Si la science des terrestres extras...?

Sur mon île où je vacquais ma jeunesse


Ayant mis à jour la plus grande partie de mes désirs d'apprendre à penser, soit une formation basique professionnelle, ainsi qu'une correspondance de programmation basique. Apprendre les bases de la théorie musicale comme les gammes et les accords, est vraiment utile quand on veut s'intégrer. Il faut savoir qu'ici le français et la musique font partie des gênes culturels, ailleurs je ne sais pas.


Les gammes musicales utilisées engendrent des belles choses, en parlant des modalités tonales on parlerai d'avantage de transpositions que de modulations. Du fait c'est la dans qui mène la musique.


  • Les gammes fondamentales dessinent un système complexe harmoniquement composé d'accords, de modulations diatoniques adaptées aux téracordes et aux chromatismes...
  • On devine un infinitésimal par la division tonale, allant vers le plus petit dans un espace constant, qui de part développe un nombre croissant d'unités théoriquement liées. Exprimer tout ce petit monde nécessite de pouvoir les nommer, les classer, les compter. La mathématique se mêle aux gammes et répond au besoin d'une expression particulière.



Un jour intéressant pour les nombres premiers fondamentaux . Qui ont le même titre que les gammes, tout deux sont dotés d'une unique fonction : D'être des premiers éléments aux multiples ressources :


  1. Les nombres premiers fondent les multiples communs
  2. Les gammes fondamentales développent des modèlisations diatoniques


Le voyage offert par les nombres n'est pas banal, ils parlent de nombres pairs/impairs et multiple de 2/3/5 chiffres basiques permiers. "Les chiffres un & zéro influancent toute cette expression." 

 

Toutes les explications données en suivant le lien


par Vicenté Llavata Abreu 8 septembre 2025
Dans le monde imaginaire de la logique, les nombres entiers ne sont pas de simples outils de calcul. Ils sont des entités vibrantes, des pulsations originelles qui résonnent dans le silence du cosmos. Le premier nombre entier surgit comme une révélation, une note inaugurale dans la symphonie abstraite de l’univers. Chaque chiffre, chaque opération, chaque fraction devient alors une expression esthétique, une forme de langage universel qui dépasse la mécanique du calcul pour toucher à l’intuition profonde. La logique, dans cette dimension, n’est pas rigide. Elle est fluide, rêveuse, presque musicale. Les opérations comme la multiplication et la division ne s’opposent pas : elles se complètent, se répondent, et révèlent des tempéraments numériques subtils. Une division comme 1/3, avec sa décimale infinie 0,333…, n’est pas une approximation, mais une signature, une empreinte unique dans le tissu mathématique. Ces décimales deviennent des murmures, des confessions discrètes de la nature intime des nombres. L’organisation hexanumérique proposée dans cette vision permet de regrouper les nombres selon leur essence — pairs, impairs, premiers — dans une structure harmonieuse. Ce système ne vise pas seulement à classer, mais à révéler les correspondances cachées, les symétries enfouies dans l’ordre numérique. Les séries remarquables comme 4/3, 8/6, 12/9 ou encore 5/3, 10/6, 15/9, deviennent des gammes, des octaves, des accords dans une musique silencieuse que seule la logique poétique peut entendre. Ainsi, les mathématiques ne sont plus une contrainte, mais une porte ouverte vers la contemplation. Elles deviennent une forme d’art algorithmique, une méditation sur l’ordre et le chaos, sur l’unité et la subdivision. Le calcul n’est plus une fin, mais un chemin vers la beauté. L’auteur de cette approche propose une relecture audacieuse : les nombres ne sont pas des abstractions froides, mais des êtres porteurs de sens, des fragments d’une harmonie universelle. Dans cette philosophie, la recherche elle-même devient un acte créatif. Elle ne cherche pas à prouver, mais à révéler. Elle explore les profondeurs des décimales, les subtilités des rapports, les nuances des intervalles, comme un compositeur explore les tonalités d’une œuvre. Le tableur utilisé pour atteindre jusqu’à quinze décimales n’est pas un simple outil technique, mais un pinceau numérique, une loupe sur l’infini. Enfin, cette vision nous invite à repenser notre rapport aux mathématiques. Et si l’histoire des nombres était plus simple sans les mathématiques ? Cette provocation n’est pas un rejet de la science, mais une invitation à la voir autrement : non comme une discipline austère, mais comme une poésie rigoureuse, une musique de l’esprit. Dans le monde imaginaire de la logique, penser, c’est rêver avec précision. Et la recherche devient alors un chant silencieux, une célébration de l’ordre caché dans le chaos apparent.
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