armhar_1

HISTOGRAMME :

La relation du complexe des tempéraments relatifs,

Cet ordre signé est le modèle diatonique parfait, et avec cette séquence de notes signées,

il n’en faut pas moins... Pour comprendre :


Que la fonction diatonique de la gamme impliquée est effective au niveau de chaque renversement modal. Pour comprendre le phénomène des relatives diatoniques à l’armature, il faut simplement développer ces sept groupes de notes modalement rangées. La technique de ce développement se rapporte au premier mode naturel ou fondamental, et bien sûr original. Sachant que chaque note signée de l’armature a pour effet d’altérer la note absolument naturelle. Aussi, en rejoignant la note voisine, on va dégrouper cette histologie de tonalité. On modulera la tonalité naturelle de l’ondulation des degrés diatoniques et leurs tonalités modales...

Épique

Cours du développement... Le caractère de la suite diatonique, relative à l’armature, décrit une séquence de signes altéractifs portés sur les notes. La chronologie évolutive du tempérament des quartes ne permet pas à toutes les tonalités d’être cohérentes... 


L’importance générale de l’information est composée de gammes majeures, classe cette suite statique en un point fort. Différemment, en prélevant un autre modèle. On définit ainsi, le chromatisme diatonique, soit l’effet des modulations sur les harmoniques...


Le tempérament de l’armature, dessine une quantique régulière. Et, son rythme donne une série gammale. Le rôle de la première note modale est primordial, elle va définir sa cohésion diatonique…

Modique

Donc, l’armature possède sa propre signature, elle a la qualité des modulations & des temporisations. Dans son évolution, elle développe une séquence de gammes « signées ». La chronologie des signes n’est pas aléatoire, ni une constante modale...


L’ordre fondamental des armatures est une suite de signes altéractifs. Qui traversent les modulations diatoniques, au travers les enharmoniques...


La principale qualité de l’armature est de parcourir une série de gammes qui lui sont diatoniques, de créer une matrice d’harmonie gammique...

HISTOGRAMME : La relation du complexe des tempéraments relatifs,


Le chromatisme des tempéraments varie selon le niveau du nombre d’octaves. Et en particulier, à la première octave, les degrés sont inégaux ! La propagation des octaves effectives aux harmoniques est régulière. Et, d’autre part. Les espaces d’octaves ne seraient pas tous touchés par les tempéraments, de la même façon !!!

VII

  Est le terme donné du degré.


 Son tempérament est limité à son dernier pas, il a une démarche inversée à celui des secondes. Ces deux tempéraments se juxtaposent parfaitement.



II

Le tempérament de la seconde.


La seconde juste est une cadence, qui va substituer la tonique. Car, en terme absolu, à un moment, on va rencontrer l’octave à l’aide de la septième juste augmentée.


La seconde, par son rang diatonique, crée le sujet. À l’opposé d’un degré ultérieur, qui pourrait le transposer. Le tempérament des signes de l’armature, ne se comportent pas de la même façon...


Si la table ci-dessus, désigne les degrés chromatiques. Celle-ci-droite est relative aux armatures !

Les parités internes aux degrés naturels


L’armature altère la note absolument naturelle, par ce fait le tempérament de cette évolution suit la gamme majeure de Do. En complément, au lieu de porter l’armature sur la gamme majeure, et pourquoi pas avec la gamme mélodique.


À ce moment, on a la chronologie des armatures et celle des gammes, qui sont mises en relations. Il y a de quoi quantifier les harmoniques créées !!!

HISTOGRAMME : La relation du complexe des tempéraments relatifs... 


Le chromatisme des tempéraments varie selon le niveau du nombre d’octaves.

Le tempérament évolue dans un espace donné, son orientation est dichotomique.

Ceci, en lisant les degrés dans les deux sens du développement.

Cette double lecture des degrés, couple une paire de tempéraments.

Deux espaces temps distingués


Le temps se conjugue en termes de cycle, selon qu’il est le couple suivant :


Le modèle linéaire développe une inversion, la contradiction de son avancée


Imaginons, que la ligne droite est un tempérament de secondes...


Alors, le pas croissant dévoile l’amplitude des intervalles. Qui, en temps réel, transporte les ondes harmoniques, selon l’effet de couple...

Le voyage du tempérament

Plus la constante augmente, le nombre d’espaces temps évolue. Dans un milieu unique, là où l’espace est un relatif absolu...

- En terme, si les tempéraments étaient simultanés, la forme harmonique serait complexe. Puis, par les effets mécaniques des couplages. Ajusteraient une structure quantique dans l’espace. Ils créeraient une forme primordiale, originale ?


La suite des degrés de l’armature n’est pas due au hasard...


En développant toutes les armatures possibles, on s’arrête à découvrir les modulations diatoniques. Dont ici, les modes diatoniques sont relatifs à l’armature originale.


O

L’évolution ne traite pas les notes :

(voir tonique, dans diatonique).


Il est judicieux de l’appeler autrement, diagammique par exemple. Puisque cette série de gammes est incluse dans l’armature, elles font partie d’un même modèle de signature. Il faut remarquer, que le nombre de signatures suivant va de zéro a sept. La composition de la signature peut avoir une quantité utile d’altération(s). Et, la rigueur exemplaire de l’armature majeure, elle est fondamentalement originale. Elle est régulièrement relative aux tempéraments, soit d’une suite cohérente altérative.


Les premières séries des gammes issues des armatures, sont majeures. Elles dessinent des constantes, par la régularité des intervalles.




● Les altérations suivent l’ordre diatonique des notes naturelles, ainsi les intervalles ne sont pas identiques. Et, le nombre de tons traversés sont différents selon le titre du tempérament. Aussi, la découverte systématique d’une évolution sélective !



1. À chaque octave, le nombre d’intervalles comptés forment un multiple de six. Les secondes ont traversé 6 tons, les tierces 12 tons, les quartes 18 tons et les quintes 24 tons. Cette croissance est relative à la mesure du pas sélectif.



2. La démarche dépend de l’occurrence sur la rangée des notes de la gamme, de leurs positions à raison d’un tempérament initial. L’intervalle n’y est pas régulier, car sa technique de signature s’inscrit parfaitement sur la portée du solfège musical de la partition.



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