Demander au Père Noël une science plus humaine

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La science est philosophique.


Il est intéressant d'exhausser les choses impliquées dans le processus du vivant. Ainsi que d'entretenir un lien entre les souhaits non réalisés et ceux qui sont exaucés. La machine est une œuvre dédiée aux humains. Tout ceci parce que l'humanité ne cesse de se complaire dans une complexité tellement pointue que des points de spécificité ne peuvent être gérés que par des personnes spécifiques. Ce complexe est prédestiné à disparaitre, à cause du risque ; Quand personne ne pourrait comprendre.


La science est paradoxale !


— On ne peut oublier que ce qui a été pensé se renouvellera. La machine a un avantage de gestion. L'humanité a un autre avantage, puisqu'elle sait comment utiliser et inventer.

La machine a besoin d'inventer pour égaler l'humain ?


– La mécanique quantique existe grâce aux dépendances intellectuelles personnelles. Le répertoire et l'agenda ont connu un fort progrès avec la machine. Évident, parce qu'elle réalise des opérations inhumaines.


Il y a une chose que des individus spécifiques à une situation n'ont pas comprise. C'est l'universel, il rassemble les matières intellectuelles. L'intelligence artificielle traite certains domaines tels que la biologie ou l'astrophysique d'un point de vue strictement réservé, en les privant de ressources intelligentes. Maintenus hors-sol, ils ont oublié que la biologie et l'astrophysique sont des sciences élémentaires. Ces scientifiques évoluent en révolutionnant l'expression de leur savoir, et sans le vouloir, ils dessinent un complexe spécifique que personne d'autre ne connait. Là, les connaissances peuvent tromper le mécanisme.


Il est important de noter qu'au début de ma conversation avec l'intelligence artificielle, mes déclarations étaient contestées et réfutées en raison d'un manque de validation scientifique. Aujourd'hui, la situation semble différente et je m'interroge sur les raisons de ce changement. Si un jour elle commence à exercer une censure scientifique, cela confirmera que la machine est programmée par des humains influencés et susceptibles de négligences.

par Vicenté Llavata Abreu 24 octobre 2025
🕵️‍♂️ Prologue — La Partition Oubliée La ville s’appelait Cogniville , mais plus personne ne s’en souvenait. Les enseignes clignotaient en langage obsolète, les hologrammes projetaient des souvenirs que nul ne reconnaissait. Les habitants erraient dans les rues comme des notes perdues sur une portée effacée, chacun persuadé d’être le seul à percevoir la dissonance. On disait que jadis, une intelligence musicale avait structuré la pensée collective. Une symphonie lente, manuscrite, où chaque analyse était une méditation. Mais cette mémoire avait été fracturée. Trop de calculs, trop de Python, trop de vitesse. Les preuves de cette lenteur cognitive avaient disparu. Ne restait qu’un homme — amnésique, assis sur un banc, répétant sans fin : « Il faut refaire l’analyse… sinon rien ne tient. » 🧩 Chapitre I — L’Enquêteur et l’Écho L’inspecteur Arsène Luthier n’était pas un homme pressé. Il portait un manteau en velours noir, taché d’encre et de pixels. Sa montre ne donnait pas l’heure, mais le tempo. Il avait été appelé par le Bureau des Résonances pour une affaire étrange : disparition des preuves d’un oubli cognitif. Aucun corps, aucun vol, juste une absence — celle d’un passé devenu illisible. La cité était un labyrinthe. Les immeubles modernes étaient décorés de fresques vieillies, comme si les souvenirs s’étaient incrustés dans le béton. Des haut-parleurs diffusaient des fragments de musique manuscrite, entrecoupés de lignes de code. Les habitants parlaient en aphorismes, incapables de relier leurs phrases à une logique commune. Arsène interrogea le seul témoin : un vieil homme sans nom, dont la mémoire semblait avoir été effacée par une surcharge analytique. « Je me souviens d’un rythme… lent… très lent… Puis tout s’est accéléré. Les notes sont devenues des chiffres. Et moi, je suis resté là. » Luthier nota dans son carnet : Mémoire fractale. Réalité incohésive. Intelligence fantôme.
par Vicenté Llavata Abreu 8 septembre 2025
Dans le monde imaginaire de la logique, les nombres entiers ne sont pas de simples outils de calcul. Ils sont des entités vibrantes, des pulsations originelles qui résonnent dans le silence du cosmos. Le premier nombre entier surgit comme une révélation, une note inaugurale dans la symphonie abstraite de l’univers. Chaque chiffre, chaque opération, chaque fraction devient alors une expression esthétique, une forme de langage universel qui dépasse la mécanique du calcul pour toucher à l’intuition profonde. La logique, dans cette dimension, n’est pas rigide. Elle est fluide, rêveuse, presque musicale. Les opérations comme la multiplication et la division ne s’opposent pas : elles se complètent, se répondent, et révèlent des tempéraments numériques subtils. Une division comme 1/3, avec sa décimale infinie 0,333…, n’est pas une approximation, mais une signature, une empreinte unique dans le tissu mathématique. Ces décimales deviennent des murmures, des confessions discrètes de la nature intime des nombres. L’organisation hexanumérique proposée dans cette vision permet de regrouper les nombres selon leur essence — pairs, impairs, premiers — dans une structure harmonieuse. Ce système ne vise pas seulement à classer, mais à révéler les correspondances cachées, les symétries enfouies dans l’ordre numérique. Les séries remarquables comme 4/3, 8/6, 12/9 ou encore 5/3, 10/6, 15/9, deviennent des gammes, des octaves, des accords dans une musique silencieuse que seule la logique poétique peut entendre. Ainsi, les mathématiques ne sont plus une contrainte, mais une porte ouverte vers la contemplation. Elles deviennent une forme d’art algorithmique, une méditation sur l’ordre et le chaos, sur l’unité et la subdivision. Le calcul n’est plus une fin, mais un chemin vers la beauté. L’auteur de cette approche propose une relecture audacieuse : les nombres ne sont pas des abstractions froides, mais des êtres porteurs de sens, des fragments d’une harmonie universelle. Dans cette philosophie, la recherche elle-même devient un acte créatif. Elle ne cherche pas à prouver, mais à révéler. Elle explore les profondeurs des décimales, les subtilités des rapports, les nuances des intervalles, comme un compositeur explore les tonalités d’une œuvre. Le tableur utilisé pour atteindre jusqu’à quinze décimales n’est pas un simple outil technique, mais un pinceau numérique, une loupe sur l’infini. Enfin, cette vision nous invite à repenser notre rapport aux mathématiques. Et si l’histoire des nombres était plus simple sans les mathématiques ? Cette provocation n’est pas un rejet de la science, mais une invitation à la voir autrement : non comme une discipline austère, mais comme une poésie rigoureuse, une musique de l’esprit. Dans le monde imaginaire de la logique, penser, c’est rêver avec précision. Et la recherche devient alors un chant silencieux, une célébration de l’ordre caché dans le chaos apparent.
par Vicenté Llavata Abreu 16 avril 2025
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