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Relevé du principe des armatures. Page 2

Soit, la série diagammique qui développe une séquence de degrés relatifs. Selon le procédé de l’armature, étant au rythme d’un tempérament-signé donné. Ce qui relativise certaines enharmonies, ou bien des notes musicales différentes ayant le même emplacement tonique. Et aussi, découvrir l’inégalité des tempéraments en milieu quantique.

La note signée qui n’a pas de force altéractive, se trouve au même emplacement que sa note voisine.

À ce moment harmonique de la gamme, elle a une signature qui n’appartient pas à la logique du fonctionnement rationnel du système gammique. Ici, la suite diagammique n’est plus du tout classiquement heptatonique.

La note, ici, termine la faculté enharmonique du tempérament signé. Ou, elle est le terme des variations enharmoniques qui la précède.

L’état harmonique des gammes, fermé par ces variations, crée une amplitude tonale originale. Qui dessine sa propre mesure entre les dimensions gammiques, chromatisant l’espace universel des harmoniques.


Cette note résout l’enharmonie précédente, sans finir le cycle enharmonique du tempérament. Car, une seconde signature ultérieure définit la reproduction d’un même phénomène enharmonique. Elle valorise ainsi, le nombre de variations portées via le tempérament. Qui, dans son ensemble, module la courbe de l’armature.



Cette couleur-valeur donnée, n’est pas continuellement constante...

 Elle a ici, une position harmonique de transition.

 Ailleurs, elle serait plus incluse dans le fonctionnement enharmonique de l’armature.

 Sa constance est relative.


HISTOGRAMME : La relation des tempéraments et son côté classiquement basique... 


En résumé, on développe les tempéraments annoncés dernièrement. Tout en suivant les données précédentes ; Soit, une lecture sélective et partielle. Et, du développement diagammique, du même tempérament.
Afin, de découvrir les différents effets développés.


Ce choix est opté selon la teneur de gammes, dont le tempérament signé révèle une grande quantité de modèles heptatoniques.


Nous pouvons remarquer la sensibilité de l’emplacement des modèles, en comparant les deux degrés présentés (VII # & II b).


 VII # : La situation évoque une parfaite symétrisation diagammique.


 II b : La cadence majeure montre des regroupements, ainsi qu’un renversement voisin.



Avec la précédente démonstration, on peut dire, que :


Le prisme gammique s’échelonne parmi le développement donné par l’armature, puisque son système général, relativise un chromatisme gammique irrationnel. Autrement dit, qu’il soit chronologiquement différent du modèle répertoriant les gammes musicales.


L’intérêt porté est déterminé selon, que les forces relatives puissent dessiner
un modèle différent de l’évolution théorique donnée...

L’idée même de l’harmonique qui condense les états (en cours),
qui par l’amplitude des ondes formatant une errance attractive...


L’harmonie des forces va forcément provoquer un mouvement,
dans cet ensemble élémentaire. Et, vu le complexe diatonique qui donne,
les imbrications des notes élémentaires.

 « Les correspondances des gammes partiellement égales »


En souvenir des gammes et de leurs modulations diatoniques.

Le complexe créé à l’aide de quelques éléments,
mis en mouvement par deux signatures alternatives...
Aussi, un élément (signé ou non), se trouve être
concerné par de nombreux courants diatoniques.

Tout en sachant la nature des mouvements relatifs à la force relative
au fait de la qualité et/ou du nombre quantique original…


Question :                                           

 L’activité des éléments
conduit-elle à des altérations ?


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