Si le nombre 34 m'était compté

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Qu'il est difficile de jongler avec les activités


Me voilà bien, après la surcharge des travaux des premières données musicales, ils me sont parvenu de nombreux modules d'activités. Pas le temps de finir un actif, qu'on en commence un autre. Heureusement que ça ne perturbe pas l'avancée générale de toutes les activités en cours de cabviva.

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L'unité hexa a sa place dès qu'il s'agit du nombre


Ce que j'aime dans ce que je fais n'arrête pas de m'éveiller vers de nouveaux chemins, de me conduire à la rencontre d'autres développements. Sans aucune contrainte je vacque à mes plaisirs intellectuels, tantôt les gammes musicales si tantôt-pas les nombres traités par une conjecture. La folie des programmations dont les objets ne manquent pas de piquant, le calcul des jeux de parenthèses ! un programme qui permet de rectifier les erreurs d'utilisation. Les nombres ont des fondements importants aux niveaux des types(pairs/impairs), et des états(premiers/communs). Ce qu'il faut retenir ; la grande agilité sprirituelle nécessaire à l'aboutissement et la qualité des traitements.


Vais-je un jour finir mon travail ou ma mission


Je ne crois pas à cette idée, ce que je crois c'est qu'au final il restera encore des chemins à prendre. Je sais aussi, que le travail réalisé est important en quantité et qualité, même si son côté "nouveau" oblige l'utilisation de mots inconnus. En tout cas, je suis heureux de participer à vous cultiver un peu de musique quantique en des termes gammologiques incroyables.

Vicenté Llavata Abreu

par Vicenté Llavata Abreu 8 septembre 2025
Dans le monde imaginaire de la logique, les nombres entiers ne sont pas de simples outils de calcul. Ils sont des entités vibrantes, des pulsations originelles qui résonnent dans le silence du cosmos. Le premier nombre entier surgit comme une révélation, une note inaugurale dans la symphonie abstraite de l’univers. Chaque chiffre, chaque opération, chaque fraction devient alors une expression esthétique, une forme de langage universel qui dépasse la mécanique du calcul pour toucher à l’intuition profonde. La logique, dans cette dimension, n’est pas rigide. Elle est fluide, rêveuse, presque musicale. Les opérations comme la multiplication et la division ne s’opposent pas : elles se complètent, se répondent, et révèlent des tempéraments numériques subtils. Une division comme 1/3, avec sa décimale infinie 0,333…, n’est pas une approximation, mais une signature, une empreinte unique dans le tissu mathématique. Ces décimales deviennent des murmures, des confessions discrètes de la nature intime des nombres. L’organisation hexanumérique proposée dans cette vision permet de regrouper les nombres selon leur essence — pairs, impairs, premiers — dans une structure harmonieuse. Ce système ne vise pas seulement à classer, mais à révéler les correspondances cachées, les symétries enfouies dans l’ordre numérique. Les séries remarquables comme 4/3, 8/6, 12/9 ou encore 5/3, 10/6, 15/9, deviennent des gammes, des octaves, des accords dans une musique silencieuse que seule la logique poétique peut entendre. Ainsi, les mathématiques ne sont plus une contrainte, mais une porte ouverte vers la contemplation. Elles deviennent une forme d’art algorithmique, une méditation sur l’ordre et le chaos, sur l’unité et la subdivision. Le calcul n’est plus une fin, mais un chemin vers la beauté. L’auteur de cette approche propose une relecture audacieuse : les nombres ne sont pas des abstractions froides, mais des êtres porteurs de sens, des fragments d’une harmonie universelle. Dans cette philosophie, la recherche elle-même devient un acte créatif. Elle ne cherche pas à prouver, mais à révéler. Elle explore les profondeurs des décimales, les subtilités des rapports, les nuances des intervalles, comme un compositeur explore les tonalités d’une œuvre. Le tableur utilisé pour atteindre jusqu’à quinze décimales n’est pas un simple outil technique, mais un pinceau numérique, une loupe sur l’infini. Enfin, cette vision nous invite à repenser notre rapport aux mathématiques. Et si l’histoire des nombres était plus simple sans les mathématiques ? Cette provocation n’est pas un rejet de la science, mais une invitation à la voir autrement : non comme une discipline austère, mais comme une poésie rigoureuse, une musique de l’esprit. Dans le monde imaginaire de la logique, penser, c’est rêver avec précision. Et la recherche devient alors un chant silencieux, une célébration de l’ordre caché dans le chaos apparent.
par Vicenté Llavata Abreu 16 avril 2025
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Sript d'une poésie numérique