ultérieures, a instantanément créé le phénomène de transposition.

•Ce fait, trouve trois modulations diatoniques en fin de cycle.

En nous ramenant aux gammes fondamentales, enharmoniquement.

Le processus des modèles enharmoniques nous a exprimé une nouvelle chronologie. Elle complète celle des primitives élémentaires, et celle des primitives toniques. La particularité enharmonique vient à point pour déranger le cycle parfait des idées trop parfaites. C’est ce qui m’est arrivé, et grâce aux chronologies enharmoniques, j’ai remis en question le problème de la chronologie fondamentale gammique générale.


Les différents développements, ici réalisés. Ils nous ont apportés quelques notions dues à la version aléatoire des quantiques enharmoniques. La nouveauté de la découverte, bien qu’ayant démontré l’objet brut, laisse une grande part aux analyses. À la variété des points de vue, où commencent les sciences relatives aux éléments.


Comme je le disais, je redécouvre un nouveau sens primordial à mon ordre donné à ma calculette gammique. Non, elle n’est pas fausse, elle affiche bien toutes les combinaisons des gammes primordiales. Et, de bons résultats diatoniques. Mais seulement, les nominations gammiques vont changer.


À cause de ces critères, ceux qui règlent la conduite appliquée :

Les termes sont les plus courts possible.

Les altérations s’équilibrent, au besoin, avec les couples primaires.

Les gammes sont toutes en Do à la septième majeure.

Les analyses auront un résultat maîtrisé, une synthèse harmonique.

Maintenant, un bref résumé de la ligne chronologique des primitives enharmoniques

La lignée des chronologies relatives aux notes primaires, et naturellement primitives.

Nous avons fait découvrir leurs aptitudes à créer des liens diatoniques et transposés, voire inter-chronologiques.

Le contact avec les gammes enharmoniques, dont le flux a été interrompu par la force altéractive de l’altération.

Share by: