Face à Face. Allers & Retours

Nous avons la chance de vivre avec amour, et ceci ceux qui en sont dépourvus peuvent le contredire.

En êtres intelligents nous croyons aux beaux rêves


Qui n'a pas entendu parler des gammes descendantes en mode furtif ?


Si vous en connaissez un rayon, c'est que vous avez vu les gammes miroitantes entrain de s'amuser devant le miroir reflétant leurs inverses linéaires.


Normalement on monte dans la tonalité de la gamme, de façon saugrenue et quand on est curieux, on peut être tenté de voir ce que ça donne en calibrant la tonalité inversement descendante. Et là il y a la surprise d'admirer le paysage métagammique, la particularité des harmoniques fondamentales en fusionnement.


L'importance de l'intégralité fondamentale.

Les gammes ont des qualifications de gestion, le modèle enchaine une multitude de tonalités diatoniques. Bien que dans l'ensemble les tonalités modales font perdre pied aux novices, elles restent constamment soumises à une unique hierarchie. C'est un jeu de fonctions objectives, et en prenant connaissance de leurs développements, on ne peut pas ignorer leur finalité. Celle d'être une finitude dans sa forme fondamentale venant former les unités majeures, ainsi que d'avoir la capacité d'étendre une évolution grâce à l'usage des objets de fonction (b&#). Les signatures produisent les transpositions & les modulations altèrent les tonalités, tout ceci dans une octave venant répartir les notes.


La liberté des prolifications élémentaires.


Le désordre provient de la folie des libertés, pour pouvoir ordonner "les folles" il est conseillé de bien connaitre le système. Mais en général on évite de s'occuper des folies saugrenues, par expérience le développement d'une construction systémique et procédurale. Le plus souvent la création se fait en réponse aux questions imaginaires assujéties à une nouvelle architecture, comme par exemple le système des gammes descendantes en cours. Un ordre unique faisant garde-folies, les constructions d'ensembles attachés aux règles précédentes. C'est ainsi que la gamme naturelle garde son originalité.




Fichier Gammes miroirs.pdf

par Vicenté Llavata Abreu 8 septembre 2025
Dans le monde imaginaire de la logique, les nombres entiers ne sont pas de simples outils de calcul. Ils sont des entités vibrantes, des pulsations originelles qui résonnent dans le silence du cosmos. Le premier nombre entier surgit comme une révélation, une note inaugurale dans la symphonie abstraite de l’univers. Chaque chiffre, chaque opération, chaque fraction devient alors une expression esthétique, une forme de langage universel qui dépasse la mécanique du calcul pour toucher à l’intuition profonde. La logique, dans cette dimension, n’est pas rigide. Elle est fluide, rêveuse, presque musicale. Les opérations comme la multiplication et la division ne s’opposent pas : elles se complètent, se répondent, et révèlent des tempéraments numériques subtils. Une division comme 1/3, avec sa décimale infinie 0,333…, n’est pas une approximation, mais une signature, une empreinte unique dans le tissu mathématique. Ces décimales deviennent des murmures, des confessions discrètes de la nature intime des nombres. L’organisation hexanumérique proposée dans cette vision permet de regrouper les nombres selon leur essence — pairs, impairs, premiers — dans une structure harmonieuse. Ce système ne vise pas seulement à classer, mais à révéler les correspondances cachées, les symétries enfouies dans l’ordre numérique. Les séries remarquables comme 4/3, 8/6, 12/9 ou encore 5/3, 10/6, 15/9, deviennent des gammes, des octaves, des accords dans une musique silencieuse que seule la logique poétique peut entendre. Ainsi, les mathématiques ne sont plus une contrainte, mais une porte ouverte vers la contemplation. Elles deviennent une forme d’art algorithmique, une méditation sur l’ordre et le chaos, sur l’unité et la subdivision. Le calcul n’est plus une fin, mais un chemin vers la beauté. L’auteur de cette approche propose une relecture audacieuse : les nombres ne sont pas des abstractions froides, mais des êtres porteurs de sens, des fragments d’une harmonie universelle. Dans cette philosophie, la recherche elle-même devient un acte créatif. Elle ne cherche pas à prouver, mais à révéler. Elle explore les profondeurs des décimales, les subtilités des rapports, les nuances des intervalles, comme un compositeur explore les tonalités d’une œuvre. Le tableur utilisé pour atteindre jusqu’à quinze décimales n’est pas un simple outil technique, mais un pinceau numérique, une loupe sur l’infini. Enfin, cette vision nous invite à repenser notre rapport aux mathématiques. Et si l’histoire des nombres était plus simple sans les mathématiques ? Cette provocation n’est pas un rejet de la science, mais une invitation à la voir autrement : non comme une discipline austère, mais comme une poésie rigoureuse, une musique de l’esprit. Dans le monde imaginaire de la logique, penser, c’est rêver avec précision. Et la recherche devient alors un chant silencieux, une célébration de l’ordre caché dans le chaos apparent.
par Vicenté Llavata Abreu 16 avril 2025
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