magcro_1

CHROMATISME :

On ne saurait pas défaire cette complexe compréhension des notes

La gamme naturelle a sa propre chromatisation :


La définition chromatique majeure et relative majeure, est représentée par la signature altérative. L’alternative donnée par le signe « dièse/bémol », développe un couplage pentatonique. Les informations chromatiques contenues dans le type majeur, nous renseignent sur le mode de développement de l’événement chromatique. En effet, l’écriture musicale facilite en repérant chaque note diatonique. Ainsi, la gamme naturelle et majeure, possède des éléments chromatiques absents...

« Il est évident, que C ≠ #C »                                                                   Qu’est-ce qui différencie la note « C » ? C’est, l’altération

Logiquement, l’évolution chromatique dépend de la gamme utilisée...


L’événement chromatique est variable ou constant, qu’il soit mobile ou immobile...

MOBILE : L’octave est un espace dans lequel évolue la gamme et l’absence chromatique des notes muettes

Le résultat chromatique est calculé selon le fonctionnement diatonique de la gamme, qui ne manque pas d’être riche en modèles de base. L’écriture musicale de la gamme majeure est le rapport d’une règle bien précise au sujet des notes altérées, qui sont affectées aux notes chromatiques. Ainsi, la note C avait pour note chromatique #C, et la note D avait deux notes chromatiques #D et bD. En chiffres, la note C nous donne son premier niveau, facilement équivalant à 1 (un). Puis, #1 est l’opération qui élève l’élément 1 à la hauteur chromatique donnée par l’altération (#). En gardant la régularité suivante ; [1_#1],[b2_2_#2],[b3_3],[4_#4],,, . Malheureusement, il n’y a pas que la gamme naturelle qui puisse être majeure. Maintenant, que dire du chromatisme relatif à la gamme de A majeure : [A,B,#C,D,E,#F,#G] ? - Cette gamme comporte des éléments altérés, l’adaptation chromatique évolue altérativement, et selon la définition numérique des niveaux ordonnés.


IMMOBILE : À ce moment, il y a en circulation un seul modèle chromatique, qui est tablé ci-dessus...

L’attitude musicale du modèle chromatique majeur n’est pas en cause, elle devient aléatoirement relative aux notes simples, telles (naturelles et pas plus d’un signe à la fois)... L’ambiance y est irrégulièrement périodique, pléonasmes harmoniques incontournables voués à réapparaître. Une mise en circulation de phénomènes originaux, de bidules à tout faire en palliatif définitif...


Paradoxalement, une logique d’immobilité aléatoire et sa forme mobile constante...

MAJEUR-chrome ou chrome-MAJEUR

CHROMATISE : Ce qui était caché serait libre de se montrer, même différent

En termes de chromatisation d’une série de nuances partagées, quelques règles sont applicables :


Une reprise de la gamme chromatique majeure et fondamentale, nous donne ses deux relatives opposées. Elles dessinent un relief, les évolutions altératives, en ordre logique et séquentiel.


● #C, #D, #F, #G, #A, bD, bE, bG, bA, bB : Les dix notes chromatiques obtenues


Il est évident, que le chromatisme change selon la gamme attribuée, dont la modulation chromatique n’aura qu’une signification théorique. Puisqu’en fait, la note LA dièse et SI bémol seront identiques à l’écoute instrumentale.


●                                     : Les dix notes chromatiques obtenues


Le problème chromatique vient de sa forme modale régulière, ainsi qu’un nombre d’éléments groupés vont donner un chromatisme. À l’image d’un cluster de notes musicales, pour une autre définition logique des éléments chromatiques complexes... Comme l’exemple suivant 8^)

Développement diatonique majeur

CHAQUE DEGRÉ DE LA GAMME GÉNÈRE LA MODULATION DIATONIQUE


EN CUMULANT LES ACTIVITÉS ALTÉRATIVES

(LES DEGRÉS QUI S’ADDITIONNENT !)


CE CIRCONSTANCIEL TABLEAU EST LA LISTE DES RÉSULTATS OPÉRÉS. EXPRIMANT LA CAPACITÉ DIMINUÉE DE L’ACCENT MAJEUR DE LA GAMME, EN CLÔTURANT L’ÉVOLUTION EN GROUPES À L’ORIENTATION HARMONIQUE. CETTE APPLICATION POSE UN PROBLÈME, QUI PREND LA FORME D’UNE SUBSTANTIELLE RESSOURCE. VENANT DE L’EFFET CUMULÉ DES MODULATIONS. BIEN QU’ICI, NE SOIENT TRAITÉS QUE L’ÉTAT DES NOTES, ET NON PAS LES NOTES ELLES-MÊMES...

Chronique du chromatisme diatonique


Par analogie, les modulations induites donnent des types diatoniques de science-fiction.

Car, l’énergie qui prend sa source aux modulations diatoniques, agglutine les notes sur-intensives.

Qui se regroupent aux points harmoniques suivants : C et #F, la fondamentale et l’axe symétrique de l’octave.

Alors, on comprend que la gamme dirige un regroupement harmonique. Qu’elle est rétroactive, dans son développement diatonique croissant réellement diminué.


● La plasticité de la note laisse en une forme mathématique, dans le développement du couple.

Ici, l’ordre des fractions est en harmonie avec le temps musical conté par ces couplages.

● Au deuxième degré diatonique, le chromatisme est égal, et la couleur naturelle change.

L’avantageuse fraction logique calcule les niveaux diatoniques, avec une grande sensibilité.


Les notes chromatiques et diatoniques n’ont pas changé, mais lors des modulations diatoniques ou des modulations des degrés de la gamme naturelle en cours. Et catégoriquement, en milieu harmonique, le modèle des fréquences diatoniques génère de précieux trésors harmoniques. Acoustiquement parlant...

Le fractionnement relationnel donne la série naturelle et la position du degré, selon que le premier degré naturel est DO, et que DO soit MI = 1/3.



Série de la formation des couples


La gamme naturelle est soumise aux modèles diatoniques correspondants.


Elle a des notes qui vont être soumises aux modulations modales.

Si sa note est inchangée, sa nouvelle position diatonique lui donne l’altération.


La note est comme un objet sonore nuancé

TEL. DO MAJEUR. DEVENU DO MINEUR.



Share by: