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La page « berge des gammes » 

BERGE DES GAMMES

La page « berge des gammes » fournit le renseignement suivant : Que les gammes ci-contre, désignent une absence de tonalité naturellement majeure.

Le nombre des gammes intégrées dans le système gammique, comprend des modulations réalisées par la transposition des degrés diatoniques. Tel, que les probabilités diatoniques passent par toutes les tonalités possibles.

Exemple : Cette série de gammes majeures limitées à la note naturelle (C maj. D maj. E maj. F maj. G maj. A maj. B maj). Et, comme l’altération est un système de modulation de la tonalité. Nous pourrions avoir comme gamme, celle de ##E maj. Ou bien, bbbE maj…

On a revisité le système gammique, avec l’assurance d’y voir les modulations transposées et altérées. Les gammes développées par le système gammique, reproduisent toutes les mêmes règles. En réduisant l’harmonie du système gammique, on en revient à un nombre diatonique fondamental. Les gammes fondamentales ont des diatonies mesurées en intervalle, ou où se situent les notes et qui elles sont. Le système des gammes qui a été développé ici, réunit les tonalités qui sont reprises avec l’ensemble gammique.

La particularité chromatique permet le classement des gammes fondamentales, du fait que l’altération utilisée pour représenter un emplacement de libre dans l’intervalle, s’occupera de créer de l’amplitude.

La modulation diatonique prend une valeur ajoutée avec les compléments chromatiques, qui viennent dévoiler des modulations qui seraient inconnues sans ce chromatisme. Les notes qui composent la diatonie, sont soumises a des variations chromatiques. Aussi, les éléments diatoniques sont plus ou moins influencés par les courants altéractifs.

● La gamme fondamentale est toniquement majeure, sa nature est un résultat donné par le système. Car en développant les probabilités diatoniques, parmi les cas, on y voit une gamme diatonique simplifiée. Il est aussi logique de penser, que si au départ du développement fondamental des gammes, les notes étaient considérées comme des boules sans aucune valeur actuelle. Le développement donne une chronique chronologique, un système intègre.

● Le modèle des notes influencées par les altérations :

1. La note n’est pas influencée par le flux chromatique

2. La note est influencée par le flux augmenté

3. La note est influencée par le flux diminué

4. La note est influencée par les deux flux

La « berge » des gammes qui sont influencées par les deux flux, et qui ne font pas partie d’un groupe tonique. Car, les notes diatoniques, sont toutes influencées par un flux chromatique. Avec, précisément, des cas diatoniques traversés par les deux flux. Ces notes tonifiées par ces deux courants, font la référence en ce type de gamme extraordinaire. Tout comme les groupes de résonances toniques, les groupes extraordinaires vont raisonner….

Si la définition des gammes aurait deux cas uniques….


La majeure partie des gammes se regroupent en plusieurs groupes, sauf deux cas à part. La motivation du groupe est de réunir les toniques, ce qui a pour effet de produire de la résonance. C’est ce qui se produit lorsque deux systèmes harmoniques se choquent, aussi une gamme qui est une relative tonique possède une résonance proprement liée. La gamme majeure, n’ayant aucun lien tonique (nœud DGA), n’est pas dans un groupe. Puis, la gamme -34x et son absence totale tonique majeure, et non en groupe. En juxtaposant ces deux modèles uniques, la note SOL devient une tonique dominante. Malgré le fait que la note SOL est relative à la résonance, il y a là une partie de la masse diatonique qui est au centre des deux gammes sans la résonance de groupe. Il y a bien aussi, des résonances courantes parmi les courants chromatiques… 8^)

La Clé De Sol

Sans avoir à justifier la forme générale gammique, imaginons un amas de gammes produisant divers courants. Les gammes qui produisent les courants sont celles qui sont relatives aux groupes, sauf exception.


La principale activité gammique est sa résonance interdiatonique, il y règne en cet espace des courants forts effectués sur les tonicités diatoniques des gammes. En justifiant la gamme naturelle comme diatonique majeure, où chaque élément tonique est contraint à résonance. Chaque tonique de la gamme n’a pas la même valeur de résonance, puisqu’elle est impliquée de façon altérative. Et, qu’en dehors toute activité, ou bien que les toniques ne soient pas influencées par les résonances relatives. En temps actif, les toniques subissent les forces des flux chromatiques et ceux des résonances. La représentation des forces ne s’est réalisée qu’avec les groupes de résonance. Comme le lien vous y entraîne, cliquez sue l’étoile pour afficher cette page. Celle qui fait l’étalage des groupes toniques avec celui des deux gammes isolées, et sans y voir les gammes extraordinaires….


Finalement, si comme moi, vous connaissez le sujet, cette page développe un nombre de caractéristiques éloquentes. Les couleurs des notes altérées, ainsi que de leurs fonctions qui par domination démontre la transformation des valeurs toniques. Les gammes ne sont pas égales et les groupes regroupent des inégalités. Tous les plus ou moins chromatiques colorés nous donnent les amplitudes. Tous sur un décor de fond, où se diffusent les axes de résonances, eux aussi colorisés selon leurs appartenances. L’image en deux dimensions est le premier pas vers la troisième dimension, et une quatrième qui sera la densité des flux….


