Pas besoin de présenter les tétracordes, parce qu’ils sont doublement incontournables au vocabulaire scientifique, et surtout ils vont par deux dans nouvelle / ancienne gamme musicale. L’un commence à la tonique et l'autre se termine à l'octave.

1234000005678

Dire l’un c’est dire l’autre, dans un état bipolaire hypermanent !

 

De manière classique le tétracorde a un état minimum de 4 notes (1,2,3,4), ces quatre notes sont liées au code quantique de la gamme naturelle.

CDEFGABC

Il est dit que la gamme naturelle est une diatonique à tonalité majeure…


Essayer de développer une logique gammique à partir de son plus petit élément clustérien, c’est connaitre le cluster relatif chromatique. En sachant que la gamme comporte cinq intervalles situés entre certaines notes.

BC D EF G A BC

Elle commence en Do© elle ne comporte pas d’altération, c’est naturel !

 

Le premier tétracorde trouvé est formé de quatre potes conjoints (😊😊😊😊), cette formation a un synonyme clustérien appelé « Cluster ». Et quoi de plus simple que le dédoublement clustérien, obtenant un clone clustérien dont l’effet est bien échelonné.

1234

(😊😊😊😊1278😊😊😊😊)

5678

81😊2😊34😊5😊6😊78

La programmation offre le moyen de développer un traitement codé…

 

Ligne 119 | # Charge limite tétra

 

Le cluster tétra trouvé est élémentaire, il ne comporte pas de poignée compréhensive sur laquelle s’appuyer ni déplacer. Mais on connait son taux de repli équivalant tétracordique (4), et sa capacité d’extension calculée en rapport chromatique-(12) diatonique-(7) octave-(2) cluster-(2). Les intervalles ne sont pas cités, ne sont pas existants, puis 5 intervalles + 7 notes = 1 2 34 5 6 7.

En sachant que l’élément tonique du tétracorde-(1) ne change pas de place, il a toujours la valeur 1.


# Opération Dico(mixam)

mixam = {} # Dépendances Degré(min/max)

""" Niveau T2 | MINI=1 MIDI=NULL MAXI=6 """

""" Niveau T3 | MINI=2 MIDI=T2+1 MAXI=7 """

""" Niveau T4 | MINI=3 MIDI=T3+1 MAXI=8 """

De Ligne 33 À Ligne 37

 

Ligne 125 | # Développement tétracordique

 

Cette fonction est séparée en deux parts ;

L’algorithme des membres tétracordiques :

Selon les estimations minima/maxima les tétras (T1, T2, T3, T4)
La priorité du cycle T4 de 3 à 8, étendu de six clusters :

1234|12304|…|123000004

L’incrémentation du T4 est prioritaire jusqu’à son maxima. En fin de boucle, l’algo incrémente le tétra voisin inférieur une seul fois.

Exemple du débutant :

1230004__ Tétracorde n°4

12300004_ Tétracorde n°5

123000004 Tétracorde n°6

12034____ Tétracorde n°7

120304___ Tétracorde n°8


La mise en forme des membres tétras :

La formation clustérienne lorsque les éléments T1, T2, T3, T4 se sont synchronisés, vient rendre visible les différentes positions diatoniques En remplaçant les intervalles par des zéros.

 

Ligne 80 | # Fonction format diatonique tétracordique

 

Cette fonction traite le premier cluster trouvé formé des chiffres de 1 à 4, ou bien C, D, E, F, et de zéros et intervalles. Ce tétra n’a pas encore ces valeurs 5, 6, 7, 8 nécessaires pour former la gamme idéale.

Alors elle prend le n°1 pour en faire le n°5. Ainsi quand elle traite le cluster n°1 1234, il en ressort 5678. En s’arrangeant pour garder le 1 à la tonique et le 8 à l’octave.

Ce qui a comme résultat fictif ; 1234000005678.

En ce qui concerne la tonalité (#, b), soit l’apport altératif des notes. De cette fonction abouti un ensemble tétra entier, toujours de 1 à 4 pour des tonalités allant de 1 à 4 et de 5 à 8. Lignes 114-115 | tabas, tahau.

 

Ligne 45 | # Fonction couplage tétracordique


Une liste de tétras utiles a été tablée. Ligne 116 | tablT. Et la notion du format naturel de la gamme vue ci-dessus avec le positionnement de deux tétras, ou alors il s’agit d’un couplage premier clustérien.

 

 

 

La programmation continue avec la définition des gammes fondamentales prochainement.

par Vicenté Llavata Abreu 8 septembre 2025
Dans le monde imaginaire de la logique, les nombres entiers ne sont pas de simples outils de calcul. Ils sont des entités vibrantes, des pulsations originelles qui résonnent dans le silence du cosmos. Le premier nombre entier surgit comme une révélation, une note inaugurale dans la symphonie abstraite de l’univers. Chaque chiffre, chaque opération, chaque fraction devient alors une expression esthétique, une forme de langage universel qui dépasse la mécanique du calcul pour toucher à l’intuition profonde. La logique, dans cette dimension, n’est pas rigide. Elle est fluide, rêveuse, presque musicale. Les opérations comme la multiplication et la division ne s’opposent pas : elles se complètent, se répondent, et révèlent des tempéraments numériques subtils. Une division comme 1/3, avec sa décimale infinie 0,333…, n’est pas une approximation, mais une signature, une empreinte unique dans le tissu mathématique. Ces décimales deviennent des murmures, des confessions discrètes de la nature intime des nombres. L’organisation hexanumérique proposée dans cette vision permet de regrouper les nombres selon leur essence — pairs, impairs, premiers — dans une structure harmonieuse. Ce système ne vise pas seulement à classer, mais à révéler les correspondances cachées, les symétries enfouies dans l’ordre numérique. Les séries remarquables comme 4/3, 8/6, 12/9 ou encore 5/3, 10/6, 15/9, deviennent des gammes, des octaves, des accords dans une musique silencieuse que seule la logique poétique peut entendre. Ainsi, les mathématiques ne sont plus une contrainte, mais une porte ouverte vers la contemplation. Elles deviennent une forme d’art algorithmique, une méditation sur l’ordre et le chaos, sur l’unité et la subdivision. Le calcul n’est plus une fin, mais un chemin vers la beauté. L’auteur de cette approche propose une relecture audacieuse : les nombres ne sont pas des abstractions froides, mais des êtres porteurs de sens, des fragments d’une harmonie universelle. Dans cette philosophie, la recherche elle-même devient un acte créatif. Elle ne cherche pas à prouver, mais à révéler. Elle explore les profondeurs des décimales, les subtilités des rapports, les nuances des intervalles, comme un compositeur explore les tonalités d’une œuvre. Le tableur utilisé pour atteindre jusqu’à quinze décimales n’est pas un simple outil technique, mais un pinceau numérique, une loupe sur l’infini. Enfin, cette vision nous invite à repenser notre rapport aux mathématiques. Et si l’histoire des nombres était plus simple sans les mathématiques ? Cette provocation n’est pas un rejet de la science, mais une invitation à la voir autrement : non comme une discipline austère, mais comme une poésie rigoureuse, une musique de l’esprit. Dans le monde imaginaire de la logique, penser, c’est rêver avec précision. Et la recherche devient alors un chant silencieux, une célébration de l’ordre caché dans le chaos apparent.
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