Le nombre six

Sera tant que seront les nombres

Nom: agenph_4_4.png

De la même façon,


Hier ou plutôt au début les choses étaient simples, tout était à inventer et comme nous le savons tous,

les inventeurs créent généralement des choses compréhensibles. Autrement la création connaitrait une expérience de court terme, et même dans le cas d'avoir réalisé un premier pas vers le renouveau, ou simplement d'avoir un idéal dont personne d'autre n'en a éclairé le sens. Car bien souvent lors des premiers pas de la création, les petits pas donnent de la lumière dans l'univers obscur de l'intuition qui les dirige.


La musique connait un obscurantisme non négligeable du côté opposé à son utilité instrumentale, ce n'est pas à cause du musicien car son temps de composition compte en matière de communication. Et qui sans eux la vie manquerait de cette harmonisation, puisque le temps passé à travailler sur l'art quantique de la musique ne laisse pas beaucoup d'instant instrumental. C'est entre communication de cet art par des écritures, des recherches savantes, des mises à jour des différentes médiations mises à la portée du public... C'est ainsi que fatigué de tant d'efforts artistiques, les jours gammologiques se comptent pour que se multiplie sur le web les notions qui font les initiations.


Oui ! Depuis ma scolarité musicale j'ai bien entendu composé, ce qui n'a réussi qu'à moi-même d'ailleurs. Ce qui plait le plus parmi mes capacités, c'est justement cet art quantique. Non-pas parce que la quantique est à la mode actuellement, mais bien parce qu'elle touche un art musical ayant un grand nombre de musiciens !


Idem pour le sujet des nombres entiers qui sont limités par un savoir qui a connu de rudes épreuves, parce que l'histoire a voulu se débarrasser de choses savantes...


C'est l'image de l'arbre qui va conclure ce message :

Enlevez le tronc et les feuilles vous montrerons ce tronc !




par Vicenté Llavata Abreu 8 septembre 2025
Dans le monde imaginaire de la logique, les nombres entiers ne sont pas de simples outils de calcul. Ils sont des entités vibrantes, des pulsations originelles qui résonnent dans le silence du cosmos. Le premier nombre entier surgit comme une révélation, une note inaugurale dans la symphonie abstraite de l’univers. Chaque chiffre, chaque opération, chaque fraction devient alors une expression esthétique, une forme de langage universel qui dépasse la mécanique du calcul pour toucher à l’intuition profonde. La logique, dans cette dimension, n’est pas rigide. Elle est fluide, rêveuse, presque musicale. Les opérations comme la multiplication et la division ne s’opposent pas : elles se complètent, se répondent, et révèlent des tempéraments numériques subtils. Une division comme 1/3, avec sa décimale infinie 0,333…, n’est pas une approximation, mais une signature, une empreinte unique dans le tissu mathématique. Ces décimales deviennent des murmures, des confessions discrètes de la nature intime des nombres. L’organisation hexanumérique proposée dans cette vision permet de regrouper les nombres selon leur essence — pairs, impairs, premiers — dans une structure harmonieuse. Ce système ne vise pas seulement à classer, mais à révéler les correspondances cachées, les symétries enfouies dans l’ordre numérique. Les séries remarquables comme 4/3, 8/6, 12/9 ou encore 5/3, 10/6, 15/9, deviennent des gammes, des octaves, des accords dans une musique silencieuse que seule la logique poétique peut entendre. Ainsi, les mathématiques ne sont plus une contrainte, mais une porte ouverte vers la contemplation. Elles deviennent une forme d’art algorithmique, une méditation sur l’ordre et le chaos, sur l’unité et la subdivision. Le calcul n’est plus une fin, mais un chemin vers la beauté. L’auteur de cette approche propose une relecture audacieuse : les nombres ne sont pas des abstractions froides, mais des êtres porteurs de sens, des fragments d’une harmonie universelle. Dans cette philosophie, la recherche elle-même devient un acte créatif. Elle ne cherche pas à prouver, mais à révéler. Elle explore les profondeurs des décimales, les subtilités des rapports, les nuances des intervalles, comme un compositeur explore les tonalités d’une œuvre. Le tableur utilisé pour atteindre jusqu’à quinze décimales n’est pas un simple outil technique, mais un pinceau numérique, une loupe sur l’infini. Enfin, cette vision nous invite à repenser notre rapport aux mathématiques. Et si l’histoire des nombres était plus simple sans les mathématiques ? Cette provocation n’est pas un rejet de la science, mais une invitation à la voir autrement : non comme une discipline austère, mais comme une poésie rigoureuse, une musique de l’esprit. Dans le monde imaginaire de la logique, penser, c’est rêver avec précision. Et la recherche devient alors un chant silencieux, une célébration de l’ordre caché dans le chaos apparent.
par Vicenté Llavata Abreu 16 avril 2025
C’est tellement bon de s’aimer
par Vicenté Llavata Abreu 23 décembre 2024
Voyage avec le temps des tétracordes
par Vicenté Llavata Abreu 23 novembre 2024
Choisir l'art et la théorie
par Vicenté Llavata Abreu 15 octobre 2024
Le blog des blogs
par Vicenté Llavata Abreu 10 octobre 2024
Demander au Père Noël une science plus humaine
par Vicenté Llavata Abreu 24 février 2024
La subdivision du quotient
par Vicenté Llavata Abreu 22 décembre 2023
Parfois, le balisage est important...
par Vicenté Llavata Abreu 30 octobre 2023
La liberté de l'expérience
par Vicenté Llavata Abreu 12 octobre 2023
Si le nombre 34 m'était compté