Lucide de ne pas abuser en détails, afin de discerner la globalité des courants intégrés. Par cette finalité :


L’altéraction en milieu gammique produit de la modulation, et la modulation donne l’amplitude. Pour une seule modulation qui est isolée de toute autre interférence altéractive, je dirais que le courant est faible. Tandis que plusieurs modulations produisent des courants vagues, parmi les groupes-nœuds. Dans l’équilibre des gammes, quand les résonances diffusent leurs forces toniques au travers les différentes densités relatives aux résonances. La tonalité de la gamme majeure est donc égale à sa force gammique, et la gamme naturelle a une trilogie tonique sans égale. Elle est tonale, dominante et harmonique en termes de tonalité majeure. Elle n’est pas la seule à ne pas appartenir à un groupe de gammes, car il n’y a que deux cas qui ne sont pas relatifs à un groupement. Ce qui fait, qu’en fait, ces diatonies ont des tonalités relativement majeures. Elles vont former un couple diatonique tonal augmenté, dominante majeure et harmonique mineure

Pour mieux comprendre ce monde, il faut séparer les groupes :

Pôle A : De type harmonique en sensible majeure, de dominante diminuée.

Pôle B : De type dominante en harmonie majeure, de médiante diminuée

Pôle C : De type dominante majeure en unité isolée

Pôle D : De type tonale majeure en mélodique augmentée, de tonique majeure

Les différents groupes sont à la chaîne, le pôle B est en liaison harmonique avec le pôle A. Ces deux pôles forment une union supérieure, et le pôle B de médiante diminuée en contact de voisinage au pôle D. À cause de sa mélodique augmentée, qui force le contact en repoussant la médiante voisine.


Le pôle A qui fait la balance entre une forte présence mineure, et la proximité d’une sensible majeure…


Son côté mineur a plusieurs points toniques à double-flux chromatique. Une condensation des sujets se soumettant au flux chromatique augmenté…


Il y a la présence d’un axe cluster médian diminué, suite à une dominante altéractive. Ce même axe linéaire est aussi reproduit plusieurs fois…


Une liste exhaustive des gammes concernées par ce nœud A, est établie sous forme chiffrée. Selon que le réel ordre gammique est ici respecté.



Métaphysique


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A. −

PHILOSOPHIE

1. Partie fondamentale de la réflexion philosophique qui porte sur la recherche des causes, des premiers principes.


B. −

P. ext.1. ,,Toute réflexion méthodique ordonnée à une connaissance approfondie de la nature des choses'`

.(1962).

2. Conception d'ensemble qu'une personne se fait du monde et de la vie.


Extraordinaire


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I.− Adjectif

A.−

1. Qui se produit d'une manière imprévisible en dehors du cours ordinaire des choses.


C.−

[Fonctionne comme super

l. d'adj. Ayant par eux-mêmes une valeur positive : grand, fort, remarquable, etc.]

Qui dépasse de beaucoup le niveau moyen.


Métapôle

Aucune définition de diction


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Dictionnaire de l'Académie française, 8th Édition (1932-5) MÉTA. Particule empruntée du grec. Avec, après. Elle désigne soit une idée de succession ou de changement, soit une idée de poursuite en vue de… Elle sert, en français, dans les divers langages scientifiques, à former un grand nombre de mots.


Pôle magnétique. V. infra B 2 b.2. À la fig. Point opposé à un autre.


L’ÉVOLUTION PHYSIQUE ÉVOLUE, ET CECI CRÉE L’ÉLÉMENT PRIMITIF.


À L’IMAGE D’UNE PLANTE QUI A POUR ÉLÉMENT PRIMITIF LA GRAINE, ET DE SON FEUILLAGE TRADUISANT UNE EXPRESSION PHYSIQUE.


L’existence de la gamme peut être comparée à la graine végétale, puisque toutes ses définitions diatoniques dues à la modulation sont arborescentes. À un niveau supérieur, la gamme est l’arbre, où chaque diatonie est un élément de la forêt.


CET EXTRAORDINAIRE QUI DÉPEND DE SON ORIGINAL ORDINAIRE, POUR PARFAIRE SON EXPRESSION À LA MESURE DE SON ÂGE.


PARFOIS TELLEMENT LOINTAIN, QU’IL EST DIFFICILE D’ASSOCIER L’ÉTAT PRIMITIF A LA MODERNITÉ DE SON ÉTAT.


Ce qui fait la chose extraordinaire n’est autre, qu’une comparaison à un ordinaire original. Et, cette chose hors du commun n’est pas perçue de la même façon par nous. Selon qu’elle fait partie de notre savoir, qu’elle soit devenue habituellement démonstrative.


DANS L’ESPACE PHYSIQUE IL Y A LA MODULATION, LA LIGNE TRACÉE EST UN ÉQUILIBRE ENTRE LES DIFFÉRENTES POSITIONS DUES AUX MOUVEMENTS.


LE COURANT ÉVOLUE EN LIGNE, À L’IMAGE D’UNE SOURCE FLUVIALE. QUI RESSEMBLERAIT À UNE GRAINE VÉGÉTALE.


L’amplitude modale est une solution donnée par les flux chromatiques, qui vont d’un pôle à l’autre du complexe altéractif. Il y a une mécanisation harmonique, qui donne une nouvelle définition par ses variations pouvant avoir une direction. Ce nouvel objectif ajoute une valeur au sens basique du pôle.



Mégapôles Classiques





Métapôles Classiques


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