Salade Tomate Oignon ?!

Lorsqu'on travaille à la maison on est libre de rayonner sur le web, quand on a quelque chose à dire il ne suffit pas de le dire. Il faut aussi le répandre parmi les opportunités internet, pour en faire profiter des visiteurs,
de permettre à l'autre de voir cette méta-activité.


Comment présenter une activité compliquée ?


Normalement quand on communique, c'est qu'on a quelque chose à dire.


Au commencement j'écrivais pour me permettre de créer ce que je visualisait en moi, aussi quand je me suis intéressé à la musique je savais déjà dessiner et calculer. Car faire de la musique avec des copains ça aide pour prendre du plaisir, et ainsi se sentir épanoui et repu. Puis comme la musique est magnifique, il fallait apprendre les gammes pour répondre au questionnement " du pourquoi ces notes ? ".


Dans la vie il faut être artistique, tout doit se réaliser dans les règles de l'art,
ou plus simplement demandez à l'artiste comment faire de l'art.


L'art musical c'est aussi la gamme naturelle non signée (b/#).


La gamme naturelle génère de nombreuses modulations lorsqu'elle a une signature (altération), en comptant sur le sujet chromatique et le dit commatique, elle a une infinité de combinaisons harmoniques. Toute cette organisation systémique ne doit plus rester dans une ombre orchestrale, il faut dévoiler au monde cette structure invisible. Comme une fleur la gamme aux pétales infiniment complexes, n'ayant aucune couleur ni odeur, mais simplement fruitée aux saveurs audibles.


£€$ Sauces ?

par Vicenté Llavata Abreu 8 septembre 2025
Dans le monde imaginaire de la logique, les nombres entiers ne sont pas de simples outils de calcul. Ils sont des entités vibrantes, des pulsations originelles qui résonnent dans le silence du cosmos. Le premier nombre entier surgit comme une révélation, une note inaugurale dans la symphonie abstraite de l’univers. Chaque chiffre, chaque opération, chaque fraction devient alors une expression esthétique, une forme de langage universel qui dépasse la mécanique du calcul pour toucher à l’intuition profonde. La logique, dans cette dimension, n’est pas rigide. Elle est fluide, rêveuse, presque musicale. Les opérations comme la multiplication et la division ne s’opposent pas : elles se complètent, se répondent, et révèlent des tempéraments numériques subtils. Une division comme 1/3, avec sa décimale infinie 0,333…, n’est pas une approximation, mais une signature, une empreinte unique dans le tissu mathématique. Ces décimales deviennent des murmures, des confessions discrètes de la nature intime des nombres. L’organisation hexanumérique proposée dans cette vision permet de regrouper les nombres selon leur essence — pairs, impairs, premiers — dans une structure harmonieuse. Ce système ne vise pas seulement à classer, mais à révéler les correspondances cachées, les symétries enfouies dans l’ordre numérique. Les séries remarquables comme 4/3, 8/6, 12/9 ou encore 5/3, 10/6, 15/9, deviennent des gammes, des octaves, des accords dans une musique silencieuse que seule la logique poétique peut entendre. Ainsi, les mathématiques ne sont plus une contrainte, mais une porte ouverte vers la contemplation. Elles deviennent une forme d’art algorithmique, une méditation sur l’ordre et le chaos, sur l’unité et la subdivision. Le calcul n’est plus une fin, mais un chemin vers la beauté. L’auteur de cette approche propose une relecture audacieuse : les nombres ne sont pas des abstractions froides, mais des êtres porteurs de sens, des fragments d’une harmonie universelle. Dans cette philosophie, la recherche elle-même devient un acte créatif. Elle ne cherche pas à prouver, mais à révéler. Elle explore les profondeurs des décimales, les subtilités des rapports, les nuances des intervalles, comme un compositeur explore les tonalités d’une œuvre. Le tableur utilisé pour atteindre jusqu’à quinze décimales n’est pas un simple outil technique, mais un pinceau numérique, une loupe sur l’infini. Enfin, cette vision nous invite à repenser notre rapport aux mathématiques. Et si l’histoire des nombres était plus simple sans les mathématiques ? Cette provocation n’est pas un rejet de la science, mais une invitation à la voir autrement : non comme une discipline austère, mais comme une poésie rigoureuse, une musique de l’esprit. Dans le monde imaginaire de la logique, penser, c’est rêver avec précision. Et la recherche devient alors un chant silencieux, une célébration de l’ordre caché dans le chaos apparent.
par Vicenté Llavata Abreu 16 avril 2025
C’est tellement bon de s’aimer
par Vicenté Llavata Abreu 23 décembre 2024
Voyage avec le temps des tétracordes
par Vicenté Llavata Abreu 23 novembre 2024
Choisir l'art et la théorie
par Vicenté Llavata Abreu 15 octobre 2024
Le blog des blogs
par Vicenté Llavata Abreu 10 octobre 2024
Demander au Père Noël une science plus humaine
par Vicenté Llavata Abreu 24 février 2024
La subdivision du quotient
par Vicenté Llavata Abreu 22 décembre 2023
Parfois, le balisage est important...
par Vicenté Llavata Abreu 30 octobre 2023
La liberté de l'expérience
par Vicenté Llavata Abreu 12 octobre 2023
Si le nombre 34 m'était compté