Le tempérament subdivisé

La subdivision du quotient

Nom : photoIdentit%C3%A92023_PES_20240224.png

Le quotient cascadeur.

Un diviseur commun divisant une série de nombres dividendes de 1 à 24, cela produit autant de quotients que de restes. Pour un dividende, il y a un diviseur commun et un résultat. Ce résultat exprime un quotient sous la forme d'un nombre décimal, il est composé de deux parties [une partie entière et une partie décimale].

La partie entière du quotient

Elle a le même genre que le nombre dividende, elle représente aussi, la démultiplication du diviseur commun.

Elle possède un reste qui attribue un typage du nombre entier, ce nouveau type venant affecter au type original une autre synchronisation. Le synchronisme est relatif à un nombre de rayons égal à la quantité des différents restes, se développant en spirale. Tel est le cas d'un nombre entier original divisé par un nombre entier commun, produisant un nombre entier. Ce genre de rayonnement trouve sa source dans les nombres entiers, qui créent une hiérarchie assignée à la subdivision via le diviseur commun.

La partie décimale du quotient

Par elle-même, la partie décimale est consultable selon qu'on s'emploie à subdiviser un quotient réel, ou en séparant le nombre décimal. L'avantage de la séparation est de fournir un élément stable, étant la partie décimale transformée en nombre entier et ne subissant pas l'influence de la partie entière lors de la subdivision. Il s'est avéré qu'une suite de divisions débutant au nombre original, le diviseur commun, a permis d'exécuter une cascade de quotients et restes. À l'aide du diviseur, on a réalisé qu'il y avait des liens entre les nombres, qu'ils formaient une hiérarchie qui lui était propre à l'original.

Un code source a été créé

Ce code effectue une série de divisions à diviseur commun, les divisions s'exécutent dans une boucle d'enregistrement et il a la propriété de détecter l'élément révélateur de la dernière cascade.

Code = qd-k (1, 7) qd-v [['142857142857143', 1], ['1', 1], ['142857142857143', 1, 'Doublon égal fin.']]

'qd-k' (dividende, diviseur)
'qd-v' Suite de parties décimales relatives aux subdivisions par un diviseur commun.
[[Décimal entier, typage], [Décimal entier, typage]... [Décimal entier, typage. Doublon égal fin.]]

Pour télécharger la liste des cascades : Division_sept_quotient.txt

Subdivision Sept

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Entre le huit et le neuf

par Vicenté Llavata Abreu • 8 septembre 2025

Dans le monde imaginaire de la logique, les nombres entiers ne sont pas de simples outils de calcul. Ils sont des entités vibrantes, des pulsations originelles qui résonnent dans le silence du cosmos. Le premier nombre entier surgit comme une révélation, une note inaugurale dans la symphonie abstraite de l’univers. Chaque chiffre, chaque opération, chaque fraction devient alors une expression esthétique, une forme de langage universel qui dépasse la mécanique du calcul pour toucher à l’intuition profonde. La logique, dans cette dimension, n’est pas rigide. Elle est fluide, rêveuse, presque musicale. Les opérations comme la multiplication et la division ne s’opposent pas : elles se complètent, se répondent, et révèlent des tempéraments numériques subtils. Une division comme 1/3, avec sa décimale infinie 0,333…, n’est pas une approximation, mais une signature, une empreinte unique dans le tissu mathématique. Ces décimales deviennent des murmures, des confessions discrètes de la nature intime des nombres. L’organisation hexanumérique proposée dans cette vision permet de regrouper les nombres selon leur essence — pairs, impairs, premiers — dans une structure harmonieuse. Ce système ne vise pas seulement à classer, mais à révéler les correspondances cachées, les symétries enfouies dans l’ordre numérique. Les séries remarquables comme 4/3, 8/6, 12/9 ou encore 5/3, 10/6, 15/9, deviennent des gammes, des octaves, des accords dans une musique silencieuse que seule la logique poétique peut entendre. Ainsi, les mathématiques ne sont plus une contrainte, mais une porte ouverte vers la contemplation. Elles deviennent une forme d’art algorithmique, une méditation sur l’ordre et le chaos, sur l’unité et la subdivision. Le calcul n’est plus une fin, mais un chemin vers la beauté. L’auteur de cette approche propose une relecture audacieuse : les nombres ne sont pas des abstractions froides, mais des êtres porteurs de sens, des fragments d’une harmonie universelle. Dans cette philosophie, la recherche elle-même devient un acte créatif. Elle ne cherche pas à prouver, mais à révéler. Elle explore les profondeurs des décimales, les subtilités des rapports, les nuances des intervalles, comme un compositeur explore les tonalités d’une œuvre. Le tableur utilisé pour atteindre jusqu’à quinze décimales n’est pas un simple outil technique, mais un pinceau numérique, une loupe sur l’infini. Enfin, cette vision nous invite à repenser notre rapport aux mathématiques. Et si l’histoire des nombres était plus simple sans les mathématiques ? Cette provocation n’est pas un rejet de la science, mais une invitation à la voir autrement : non comme une discipline austère, mais comme une poésie rigoureuse, une musique de l’esprit. Dans le monde imaginaire de la logique, penser, c’est rêver avec précision. Et la recherche devient alors un chant silencieux, une célébration de l’ordre caché dans le chaos apparent.