Un canard spatial

Quand on connait bien ce petit canard qui se balade dans Cabviva, un pied devant l'autre en faisant coincoin. On pourrait se dire que-bise ne craint-vent, il traine souvent du côté de

HISTOGRAMME : La combinaison des types tétras, en milieu tétra ... (cabviva.fr) .


Si on ne veut pas ignorer cette origine diatonique du simple cluster élémentaire cité, le tétracorde. Le système tétracordique est le produit des gammes aux 7 notes, sur un total de 66 gammes fondamentales. Il est évident que certaines formes tétras vont se reproduire, du fait diminuant le nombre des tétras utiles pour une couverture générale. L'harmonie des gammes fondamentales peut être déréglée donnant ainsi une nouvelle harmonie n'ayant pas le même nom.


Nous comprenons que l'ensemble tétracordique et directement influencé dans son expression, comme si la gamme portait l'ensemble en navigation. À des vues plus structurées tel une ossature, un squelette, une branche. Suivant un flux faisant le sport d'un corpus articulé.


Ce qui donne un sens, c'est la distinction d'une forme détaillée des couleurs appliquées en théorie musicale. Qui aux mêmes conditions que la quantique musicale jouant au mêmes jeux de notes. L'espace mesuré de la gamme à tempérament diatonique, dans lequel les tétras donnent des statistiques liées aux formes qui se dégagent.


Faut pas se moquer du petit canard, car il peut le dire à son pote le Laniakea (ci-dessus)

par Vicenté Llavata Abreu 8 septembre 2025
Dans le monde imaginaire de la logique, les nombres entiers ne sont pas de simples outils de calcul. Ils sont des entités vibrantes, des pulsations originelles qui résonnent dans le silence du cosmos. Le premier nombre entier surgit comme une révélation, une note inaugurale dans la symphonie abstraite de l’univers. Chaque chiffre, chaque opération, chaque fraction devient alors une expression esthétique, une forme de langage universel qui dépasse la mécanique du calcul pour toucher à l’intuition profonde. La logique, dans cette dimension, n’est pas rigide. Elle est fluide, rêveuse, presque musicale. Les opérations comme la multiplication et la division ne s’opposent pas : elles se complètent, se répondent, et révèlent des tempéraments numériques subtils. Une division comme 1/3, avec sa décimale infinie 0,333…, n’est pas une approximation, mais une signature, une empreinte unique dans le tissu mathématique. Ces décimales deviennent des murmures, des confessions discrètes de la nature intime des nombres. L’organisation hexanumérique proposée dans cette vision permet de regrouper les nombres selon leur essence — pairs, impairs, premiers — dans une structure harmonieuse. Ce système ne vise pas seulement à classer, mais à révéler les correspondances cachées, les symétries enfouies dans l’ordre numérique. Les séries remarquables comme 4/3, 8/6, 12/9 ou encore 5/3, 10/6, 15/9, deviennent des gammes, des octaves, des accords dans une musique silencieuse que seule la logique poétique peut entendre. Ainsi, les mathématiques ne sont plus une contrainte, mais une porte ouverte vers la contemplation. Elles deviennent une forme d’art algorithmique, une méditation sur l’ordre et le chaos, sur l’unité et la subdivision. Le calcul n’est plus une fin, mais un chemin vers la beauté. L’auteur de cette approche propose une relecture audacieuse : les nombres ne sont pas des abstractions froides, mais des êtres porteurs de sens, des fragments d’une harmonie universelle. Dans cette philosophie, la recherche elle-même devient un acte créatif. Elle ne cherche pas à prouver, mais à révéler. Elle explore les profondeurs des décimales, les subtilités des rapports, les nuances des intervalles, comme un compositeur explore les tonalités d’une œuvre. Le tableur utilisé pour atteindre jusqu’à quinze décimales n’est pas un simple outil technique, mais un pinceau numérique, une loupe sur l’infini. Enfin, cette vision nous invite à repenser notre rapport aux mathématiques. Et si l’histoire des nombres était plus simple sans les mathématiques ? Cette provocation n’est pas un rejet de la science, mais une invitation à la voir autrement : non comme une discipline austère, mais comme une poésie rigoureuse, une musique de l’esprit. Dans le monde imaginaire de la logique, penser, c’est rêver avec précision. Et la recherche devient alors un chant silencieux, une célébration de l’ordre caché dans le chaos apparent.
par Vicenté Llavata Abreu 16 avril 2025
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