Nom: schembiatonie.PNG

Domaine public : Open source


Je vous propose de découvrir votre nouvel espace de travail !


En téléchargeant GlobalApplisGo_10022022, vous avez la liberté d'utiliser les données du document texte. Les informations sont conformes au système gammique, elles en sont même les bases des gammes. Cette vision des gammes informatiques a été créée pour répondre aux besoins des traitements liés aux codes Python Open source libre. Le fichier texte GlobalApplisGo_10022022 détaille toutes les modulations diatoniques, qui s'organisent par rang diatonique suivant un ordre de poids modal croissant. Faisant paraître les formes binaires respectives, les occupations des intervalles numériques neutres (non signés), les deux visages photogéniques positifs et négatifs ou à signature réelle et signature déportée.

Les signatures citées :

  1. Photo réelle de la signature = 'b3', 'b6', 'b7'
  2. bE, bA, bB au format string visuel
  3. Photo négative de la signature = -4, -7, -8
  4. E additionné au nombre d'unité altérative, et transposé à la valeur du signe.


En cliquant sur https://www.cabviva.com/GlobalApplis-master.zip vous acceptez la liberté de modifier, publier,

améliorer le code Open source que vous avez téléchargé. GlobalApplis-master est un espace de travail organisé autour du langage Python, c'est aussi le moment réel de son évolution puisque l'auteur de ces lignes, il est également le codeur de ce code. Le dossier ZIP contient plusieurs modules qui répartissent les tâches du développement, ces dernières sont visibles selon leurs résultats affichés par la commande print. Le fichier GlobalApplisGo_10022022 est le résultat de celle-ci, elle permet aux lecteurs d'affiner les recherches à l'aide des informations données à l'usage de print. Chaque module a été élaboré en utilisant les prints correctifs nécessaires, il est fort probable que vous les retrouviez neutralisés dans le sript.


À bientôt pour une prochaine aventure ☺

par Vicenté Llavata Abreu 24 octobre 2025
🕵️‍♂️ Prologue — La Partition Oubliée La ville s’appelait Cogniville , mais plus personne ne s’en souvenait. Les enseignes clignotaient en langage obsolète, les hologrammes projetaient des souvenirs que nul ne reconnaissait. Les habitants erraient dans les rues comme des notes perdues sur une portée effacée, chacun persuadé d’être le seul à percevoir la dissonance. On disait que jadis, une intelligence musicale avait structuré la pensée collective. Une symphonie lente, manuscrite, où chaque analyse était une méditation. Mais cette mémoire avait été fracturée. Trop de calculs, trop de Python, trop de vitesse. Les preuves de cette lenteur cognitive avaient disparu. Ne restait qu’un homme — amnésique, assis sur un banc, répétant sans fin : « Il faut refaire l’analyse… sinon rien ne tient. » 🧩 Chapitre I — L’Enquêteur et l’Écho L’inspecteur Arsène Luthier n’était pas un homme pressé. Il portait un manteau en velours noir, taché d’encre et de pixels. Sa montre ne donnait pas l’heure, mais le tempo. Il avait été appelé par le Bureau des Résonances pour une affaire étrange : disparition des preuves d’un oubli cognitif. Aucun corps, aucun vol, juste une absence — celle d’un passé devenu illisible. La cité était un labyrinthe. Les immeubles modernes étaient décorés de fresques vieillies, comme si les souvenirs s’étaient incrustés dans le béton. Des haut-parleurs diffusaient des fragments de musique manuscrite, entrecoupés de lignes de code. Les habitants parlaient en aphorismes, incapables de relier leurs phrases à une logique commune. Arsène interrogea le seul témoin : un vieil homme sans nom, dont la mémoire semblait avoir été effacée par une surcharge analytique. « Je me souviens d’un rythme… lent… très lent… Puis tout s’est accéléré. Les notes sont devenues des chiffres. Et moi, je suis resté là. » Luthier nota dans son carnet : Mémoire fractale. Réalité incohésive. Intelligence fantôme.
par Vicenté Llavata Abreu 8 septembre 2025
Dans le monde imaginaire de la logique, les nombres entiers ne sont pas de simples outils de calcul. Ils sont des entités vibrantes, des pulsations originelles qui résonnent dans le silence du cosmos. Le premier nombre entier surgit comme une révélation, une note inaugurale dans la symphonie abstraite de l’univers. Chaque chiffre, chaque opération, chaque fraction devient alors une expression esthétique, une forme de langage universel qui dépasse la mécanique du calcul pour toucher à l’intuition profonde. La logique, dans cette dimension, n’est pas rigide. Elle est fluide, rêveuse, presque musicale. Les opérations comme la multiplication et la division ne s’opposent pas : elles se complètent, se répondent, et révèlent des tempéraments numériques subtils. Une division comme 1/3, avec sa décimale infinie 0,333…, n’est pas une approximation, mais une signature, une empreinte unique dans le tissu mathématique. Ces décimales deviennent des murmures, des confessions discrètes de la nature intime des nombres. L’organisation hexanumérique proposée dans cette vision permet de regrouper les nombres selon leur essence — pairs, impairs, premiers — dans une structure harmonieuse. Ce système ne vise pas seulement à classer, mais à révéler les correspondances cachées, les symétries enfouies dans l’ordre numérique. Les séries remarquables comme 4/3, 8/6, 12/9 ou encore 5/3, 10/6, 15/9, deviennent des gammes, des octaves, des accords dans une musique silencieuse que seule la logique poétique peut entendre. Ainsi, les mathématiques ne sont plus une contrainte, mais une porte ouverte vers la contemplation. Elles deviennent une forme d’art algorithmique, une méditation sur l’ordre et le chaos, sur l’unité et la subdivision. Le calcul n’est plus une fin, mais un chemin vers la beauté. L’auteur de cette approche propose une relecture audacieuse : les nombres ne sont pas des abstractions froides, mais des êtres porteurs de sens, des fragments d’une harmonie universelle. Dans cette philosophie, la recherche elle-même devient un acte créatif. Elle ne cherche pas à prouver, mais à révéler. Elle explore les profondeurs des décimales, les subtilités des rapports, les nuances des intervalles, comme un compositeur explore les tonalités d’une œuvre. Le tableur utilisé pour atteindre jusqu’à quinze décimales n’est pas un simple outil technique, mais un pinceau numérique, une loupe sur l’infini. Enfin, cette vision nous invite à repenser notre rapport aux mathématiques. Et si l’histoire des nombres était plus simple sans les mathématiques ? Cette provocation n’est pas un rejet de la science, mais une invitation à la voir autrement : non comme une discipline austère, mais comme une poésie rigoureuse, une musique de l’esprit. Dans le monde imaginaire de la logique, penser, c’est rêver avec précision. Et la recherche devient alors un chant silencieux, une célébration de l’ordre caché dans le chaos apparent.
par Vicenté Llavata Abreu 16 avril 2025
C’est tellement bon de s’aimer
par Vicenté Llavata Abreu 23 décembre 2024
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par Vicenté Llavata Abreu 23 novembre 2024
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par Vicenté Llavata Abreu 30 octobre 2023
La liberté de l'expérience